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Équipe NeuroTrackerX
10 février 2016
(FR) Vidéo : Les différents niveaux de l'entraînement NeuroTracker - Performance

L'ajout progressif d'exigences lors d'un programme continu NeuroTracker a démontré une amélioration de l'étendue de la courbe d'apprentissage cognitif et pourrait être un élément clé dans l'atteinte de niveaux de performance avancés.

L'ajout progressif d'exigences lors d'un programme continu NeuroTracker a démontré une de l'étendue de la courbe d'apprentissage cognitif et pourrait être un élément clé dans l'atteinte de niveaux de performance avancés.

Chaque cas est différent et il est toujours recommandé d'effectuer les séances avec l'aide d'un entraîneur ou d'un spécialiste. Voici quelques exemples pouvant être réalisés lors de l'exercice de double tâche qui s'incorpore à un entraînement NeuroTracker.

Capture d'écran du 10/12/2015 à 21h38/21

1. Assistance

Ceci est le premier niveau de l'entraînement NeuroTracker et le plus basique. Ce niveau inclut également la phase de recensement de l'activité basale et celle de consolidation. Dans la phase de base, l'utilisateur effectue 3 sessions et son score représente son point de référence initial. En suivant le protocole d'entraînement et après avoir effectué quelques séances, l'utilisateur ne devrait pas obtenir un score inférieur à son point de référence initial, sauf dans le cas où quelque chose affecte ses performances neurologiques. Par exemple, une personne qui n'a pas dormi, qui souffre d'un lendemain de veille ou d'une commotion cérébrale pourrait obtenir un score inférieur. Ceci étant dit, si jamais dans votre session 4 vous obtenez un score en dessous de votre niveau initial, il n'y a pas de raison de croire que cela va perdurer. Plus vous ferez de séances, plus vous allez vous améliorer.

La phase de consolidation représente les 12 séances suivantes. Pendant celle-ci, plusieurs des utilisateurs démontrent une progression rapide, même si on passe du mode Core à Dynamic ou autres.

2. Débout

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Le niveau NeuroTracker suivant intègre des aptitudes très simples. Comme a chacun des niveaux où une nouvelle aptitude est intégrée, l'utilisateur voit sa vitesse minimale diminuer au début. Pendant ce niveau, l'utilisateur doit rester debout. En restant simplement dans cette position, le cerveau doit utiliser plus de ses capacités. Cela est dû au fait que le cerveau a une capacité maximale à traiter des informations. Chaque tache qu'on lui ajoute lui enlève de l'attention disponible pour autre chose.

3. Équilibre

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Le troisième niveau est l'équilibre. L'utilisateur doit se tenir debout sur un ballon d'équilibre ou une planche d'équilibre, effectuant ainsi deux tâches en sollicitant ses habiletés motrices. Cela ajoute un peu de mouvement, ce qui force le cerveau à ajuster rapidement ses angles de vue. Chaque fois que les yeux bougent, le cerveau doit retirer l'information qu'il reçoit, ce qui lui lève aussi des capacités mentales.

4. (En option) Flux optique

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Le Flux optique est un mode spécial de NeuroTracker qui ajoute de fortes sollicitations visuelles dans l'environnement de l'utilisateur pendant la session. Pendant le Flux optique, le mouvement constant d'aller-retour à l'écran stimule le processus de perception cognitive associé au mouvement d'un individu et son sens de l'équilibre lié à la vue. Cet exercice augmente la demande mentale et peut offrir un conditionnement utile lors de situations impliquant des mouvements rapides dans des situations complexes, comme dans une partie de hockey par exemple.

5. Tâche liée à un sport

Capture d'écran 2015-12-10 à 21h37h38

Dans ce niveau, on recommande à l'utilisateur d'ajouter une tache liée à un sport en particulier qui inclut un élément de contrôle plutôt que de mouvement. Pensez au maniement d'un bâton de hockey : vous restez relativement à la même place, mais cela exige des habiletés pour le contrôle qui sont très spécifiques. Habituellement on choisit un aspect essentiel à un sport, comme dribler pour le basket-ball ou le maniement de rondelle avec bâton pour le hockey.

6. Tâche liée à un sport – Avancé

Capture d'écran du 10/12/2015 à 21h38/07

Le niveau suivant d'entraînement avec une tâche liée à un sport devrait inclure un mouvement. Comme dans la vidéo, l'utilisateur est constamment forcé d'ajuster son angle de vision, ce qui ajoute beaucoup à la complexité demandée à ses capacités cognitives. Non seulement il utilise ses capacités motrices d'une manière plus complexe qu'en restant debout ou en gardant son équilibre, il change aussi de position de façon extrême.

7. Entraînement en force

Capture d'écran du 10/12/2015 à 21h38/41

Le 7e niveau NeuroTracker inclut un élément extrêmement physique. Il introduit un élément de fatigue extrême dans l'entraînement. L'utilisateur fatigué a plus de chances d'obtenir un score faible au NeuroTracker. Avec l'entraînement en force, la fatigue peut s'accélérer assez rapidement pour qu'on en constate les effets dans une seule séance.

8. Mode Reconnaissance Tactique

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Le saint Graal de l'entraînement NeuroTracker, le mode Reconnaissance tactique, est l'épreuve la plus exigeante mentalement. Pendant le mode tactique, l'utilisateur doit identifier et réagir à des éléments liés au sport très complexes. Par exemple, un quart-arrière au football s'entraînant au NeuroTracker fera l'entraînement de base tout en observant une image de formation défensive à l'écran. Le quart arrière doit ensuite identifier cette formation, la nommer à voix haute selon sa formation offensive, tout en continu de suivre les cibles en mouvement. Le même principe s'applique aussi dans l'armée, où un soldat pourrait voir des images d'éléments qu'il devrait identifier comme menaçants ou non, toujours en suivant des cibles mouvantes.

Conclusion

Tous ces niveaux sont des suggestions de l'équipe NeuroTracker pour obtenir les meilleurs résultats possibles. Cependant, comme nous l'indiquons au tout début, la ressource la plus importante que tous les utilisateurs recherchent, c'est un spécialiste ou un entraîneur qui comprend parfaitement leurs objectifs, y compris tous les aspects qui pourraient affecter leur performance. Comme en physiothérapie, il y a quelques exercices qu'une personne blessée peut effectuer. En même temps, idéalement, on doit consulter un physiothérapeute afin d'obtenir les meilleurs résultats.

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Équipe NeuroTrackerX
7 février 2016
Pourquoi les superstars brillent-elles au Super Bowl ?

