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La guérison commence par la croyance.
Pendant la majeure partie de ma vie, on m'a dit que je ne pouvais rien faire sur mon œil paresseux. Mon œil droit s'est tourné vers l'extérieur depuis l'enfance et a été essentiellement éteint. J'avais 26 ans, vivant avec une vision de 20/400 dans cet œil - couverte de voir le "E" géant sur un tableau des yeux. Je n'ai pas pu passer un test de vision DMV. Je n'avais aucune perception de profondeur. Et pourtant, quelque chose en moi a refusé d'accepter que c'était permanent.
Cette croyance est devenue ma percée. Je me suis plongé dans la science de la neuroplasticité et je me suis engagé à faire une thérapie visuelle - sur moi-même. Dans un temps étonnamment court, ma vision s'est considérablement améliorée. J'ai atteint 20/40, repris la perception de la profondeur et expérimenté le monde d'une manière nouvelle. Ce moment a tout changé. Il ne s'agissait plus de voir clairement. Il s'agissait de comprendre ce que le cerveau peut faire lorsqu'il est donné le bon stimulus.
Cette transformation est devenue le fondement du Shah Vision Development Center, que j'ai lancé en pensant à un seul objectif: aider les autres à débloquer le potentiel de leur connexion à l'œil du cerveau. Au cours de la dernière décennie, nous avons travaillé avec des patients à travers le spectre - des enfants ayant des difficultés d'apprentissage, des athlètes qui recherchent un avantage concurrentiel et des individus se remettant de commotions cérébrales - chacun avec leur propre vision de ce qui est possible.
Beaucoup de gens considèrent la vision comme uniquement sur la vue - sharpness, lunettes, lentilles de contact. Mais la vision est aussi cognitive. Cela implique comment le cerveau interprète ce que les yeux prennent.
Dans notre pratique, nous adoptons une approche basée sur les systèmes pour comprendre les performances. Cela commence par une évaluation complète qui examine bien plus qu'un examen de la vue traditionnel. Nous évaluons:
Pour les athlètes, nous personnalisons notre évaluation de la vision sportive aux exigences de leur sport - que ce soit le baseball, le water-polo ou le basket-ball. Pour les étudiants, nous identifions comment les inefficacités visuelles pourraient contribuer à des difficultés académiques comme le fait de sauter les lignes tout en lisant ou en se transformant lent pendant les tests. Pour les patients après la collaboration, nous recherchons des signes de perturbation persistante dans la communication œil-cerveau qui pourrait tout affecter, de l'équilibre à la concentration.
Nos résultats surprennent souvent les gens. Un jeune athlète pourrait penser qu'ils ont juste une saison hors saison, ou un parent pourrait croire que son enfant a du mal à l'école en raison d'un trouble d'apprentissage. Mais souvent, ces défis ont une racine visuelle cognitive - et ils sont entraînables.
L'un des défis les plus importants de toute forme de thérapie cognitive ou de physique est la conformité. La thérapie visuelle ne fait pas exception. Les exercices traditionnels peuvent être répétitifs et éprouvants mentaux, en particulier pour les enfants ou ceux qui ont des difficultés attentionnelles. Je l'ai expérimenté de première main lors de ma propre rétablissement - en vous démarrant dans les cercles excentriques et les graphiques de convergence jour après jour.
C'est pourquoi j'ai toujours cherché des moyens d'augmenter l'engagement sans compromettre la science. Il y a plus de dix ans, j'ai commencé à expérimenter la réalité virtuelle et les plateformes gamifiées. L'effet a été immédiat: les patients étaient plus engagés, plus cohérents et plus excités pour s'entraîner. Lorsque la thérapie ressemble à un jeu, les gens se présentent - et c'est là que les véritables progrès commencent.
Ce mélange d'approches traditionnelles et émergentes forme l'épine dorsale de notre modèle clinique. Nous suivons ce que j'appelle une «pyramide de performance de vision»:
Peu importe l'outil, l'objectif est le même: faire travailler le cerveau et les yeux en harmonie.
Nos clients de la vision sportive vont des espoirs du secondaire aux athlètes de bourses de division I. Bien que leurs objectifs varient, beaucoup arrivent à notre clinique avec la même frustration: ils savent qu'ils sont capables de plus, mais quelque chose les retient.