Aaron Rodgers, Peyton Manning et Tom Brady, considérés comme parmi les meilleurs quarts-arrières à jouer, ont marqué l'histoire à la fois dans la victoire et dans la défaite. Qu’est-ce qui les rend si géniaux ?

"L'équipe qui est la plus concentrée et qui exécute le mieux est celle qui gagne. C'est généralement l'équipe qui peut gérer la pression de la situation." -Michael Strahan

Il n’y a pas de scène plus grande dans le monde du sport que le Super Bowl. Les joueurs d’élite subissent une immense pression pour se produire devant leurs familles, leurs fans et sous les yeux du monde entier. Aaron Rodgers, Peyton Manning et Tom Brady, considérés comme parmi les meilleurs quarts-arrières à jouer, ont marqué l'histoire à la fois dans la victoire et dans la défaite.

Le 3 décembre 2015, alors qu'il ne restait plus de temps au compteur, la passe Je vous salue Marie d'Aaron Rodgers a trouvé Richard Rodgers, renvoyant les Packers chez eux en tant que vainqueurs dans ce qui aurait été une défaite dévastatrice contre les Lions de Détroit. Quelques semaines plus tard, alors qu'il restait moins d'une minute au compteur, Rodgers a complété deux passes consécutives de Je vous salue Marie pour permettre aux Packers d'égaliser le match et de l'envoyer en prolongation. Les Packers ont finalement perdu en prolongation. Rodgers et Brady ont tous deux remporté les championnats du Super Bowl et consolidé leur héritage en tant que quart-arrière de franchise pour leurs équipes. Certes, de nombreux facteurs pourraient expliquer pourquoi les Patriots ou les Packers n'ont pas réussi à atteindre le Super Bowl cette année, mais malgré ces défaites, la résilience de joueurs d'un tel calibre et leur capacité à offrir des performances d'embrayage dans des situations de pression saison après saison sont ce qui les rend uniques.

Des preuves récentes suggèrent que l'un des facteurs prédictifs des niveaux de performance sportive des athlètes d'élite est leurs capacités perceptuelles et cognitives (voir la recherche ICI ). Cela aide à déterminer la capacité de l’athlète à conceptualiser les situations à un niveau élevé, ce qui peut être une compétence cruciale pour un quart-arrière. En effet, de plus en plus de preuves ont depuis été découvertes selon lesquelles les athlètes professionnels sont plus performants dans les tâches perceptuelles et cognitives que les athlètes amateurs et les étudiants universitaires non sportifs (lire l'étude ICI ). Cette découverte peut être d'un grand intérêt car elle pourrait ouvrir la porte à la possibilité de prédire avec précision le potentiel futur d'un athlète. Nous pouvons alors émettre l’hypothèse, sur la base de ces résultats, que des joueurs d’élite comme Aaron Rodgers, Tom Brady et Peyton Manning auraient également des niveaux élevés de capacités perceptuelles et cognitives.

Un autre facteur est la capacité à fonctionner sous pression. La pression peut être définie comme une augmentation significative de la charge cognitive à laquelle est confronté un athlète. Avant et pendant le Super Bowl, l’athlète doit se méfier de toutes les pressions sociétales telles que les demandes familiales, en plus des pressions professionnelles de bien performer pour gagner la partie. Le suivi d'objets multiples est une méthode d'entraînement qui peut mettre à l'épreuve la capacité de l'athlète à effectuer plusieurs tâches de la même manière que ce à quoi il est confronté dans sa vie quotidienne avant le match.

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Équipe NeuroTrackerX
4 février 2016
(FR) Fonctions cognitives : la clé de l'amélioration de la performance des élévés

NeuroTracker n'est pas juste pour les athlètes. Ses programmes ont été utilisés dans les écoles pour améliorer les aptitudes essentielles à l'apprentissage. Parmi celles-ci, on retrouve la mémoire, la vitesse de traitement des informations et d'autres fonctions cognitives.

NeuroTracker n'est pas juste pour les athlètes. Ses programmes ont été utilisés dans les écoles pour améliorer les aptitudes essentielles à l'apprentissage. Parmi celles-ci, on retrouve la mémoire, la vitesse de traitement des informations et d'autres fonctions cognitives. ( Consultez l'étude ici )

La plupart des problèmes rencontrés par les étudiants sont leur incapacité à se concentrer sur les tâches demandées. Ce problème s'intensifie lorsque de multiples stimuli audio et visuels les dispersent. Après un entraînement avec NeuroTracker, les élèves peuvent habituellement développer des attentions sélectives et divisées, nécessaires pour se concentrer sur ce qui est important et éviter les distractions.

Le fonctionnement de NeuroTracker

NeuroTracker séduit instantanément les étudiants, en partie à cause du jeu – c'est amusant ! Il nécessite cependant une grande concentration, ce qui captive le participant. Les étudiants doivent suivre un nombre précis de balles à l'écran, puis les identifier correctement après une période où ils bougent et se frappent. Ces mouvements et les constantes distractions apprendre au cerveau de l'étudiant à se concentrer sur ce qui est important tout en faisant abstraction des distractions. Les élèves y gagnent habituellement une augmentation de leur capacité à se concentrer et une augmentation de la durée pendant laquelle ils arrivent à le faire.

L'attention divisée

L'attention divisée est la capacité à partager son attention sur plusieurs objets à la fois. Chaque objet sur lequel l'étudiant se concentre est traité par le cerveau séparément. Ils doivent pouvoir calculer le mouvement de chaque objet individuellement.

Entraîner son cerveau à partager l'attention permet de faire plusieurs choses à la fois et de mieux prioriser les demandes d'attention. C'est fréquent que dans une classe, ou dans d'autres situations de la vie courante, qu'un étudiant doive faire face à de multiples stimuli, qu'il doit traiter simultanément. Écouter un cours, lire une présentation et prendre des notes en même temps peut s'avérer difficile pour plusieurs élèves. Souvent, ils tentent de tout faire à la fois, sans arriver à se concentrer correctement sur aucune des tâches. L'entraînement de l'attention divisée permet de mieux gérer les stimuli multiples et d'améliorer la performance pour effectuer chaque tâche.

L'attention sélective

S'entraîner avec NeuroTracker est une bonne façon de développer l'attention sélective des étudiants, essentielle pour filtrer les stimuli inutiles et pour se concentrer sur ce qui est important. Suivre de multiples objets dans un groupe et répéter l'exercice souvent, c'est comme aller au gym pour le filtre du cerveau. Il devient plus fort et c'est alors plus facile pour un étudiant de déterminer quelle est l'information essentielle tout en ne portant pas attention aux distractions.

Jetez un coup d'œil à l'étude « Enhancing Cognitive Function Using Perceptual-Cognitive Training » pour obtenir plus d'information sur l'apport du suivi d'images en 3D à l'amélioration des fonctions cognitives.

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Équipe NeuroTrackerX
4 février 2016
Des recherches reproduisant les replis du cerveau humain pourraient révéler de mystérieux fonctionnements internes

De nouvelles recherches réalisées par la John A. Paulson School of Engineering and Applied Sciences de Harvard ont mis au jour un modèle de réplication des plis cérébraux qui pourrait aider les scientifiques à comprendre le fonctionnement interne du cerveau ; ce qui jusqu’à présent est resté un mystère.

De nouvelles recherches réalisées par la John A. Paulson School of Engineering and Applied Sciences de Harvard ont mis au jour un modèle de réplication des plis cérébraux qui pourrait aider les scientifiques à mieux comprendre le fonctionnement interne du cerveau. Grâce à la réplication 3D des plis du cerveau humain, l’équipe de recherche a montré que, bien qu’il existe de multiples processus moléculaires qui déterminent en fin de compte les événements cellulaires, la cause réelle des plis cérébraux est essentiellement une instabilité mécanique liée au flambage.

La fabrication d'un cerveau en gel

Les chercheurs ont réalisé un modèle sur gel, une réplication tridimensionnelle d’un cerveau fœtal lisse au moyen d’une imagerie IRM. La surface du modèle était recouverte d'une couche de gel élastomère, qui agissait comme un analogue du cortex. Afin d'imiter l'expansion corticale, le cerveau modèle a été immergé dans un solvant absorbé dans la couche la plus externe, entraînant un gonflement par rapport aux régions plus profondes du cerveau en gel. En quelques minutes d’immersion dans le solvant liquide, la compression a entraîné la formation de plis dans le modèle, similaires en forme et en taille à celles des plis cérébraux réels.

Même les chercheurs ont été impressionnés par les similitudes entre le cerveau en gel et le cerveau humain réel. Jun Chung, chercheur postdoctoral et co-premier auteur de l'article, a déclaré : « Lorsque j'ai mis le modèle dans le solvant, je savais qu'il devrait y avoir un pliage, mais je ne m'attendais pas à ce genre de motif rapproché par rapport au cerveau humain. » Il a poursuivi en disant : « Cela ressemble à un vrai cerveau humain. »

La pertinence et la clé de ces similitudes résident dans la forme unique du cerveau humain. Chung déclare : « La géométrie du cerveau est vraiment importante car elle sert à orienter les plis dans certaines directions. » Les affirmations de Chung sont que leur modèle, qui à grande échelle géométrique est le même qu'un véritable cerveau humain, avait la même courbure, ce qui a conduit à la formation de plis qui correspondaient si étroitement à ceux d'un véritable cerveau fœtal.

Qu'y a-t-il dans un pli cérébral ?

Il existe de nombreuses façons de rationaliser les replis du cerveau humain dans une perspective évolutive. Par exemple, on croyait autrefois que les cerveaux pliés étaient le résultat de l’évolution du grand cortex pour s’adapter à un petit volume, avec l’avantage de diminuer la longueur du câblage neuronal et donc d’améliorer la fonction cognitive.

Ce qui était auparavant inexpliqué était la façon dont le cerveau se replie. Au fil des années d’études, de nombreuses hypothèses ont été proposées. Cependant, aucun de ces développements n’a été utilisé directement pour conduire à des prédictions testables. Aujourd'hui, des chercheurs de la Harvard John A. Paulson School of Engineering and Applied Scientists, en collaboration avec des scientifiques français et finlandais, ont pu montrer que la cause ultime des replis cérébraux est le résultat d'une simple instabilité mécanique qui est très probablement due à une simple instabilité mécanique. résultat du flambage.

Pourquoi c'est important

Le cerveau ne sera pas exactement le même chez tous les humains, mais tous les cerveaux devraient présenter les mêmes plis majeurs, ce qui indique une bonne santé. Cette recherche montre que si la géométrie globale du cerveau est interrompue, ou si une partie ne mûrit pas/ne se développe pas correctement, alors les plis majeurs pourraient ne pas être présents là où ils le devraient ; ce qui peut entraîner un dysfonctionnement du cerveau. Cette étude aide les scientifiques à mieux comprendre les replis du cerveau de manière plus approfondie, ce qui pourrait aider à débloquer le fonctionnement le plus profond du cerveau humain et pourrait, à terme, expliquer certains troubles cérébraux.

Sources

École d'ingénierie et de sciences appliquées John A. Paulson de Harvard. (1er février 2016). Une nouvelle recherche reproduit un cerveau humain replié en 3D : une étude confirme un cadre mécanique simple sur la façon dont le cerveau humain se plie. ScienceQuotidien . Consulté le 2 février 2016 sur www.sciencedaily.com/releases/2016/02/160201122842.htm

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Équipe NeuroTrackerX
3 février 2016
Qu’est-ce qui rend les terrains de baseball si différents ?

L’art du lancer de baseball a évolué au fil des années. Nous pouvons désormais en savoir plus que jamais sur les différents terrains que nous voyons. Les Fastballs, Curveballs, Sliders, Changeups sont quelques-uns des terrains sur lesquels les frappeurs sont trop habitués à frapper, alors qu'est-ce qui les rend si différents ?

Qu’est-ce qui rend les terrains de baseball si différents les uns des autres ? La plupart des amateurs de baseball savent que le type de terrain dépend de la prise et du relâchement du lanceur. Il faut des années à un lanceur pour apprendre correctement et exécuter parfaitement un lancer et la plupart des lanceurs finissent par apprendre 3 ou 4 lancers maximum au cours de leur carrière de baseball.

Essentiellement, la différence entre les terrains de baseball repose entièrement sur la physique. Les balles de baseball ont des coutures et, combinées à la poignée et à la méthode de relâchement, chaque lancer peut entraîner une trajectoire complètement différente pour la balle.