C'est là que notre évaluation à spectre complet entre en jeu. Nous évaluons l'acuité visuelle, le suivi dynamique, la sensibilité au contraste, la conscience périphérique et le temps de réaction - comparant les résultats aux repères spécifiques à la position. Par exemple, le joueur MLB moyen voit à 20/12, ce qui signifie qu'ils peuvent lire à 20 pieds ce que la plupart des gens ont besoin pour être à 12 pieds pour voir. Si notre jeune client de baseball est à 20/20, nous pouvons recommander des lentilles d'amélioration pour combler l'écart visuel, puis suivre comment cette amélioration se traduit par une meilleure anticipation et une meilleure synchronisation à l'assiette.
Mais les hautes performances ne sont pas seulement les yeux. Il s'agit de l'ensemble du système neurovisuel. C'est pourquoi nous utilisons des stations multimodales qui forment l'équilibre, le traitement visuel et la prise de décision dans un circuit intégré - mirorant les exigences multisensorielles à rythme rapide de sport réel.
Nous travaillons également en étroite collaboration avec les parents et les entraîneurs pour changer de mentalité. De nombreux athlètes ne réalisent pas que ce qu'ils interprètent comme des limitations physiques peuvent être enracinés dans la façon dont ils traitent visuellement l'espace et le mouvement. En montrant des mesures comparatives et en mettant en évidence des lacunes cognitives-visuelles spécifiques, nous sommes en mesure d'apporter de la clarté et de la direction à leur formation - et plus important encore, de créer des croyances.
... Sa performance s'est améliorée de plus de 1000% dans les 3 heures suivant la formation distribuée.
Quand j'ai été présenté à NeuroTracker , je ne cherchais pas activement un autre système. Mais mon mentor, le Dr Tieg - un premier champion de la technologie - m'a engagé à l'explorer plus profondément. Ce que j'ai vu m'a impressionné: un outil soutenu par la recherche qui offrait une formation objective et adaptative pour l'attention, le suivi et la prise de décision.
Nous avons d'abord utilisé NeuroTracker avec des patients atteints de commotion cérébrale, car la formation est à faible impact mais riche cognitivement. Au fil du temps, nous avons étendu son utilisation aux athlètes et aux étudiants, en particulier ceux qui luttent avec le multitâche, la concentration ou la confiance. Il est rapidement devenu un aliment de base dans notre boîte à outils.
Un cas hors concours impliquait un jeune garçon qui avait subi une commotion cérébrale et ne pouvait plus frapper un baseball à moins qu'il ne soit placé sur un tee. Il aimait le sport mais perdait confiance. Après seulement trois mois de NeuroTracker et de thérapie de soutien, ses performances se sont améliorées de plus de 1000% dans les 3 heures suivant la formation distribuée.
Il a décrit le ballon comme se déplaçant au ralenti. Sa mère nous a dit que ses travaux scolaires se sont améliorés, son attitude a changé et, surtout, il avait hâte de s'entraîner. C'est l'effet multiplicateur que nous visons.
NeuroTracker nous aide à combler la science et la motivation. Il donne aux patients un moyen de suivre leurs propres progrès, rendant l'amélioration tangible. Et parce qu'il remet en question plusieurs systèmes cognitifs à la fois, les effets de transfert sont souvent variés.
Au Shah Vision Development Center, notre mission est plus grande que de traiter le dysfonctionnement visuel. Nous sommes là pour aider les gens à redécouvrir ce dont ils sont capables. Qu'il s'agisse d'un homme de 62 ans qui voit clairement pour la première fois après des décennies, ou d'un enfant de 7 ans qui trouve la joie de lire parce que ses yeux peuvent enfin suivre le bon sang - ces moments sont importants.
La science de la neuroplasticité nous dit que le cerveau est toujours capable de croissance. La clé est de savoir comment le guider. Avec des outils tels que la thérapie visuelle, la technologie immersive et NeuroTracker, nous aidons nos patients - et nous-mêmes - à voir le monde non seulement comme il est, mais comme il pourrait l'être.
Parce que lorsque vous entraînez le cerveau à voir différemment, tout change.
N'hésitez pas à en savoir plus sur notre approche au Shah Vision Development Center .
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