Le lanceur des Red Sox de Boston, David Price, vu au cours de sa carrière avec les Rays de Tampa Bay, sur le point de libérer son terrain du monticule. (Crédit photo : J. Meric)[/légende]

Le lancer le plus connu est le fastball. Les balles rapides, en particulier les balles à 4 coutures, resteront généralement en ligne droite et pourraient même donner l'illusion qu'elles montent (alors qu'en fait elles ne descendent tout simplement pas aussi vite). L'objectif de la balle rapide est de maîtriser le frappeur avec vitesse, l'amenant finalement à se balancer trop tard et à rater sa frappe. Certains des meilleurs lanceurs du baseball enregistrent les vitesses les plus élevées sur les radars. Les meilleurs lanceurs de balle rapide de la MLB atteignent régulièrement le milieu et la fin des années 90. L'un des lancers les plus rapides jamais vus a été réalisé par Aroldis Chapman puisqu'il a atteint 106 mph (Regardez-le ICI ). Qu'il s'agisse de David Price, Justin Verlander, Josh Beckett ou Fernando Rodney, la liste des lancers les plus rapides jamais enregistrés est remplie de lanceurs d'élite de la MLB.

Les terrains de baseball et leurs différentes trajectoires reposent principalement sur l' effet Magnus . La prise et la libération sont essentiellement des moyens par lesquels le lanceur manipule la balle et sa direction de rotation pour permettre différentes trajectoires. Une exception à cette règle est le Knuckleball. Le Knuckleball est l’un des terrains de baseball les plus fascinants car il est extrêmement imprévisible. Les cartes thermiques de localisation pour les emplacements réguliers sont assez cohérentes. Les balles rapides sont généralement hautes et éloignées, les balles courbes sont basses et intérieures, même les curseurs, les changements ou les plombs suivent un modèle cohérent. Les Knuckleballs, cependant, sont partout. Leur imprévisibilité vient du faible nombre de tours. Les Fastballs tourneront 8 fois en moyenne avant d’atteindre l’assiette. Les bons lancers de knuckleball feront généralement 1 à 1 1/2 tours. Cela affecte la trajectoire de la balle car l'onde de sillage qu'elle laisse derrière elle continue de tourner du top spin au backspin, ce qui entraîne généralement une trajectoire presque impossible à prédire.

De plus, alors que les balles rapides font généralement craquer les années 90, les knuckleballs sont presque le contraire. Les grands knuckleballs planeront à environ 63 mph. Le joueur de knuckleball le plus célèbre est bien sûr RA Dickey qui a relancé sa carrière après avoir pris sa retraite en adoptant le knuckleball et en atteignant l'incroyable potentiel qu'il avait depuis le début, remportant finalement le prix Cy Young du meilleur lanceur en 2012.

Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d'informations sur les différents terrains de baseball :

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Équipe NeuroTrackerX
31 janvier 2016
(FR) L'entraînement visuel sportif utilisé par les gardiens de but de la NHL

Ces dernières années, on a réalisé l'importance grandiose de l'entraînement visuel.

L'entraînement visuel et les athlètes élite

Ces dernières années, on a réalisé l'importance grandiose de l'entraînement visuel. Les athlètes de haut niveau savent maintenant que tout comme il est nécessaire d'aller au gym, leur cerveau a aussi besoin de pratique. Le défi principal reste de pouvoir avoir accès à un programme issu de recherches scientifiques qui permet de constater des résultats concrets. Étant donné l'horaire chargé des athlètes élite, un aspect crucial à considérer demeure le temps requis pour effectuer ces exercices.

Le gardien de mais étoile Braden Holtby, des Capitals de Washington, a incorporé l'entraînement visuel dans sa routine. Cet entraînement amène les athlètes à parfaire leurs habiletés afin de mieux performer, au jeu comme dans la vie de tous les jours. Les sportifs doivent prendre des décisions en quelques fractions de seconde. La capacité de leur cerveau à traiter l'information visuelle, c'est-à-dire la vitesse à laquelle ils possèdent des scénarios puis agir, est essentielle au succès. NeuroTracker a démontré qu'il avait un impact direct sur l'amélioration de la vitesse à traiter les informations visuelles par le cerveau.

Pourquoi certains joueurs sont les meilleurs que d'autres ?

Le NeuroTracker pourrait également aider la vision du jeu. Un athlète doit pouvoir analyser rapidement la situation autour de lui afin d'identifier les opportunités et les dangers. Prenons par exemple les récipiendaires des 8 derniers trophées Norris, désignés aux meilleurs défenseurs de la LNH : Nicklas Lidstrom (2 fois), Duncan Keith (2 fois), Erik Karlsson (2 fois), ainsi que PK Subban et Zdeno Chara, une fois chacun. Ils partagent tous un profil en commun, celui d'être fiable en défensive et électrisant lors de l'offensive. Cela démontre l’importance d’avoir une lecture claire de la partie. Il faut arriver au bon endroit au bon moment. L'entraînement perceptivo-cognitif pourrait bien devenir la clé pour améliorer votre lecture des situations. Comme l'a dit un jour Wayne Gretzky « Un bon joueur de hockey joue là où se trouve la rondelle. Un grand joueur de hockey joue là où la rondelle va aller ». NeuroTracker vous permet non seulement d'entretenir votre attention, il pourrait de plus vous aider à développer les aptitudes nécessaires pour anticiper le déroulement du jeu.

Un autre aspect qui différencie les gardiens de mais étoile de la NHL, c'est leur constance. L'inconstance peut être provoquée par un manque de concentration, parfois par la fatigue. Si vous passez une nuit à mal dormir, il est probable que vous ne serez pas aussi performant que d'habitude le lendemain. Des expériences scientifiques ont démontré que, NeuroTracker peut aider à améliorer l'endurance cognitive et pour maintenir le niveau d'efficacité élevé nécessaire aux athlètes d'élite.

Malgré la conscience de l'importance d'un entraînement visuel sportif, le plus grand défi demeure de comprendre les preuves scientifiques utilisant chaque produit. Ce qui différencie un produit testé scientifiquement d'un produit qui ne s'appuie pas sur des données scientifiques est la transférabilité. Cela signifie qu'un programme d'entraînement dont les résultats scientifiques sont transférables entraîne des améliorations dans d'autres domaines qui partagent les mêmes caractéristiques, malgré une situation différente.

En gros, un programme d'entraînement visuel doit permettre de mieux performer dans un sport en particulier, mais aussi dans d'autres sphères d'activités, directement grâce à l'entraînement. NeuroTracker à une étude réalisée avec une équipe de football qui a démontré une remarquable de la précision de leurs passes. Vous pouvez télécharger cette étude et découvrir plus sur la transférabilité ICI .

Comment devenir le prochain récipiendaire du trophée Vézina (meilleur gardien de but dans la ligue) ?

Imaginez les meilleurs gardiens de but de la ligue. Ce qui les différencie, c'est leur capacité à anticiper le jeu. Qu'on pense à Henrik Lundqvist, Carey Price, Braden Holtby ou encore Pekka Rinne, ils agissent au bon endroit au bon moment et savent où va se diriger la rondelle.

L'entraînement visuel sportif est devenu un prérequis pour obtenir un niveau de performance élite. Parlez-en à Braden Holtby, qui avait au début de cette saison un record de 16-4-0 (le plus de victoires dans la ligue au moment), une moyenne de buts répartis de 1,96 (3e de la ligue) et un pourcentage d'arrêts de .927.

Vous pouvez en apprendre davantage sur les gardiens de but de la NHL qui utilisent l'entraînement sportif visuel ici : Unmasked – Vision training a new tool for goaltenders

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28 janvier 2016
De nouvelles recherches pourraient aider à développer de nouveaux traitements pour le trouble bipolaire - Révélation neuroscientifique de la semaine

Une nouvelle étude pourrait avoir potentiellement révélé de nouvelles pistes permettant aux chercheurs de continuer à explorer, sous différents angles, les moyens par lesquels le cerveau peut lui-même prévenir l’expression de la maladie bipolaire (également appelée résilience). Cela donne aux chercheurs l’espoir qu’une exploration plus approfondie pourrait conduire au développement de meilleurs traitements pour cette maladie.

Un groupe de chercheurs de l'École de médecine Icahn du Mont Sinaï a récemment publié une revue en ligne dans Translational Psychiatry révélant les résultats d'une étude observant le trouble bipolaire. La recherche a révélé que des changements naturels dans le câblage du cerveau peuvent finalement aider les patients génétiquement exposés à un risque élevé de développer un trouble bipolaire à déclencher la maladie. Les résultats de l’étude pourraient potentiellement avoir révélé de nouvelles pistes permettant aux chercheurs de continuer à explorer, sous différents angles, les moyens par lesquels le cerveau peut lui-même prévenir l’expression de la maladie (également appelée résilience). Cela donne aux chercheurs l’espoir qu’une exploration plus approfondie pourrait conduire au développement de meilleurs traitements pour cette maladie.

Une maladie mentale hautement héréditaire – le trouble bipolaire

Le trouble bipolaire est caractérisé comme une maladie maniaco-dépressive. Il s'agit d'un trouble du cerveau qui entraîne des fluctuations extrêmes de l'humeur, des niveaux d'activité, de l'énergie et de la capacité du patient à accomplir ses tâches quotidiennes. Le trouble bipolaire est hautement héréditaire. Cela signifie que les personnes dont un frère ou une sœur, un parent ou un grand-parent souffre de la maladie ont un risque beaucoup plus élevé de développer la maladie, par rapport à celles qui n'ont pas d'antécédents familiaux.

La cartographie des modèles de connectivité montre des anomalies chez les patients résilients similaires aux patients bipolaires

Cette étude, utilisant l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRM), a cartographié le modèle de connectivité du cerveau de 3 groupes d'individus : des individus en bonne santé (sans lien de parenté), des patients ayant reçu un diagnostic de trouble bipolaire et des frères et sœurs de patients bipolaires. ne développent pas la maladie (patients résilients). Chaque groupe a subi un scanner cérébral tout en étant invité à effectuer une tâche non émotionnelle et émotionnelle, chacune exploitant différents aspects du fonctionnement du cerveau, communément connus pour être affectés par le trouble bipolaire. Les frères et sœurs résilients, ainsi que les patients bipolaires, présentaient des anomalies similaires dans le réseau de connectivité du traitement émotionnel du cerveau. De plus, le patient résilient a présenté d'autres changements dans le câblage du cerveau au sein desdits réseaux.

Sophia Frangou, MD, PhD, professeur de psychiatrie à l'École de médecine Icahn Sinaï au Mont Sinaï et auteur de l'étude a déclaré : « La capacité des frères et sœurs à recâbler leurs réseaux cérébraux signifie qu'ils ont une neuroplasticité adaptative qui peut les aider à éviter la maladie même s’ils portent encore la cicatrice génétique du trouble bipolaire lorsqu’ils traitent les informations émotionnelles. La Dre Sophia Frangou poursuit ses recherches en utilisant les mêmes systèmes de neuro-imagerie pour étudier les différences dans le câblage du cerveau et comment il pourrait diminuer ou augmenter la probabilité qu'un patient développe des problèmes de santé mentale.

Les recherches du Dr Frangou ont permis de confirmer que les antécédents familiaux de maladie mentale constituent le plus grand facteur de risque pour les patients. Elle continue de se concentrer sur le fait que la majorité des patients prédisposés restent en bonne santé et cherche des réponses pour expliquer pourquoi. Le Dr Frangou déclare en réponse aux résultats de l'étude : « La recherche de mécanismes biologiques capables de protéger contre la maladie ouvre une toute nouvelle direction pour le développement de traitements. Nos recherches devraient donner aux gens l’espoir que même si la maladie mentale est héréditaire, il est possible de déjouer les pronostics à la loterie génétique.

Sources :

15 janvier 2016. « Les changements dans la connectivité cérébrale protègent contre le développement du trouble bipolaire. » Science Quotidien (site Internet). Récupéré de http://www.sciencedaily.com/releases/2016/01/160105112100.htm . Consulté le 26 janvier 2016.

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Équipe NeuroTrackerX
27 janvier 2016
Une campagne canadienne sensibilise aux problèmes de santé mentale

Découvrez les signes clés pour reconnaître les problèmes de santé mentale.

Il y a quelques années, Bell, une entreprise de télécommunications au Canada, a lancé la campagne #BellCause. L’objectif est de sensibiliser davantage aux problèmes de santé mentale, notamment la dépression, l’anxiété, le stress post-traumatique et d’autres problèmes de santé mentale. L'idée est simple : Bell fera un don de 5 cents pour toute mention mondiale de #BellLetsTalk, pour tout partage de l'image BellLetsTalk sur sa page Facebook, ainsi que pour chaque message texte ou appel téléphonique effectué par un utilisateur de téléphone cellulaire Bell.

La campagne a connu un grand succès, collectant plus de 6,1 millions de dollars l'année dernière. Sur Twitter seulement, près de 5 millions de tweets ont été envoyés avec le hashtag, qui est devenu le sujet d'actualité numéro un dans le monde et au Canada. Les personnes qui ont eu ou sont aux prises avec tout type de problèmes de santé mentale sont particulièrement encouragées à partager leur histoire et à aider toute autre personne qui pourrait traverser une période difficile.

Il est encourageant de constater la réaction positive à la campagne et aux chiffres de collecte de fonds associés, mais le bénéfice le plus important est une plus grande sensibilisation aux problèmes de santé mentale. Les résultats comprennent une meilleure reconnaissance des symptômes et un encouragement pour les gens à poursuivre un diagnostic et un traitement.

Alors, quels sont les symptômes des maladies mentales ?

Il existe de nombreux symptômes de maladies mentales, qui peuvent varier d’une personne à l’autre. Les gens peuvent réagir différemment et de manière imprévisible aux défis auxquels ils sont confrontés. On croit souvent à tort que tous les symptômes doivent être présents pour indiquer qu’une personne souffre de dépression ou d’autres problèmes de santé mentale. En fait, tous les symptômes ne se combinent que dans les cas très graves. La plupart du temps, seuls quelques symptômes apparaissent et les individus réagissent différemment à chaque symptôme.

La patience, la compréhension et les communications ouvertes sont importantes pour aider toute personne aux prises avec une maladie mentale à surmonter les difficultés auxquelles elle est confrontée. Voici quelques exemples courants et signes de symptômes de maladies mentales selon la clinique Mayo ( source ) :

  • Se sentir triste ou déprimé
  • Incapacité à se concentrer sur les tâches et/ou pensées confuses et mitigées
  • Peur et inquiétude excessives
  • Sentiments de culpabilité et de remords
  • Retrait d'amis ou de collègues
  • En recherche constante d'isolement et de désengagement des activités
  • Fatigue importante, manque d'énergie
  • Sommeil excessif OU difficulté à dormir
  • Colère, hostilité ou violence soudaine
  • Pensées suicidaires (si vous ou quelqu'un que vous connaissez avez des pensées suicidaires, appelez IMMÉDIATEMENT à l'aide. Contactez les autres, appelez le 911 ou la ligne d'assistance téléphonique anti-suicide de votre pays)

Si vous remarquez l’un de ces symptômes chez une personne que vous connaissez, il est important d’être conscient de sa situation et d’essayer d’ouvrir un dialogue pour permettre une communication bidirectionnelle. Ces problèmes ne « disparaissent » pas tout simplement. Une aide – par le biais d’un soutien, d’un diagnostic et d’un traitement – ​​est nécessaire.

S'engager sur la voie de l'amélioration commence par deux mots simples : « Parlons-en ».

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27 janvier 2016
(FR) NeuroTracker et le hockey en mode tactique

Le hockey demeure un des sports les plus frénétiques sur la planète. Les joueurs doivent suivre les mouvements d'une rondelle rapide comme l'éclair et prédire les déplacements des joueurs de leur équipe et des adversaires tout au long de la partie. Pour y arriver, ils doivent effectuer des calculs et développer des stratégies complexes en quelques instants. Comment est-il possible, alors, d'améliorer votre capacité à reconnaître un jeu pendant qu'il se produit et de prédire le prochain ?

Le hockey demeure un des sports les plus frénétiques sur la planète. Les joueurs doivent suivre les mouvements d'une rondelle rapide comme l'éclair et prédire les déplacements des joueurs de leur équipe et des adversaires tout au long de la partie. Pour y arriver, ils doivent effectuer des calculs et développer des stratégies complexes en quelques instants.

Comment est-il possible, alors, d'améliorer votre capacité à reconnaître un jeu pendant qu'il se produit et de prédire le prochain ? C'est là qu'entre en scène l'entraînement cognitif. Il est important de rester en forme afin d'atteindre le maximum de ses aptitudes. C'est la même chose pour le cerveau. Le cerveau humain est capable d'exploites considérables. L'entraîneur pour s'adapter aux besoins compliqués d'une partie de hockey permet de s'octroyer un avantage stratégique considérable.

Historiquement, les entraîneurs ont utilisé des mises en situation à l'entraînement pour améliorer les habiletés cognitives en préparations pour un match. Aujourd'hui, il y a un entraînement pour votre cerveau aussi. NeuroTracker utilise une technologie d'environnement 3D de pointe, avec des logiciels permettant de multiples objets pour augmenter la concentration et la capacité à prendre des décisions des athlètes.

Pour y arriver, il faut typiquement une dizaine de minutes et d'aussi peu que deux séances par semaine. L'efficacité de l'entraînement est basée sur la « plasticité » du cerveau, c'est-à-dire sa capacité à apprendre et à s'adapter.

(voir la recherche ici)

En traitant mieux les informations visuelles, vous pouvez prendre de meilleures décisions. Par exemple, l'entraînement avec NeuroTracker a aidé des joueurs de football à faire des meilleures décisions de passe, un bénéfice qui a été prouvé dans des expériences scientifiques.

L'entraînement en mode tactique offre d'autres scénarios simulés. Face aux images de véritables parties de hockey, vous pouvez poursuivre l'apprentissage en immersion avec le NeuroTracker. Dans une étude récente, la transférabilité des bénéfices et améliorations apportées par NeuroTracker a été évaluée et démontrée au football. ( Lien vers l'étude )

Dans un entraînement de base NeuroTracker , on doit suivre des cibles à l'intérieur d'un groupe, généralement quatre sphères sur huit. En mode tactique, on augmente la demande cognitive substantiellement en présentant des situations complexes demandant au participant de prendre des décisions, tout en continu de suivre les cibles. C'est épuisant mentalement, même pendant de courtes séances. C'est le résultat de votre cerveau qui travaille fort à apprendre. Cela permet d'obtenir des améliorations très vite, mais c'est aussi, en théorie, l'approche idéale pour développer de la résistance mentale. Cette force est essentielle pour éviter les mais accordés à la dernière minute, ce qui survient si souvent lorsque les joueurs sont épuisés.

Entraîner le cerveau à répondre rapidement à ce genre de stimuli visuels devient choisi commune dans les organisations sportives d'envergure partout à travers le monde. Savoir où aller et quand y aller, basé sur des indices visuels et une meilleure compréhension de la façon dont le jeu se déroule, c'est la marque des joueurs d'exception.

Que vous soyez défenseur ou gardien de mais, la capacité à traiter l'avalanche d'informations qui déferle pendant une attaque est vitale. Comme joueur de centre ou d'ailier, pouvoir reconnaître le schéma qui se développe dans un échec avant est crucial pour déjouer la contre-attaque.

Le mode tactique de NeuroTracker est créé spécifiquement pour ça. Cet ajout d'une grande quantité d'exercices cognitifs abstraits avec des scénarios de prises de décision offre une approche intégrée à l'entraînement de performance.

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23 janvier 2016
Voici à quelle vitesse ressemble un service de tennis

Alors, à quelle vitesse correspond exactement un service de tennis à 150 mph ? Regardez une vidéo sympa démontrant le POV d'un service à 150 mph.

L’un des principaux éléments qui déterminent la qualité d’un joueur dans un sport donné est son temps de réaction. Le temps de réaction dépend de nombreux facteurs. L’un des aspects qui peuvent aider à déterminer le temps de réaction est la rapidité avec laquelle le cerveau interprète les informations qu’il reçoit et la rapidité avec laquelle il envoie des ordres aux capacités motrices actives. La première partie du processus est connue dans la communauté scientifique sous le nom de vitesse de traitement des informations visuelles. Ce que cela fait réellement de voir un service ultra rapide est vraiment surprenant.

Le service de tennis le plus rapide jamais enregistré est détenu par le joueur de tennis australien Samuel Groth, lorsqu'il a réussi un service atteignant 263 km/h/163,4 mph (Source : Guinness World Records ).

Comme vous pouvez le voir dans la vidéo, un service à 150 mph peut être assez difficile à retourner. Un joueur du côté de la réception doit non seulement avoir les compétences nécessaires pour pouvoir renvoyer le ballon dans un moment de décision très court, mais il doit également anticiper où il va. En fait, la balle se déplace plus vite que la perception consciente ne parvient à exécuter une réaction. Cela signifie que les joueurs de tennis doivent d'abord rendre les services inconsciemment, la conscience rattrape son retard.

Ces deux tâches pourraient mettre à l’épreuve les fonctions cognitives du cerveau au-delà des activités quotidiennes régulières. C’est là que l’entraînement perceptuel et cognitif pourrait être utile. Dans une étude récente , un groupe de chercheurs a pu fournir des preuves que l'entraînement perceptuel et cognitif a le potentiel d'améliorer l'attention, la mémoire de travail, la vitesse de traitement des informations visuelles et d'autres fonctions exécutives.

La vidéo ci-dessus permet de mieux comprendre les défis auxquels les joueurs de tennis sont confrontés lors d'un match.

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16 janvier 2016
10 faits que vous ne saviez pas sur votre cerveau

Avez-vous déjà pris le temps de réfléchir à votre cerveau ? De quoi est-il fait ? Comment ça marche et est-ce que ça s'arrête parfois ? Voici le top 10 des choses que vous ne saviez pas sur votre cerveau.

Avez-vous déjà pris le temps de réfléchir à votre cerveau ? De quoi est-il fait ? Comment ça marche et est-ce que ça s'arrête parfois ? Le cerveau est un organe très complexe qui sert de centre de commande du système nerveux central du corps humain. Il contient environ 86 milliards de neurones (cellules nerveuses) et des milliards d’axones et de dendrites (fibres nerveuses) qui se connectent à des milliards de synapses (connexions), qui à leur tour assurent le fonctionnement du corps. Cela signifie que le cerveau humain a plus de connexions que les étoiles de l’univers. Ces connexions aident le cerveau à recevoir les informations des organes sensoriels du corps, qu'il traduit ensuite et envoie aux muscles du corps.

Il existe de nombreux faits sur le cerveau humain qui pourraient être considérés comme intéressants. Supposons, par exemple, qu'il soit le plus grand, par rapport à la taille du corps, de tous les autres vertébrés de cette planète. Voici une petite compilation de 10 faits qui risquent de vous épater.

Le cerveau humain

1. la taille n’a pas d’importance:

Le cerveau humain moyen pèse 3,3 livres. Contrairement à une idée reçue, la taille n’a pas d’importance lorsqu’il s’agit d’intelligence. En fait, le cerveau d’Albert Einstein pesait moins que la moyenne, soit seulement 2,7 livres.

2. Il est impossible de se chatouiller:

Il est impossible de se chatouiller en raison de la fonction du cervelet, responsable des mouvements physiques de votre corps. La fonction de cette partie de notre esprit est capable de prédire les sensations et d’empêcher toute réponse.

3. Vous avez un gros cerveau:

Le cerveau du corps humain est le plus gros de tous les organes du corps. Il contient au moins 60 pour cent de matières grasses.

4. Bâiller réveille votre cerveau:

Nous bâillons parce que nous sommes fatigués et que nous voulons dormir, n'est-ce pas ? C’est ce que la plupart ont cru en grandissant, mais le véritable but d’un bâillement est d’envoyer plus d’oxygène au cerveau. Lorsque le cerveau manque d’oxygène, nous bâillons instinctivement, ce qui fournit plus d’oxygène au cerveau. Ceci, à son tour, le refroidit et le réveille ainsi. La raison pour laquelle nous bâillons quand quelqu'un d'autre le fait est parce que les « neurones miroirs » de notre cerveau fonctionnent. Ceux qui ne le font pas subiront probablement des dommages dans cette zone et auront probablement des difficultés à communiquer et à socialiser avec les autres.

5. Qu'y a-t-il dans un grain de sable :

Un morceau de tissu cérébral de la même taille qu’un grain de sable contient 1 milliard de synapses et 100 000 neurones qui « parlent » entre eux.

6. Les enfants de 2 ans sont plus actifs qu’on ne le pense :

Bien sûr, vous associez probablement un enfant de deux ans à une petite boule d’énergie, mais saviez-vous que son petit cerveau consomme en réalité deux fois plus d’énergie qu’un adulte ?

7. En vieillissant :

Dès la naissance, le cerveau se développe d’arrière en avant. Alors qu’elle commence à dégénérer avec l’âge, le phénomène inverse se produit.

8. Nous ne « ressentons » pas de douleur dans notre cerveau :

Le cerveau n'a pas de récepteurs de douleur. Cela signifie que vous ne pouvez pas réellement ressentir de douleur. Bien qu’il fonctionne en tandem avec votre moelle épinière, ce qui lui permet de détecter et de traiter la douleur, vous ne pouvez pas réellement sentir si quelqu’un la pique. C’est pourquoi la chirurgie cérébrale peut être pratiquée pendant que le patient est éveillé.

9. Vous utilisez tout votre cerveau :

Une rumeur populaire dit que nous n’utilisons que 10 % de notre cerveau. C'est loin d'être la vérité. En fait, il n’existe pas une seule pièce qui n’ait une fonction spécifique.

10. Le cerveau humain est le seul objet sur cette planète qui a la capacité de se contempler :

Pensez-y un moment.

Sources :

Lewis, T. (26 mars 2015). « Cerveau humain : faits et anatomie. Science en direct (site Internet). Récupéré de http://www.livescience.com/29365-human-brain.html . Consulté le 13 janvier 2016.

Lyle, T. « 15 choses que vous ne saviez probablement pas sur votre cerveau. » Lifehack (site Web). Extrait de http://www.lifehack.org/articles/lifestyle/15-things-you-probably-didnt-know-about-your-brain.html . Consulté le 13 janvier 2016.

Omes, S. (7 juillet 2007). «17 choses que vous ne saviez pas sur… votre cerveau.» Magazine Découverte (site Internet). Récupéré de http://discovermagazine.com/2007/brain/if-i-only-had-a-brain . Consulté le 13 janvier 2016.

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14 janvier 2016
Révélation neuroscientifique de la semaine - Enquête : plus de 70 % des participants ne sauraient pas qu'ils subissent un accident vasculaire cérébral

Lorsqu'on leur a demandé ce qu'ils feraient s'ils remarquaient certains des symptômes d'accident vasculaire cérébral les plus courants, plus de 70 % des personnes interrogées attendraient que ces symptômes disparaissent.

Une enquête réalisée au centre médical Ronald Reagan de l'UCLA a révélé que lorsqu'on demandait à un groupe de personnes de moins de 45 ans ce qu'elles feraient dans les heures suivant un éventuel accident vasculaire cérébral, 73 % d'entre elles ont déclaré qu'elles attendraient de voir si les symptômes disparaissaient. .

Les médecins ont découvert que les 3 heures qui suivent les symptômes d’un AVC, ou le premier symptôme d’un AVC, constituent une période critique appelée « fenêtre dorée ». Cette fenêtre d’opportunité en or doit être respectée si le patient souhaite voir disparaître les effets d’un accident vasculaire cérébral. C'est pendant cette période que les soins médicaux sont cruciaux afin de tenter de rétablir le flux sanguin vers le cerveau du patient. Ce n’est qu’en rétablissant adéquatement ce flux que les médecins peuvent inverser ou minimiser les dommages causés au cerveau par l’accident vasculaire cérébral.

Un traitement rapide de l’AVC est vital

Aux États-Unis, les accidents vasculaires cérébraux sont la troisième cause principale de décès. Les accidents vasculaires cérébraux surviennent lorsque le cerveau est privé d’oxygène. Les accidents vasculaires cérébraux sont classés en deux catégories différentes et le traitement dépendra donc de la cause de l'accident vasculaire cérébral. Un accident vasculaire cérébral peut être ischémique ou hémorragique. Les accidents vasculaires cérébraux ischémiques surviennent lorsque le flux sanguin vers le cerveau est restreint. Les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques surviennent à la suite de l’éclatement d’un ou plusieurs vaisseaux sanguins du cerveau.

David Liebeskind, MD, professeur de neurologie, directeur du centre de recherche en imagerie neurovasculaire au centre médical Ronald Reagan UCLA et directeur des programmes ambulatoires d'AVC et neurovasculaires, affirme que le traitement rapide des accidents vasculaires cérébraux est plus important que le traitement de tout autre problème médical existant. Il déclare : « Il y a une fenêtre très limitée pour commencer le traitement car le cerveau est très sensible au manque de flux sanguin ou aux saignements, et plus le patient attend, plus les conséquences sont dévastatrices. »

Un besoin d’efforts améliorés d’éducation sur l’AVC

L’étude réalisée par le centre médical de l’UCLA a demandé à plus d’un millier de personnes quelle serait leur réaction face aux symptômes suivants :

  • Engourdissement;
  • Faiblesse;
  • Difficulté à voir ;
  • Difficulté à parler.

Ce sont bien entendu les symptômes les plus courants associés à un accident vasculaire cérébral. Seule une personne interrogée sur trois (âgée de moins de 45 ans) a déclaré qu'elle consulterait immédiatement un médecin si elle présentait les symptômes ci-dessus. Avec un nombre surprenant de 73 pour cent de ceux qui ont participé à cette enquête déclarant qu'ils attendraient de voir si les symptômes se dissipent, et un accident vasculaire cérébral se produisant environ toutes les 40 secondes aux États-Unis (soit près de 800 000 par an) – il est clair qu'éduquer le sensibiliser les jeunes de notre société à l'urgence du traitement de l'AVC est une nécessité.

Cette étude a révélé que la plupart des individus ne sont pas conscients de l'urgence requise lorsqu'il s'agit d'un accident vasculaire cérébral, ni des symptômes associés à un accident vasculaire cérébral. Pour une personne victime d’un accident vasculaire cérébral, le traitement médical n’est efficace que dans quelques heures. Une fois cette fenêtre passée, les effets de l’AVC seront irréversibles. Connaissez-vous les symptômes d’un accident vasculaire cérébral et reconnaîtriez-vous la nécessité de soins médicaux immédiats si vous ressentez ces symptômes ?

(Source : ScienceDaily.com )

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12 janvier 2016
Les fonctions cognitives sont la clé pour améliorer les performances des élèves

NeuroTracker n'est pas réservé aux athlètes. Le programme de NeuroTracker peut conduire à des améliorations en classe car il contribue à améliorer les compétences cruciales nécessaires dans un contexte scolaire, telles que la mémoire de travail, la vitesse de traitement de l'information et d'autres fonctions cognitives.

NeuroTracker n'est pas réservé aux athlètes. Les programmes de NeuroTracker ont été utilisés pour apporter des améliorations positives en classe, dans le but d'améliorer les compétences cruciales nécessaires à l'apprentissage. Ceux-ci incluent la mémoire de travail, la vitesse de traitement de l’information et d’autres fonctions cognitives (lire l’étude ICI).

La plupart des problèmes auxquels ces étudiants sont confrontés proviennent d’une incapacité à se concentrer sur la tâche à accomplir. Ce problème s'intensifie lorsque plusieurs stimuli audio et visuels sont disponibles pour distraire l'élève. Après une formation avec NeuroTracker, on peut généralement s'attendre à ce que les étudiants développent leur attention sélective et distribuée, nécessaire pour se concentrer mentalement sur ce qui est important et pour éviter les distractions.

Comment fonctionne NeuroTracker

NeuroTracker capte instantanément l'attention des étudiants, en partie grâce à la « gamification » : c'est amusant à faire ! Mais cela nécessite également une concentration intense, ce qui attire le participant. Les étudiants sont invités à suivre un nombre sélectionné de balles flottant sur l'écran, puis à les identifier correctement après une période de mouvements et de collisions. Ces mouvements et les distractions constantes présentes entraînent l'esprit de l'élève à se concentrer sur ce qui est important tout en traitant et en rejetant les distractions qui l'entourent. Les étudiants ont généralement constaté à la fois une concentration accrue et une augmentation du temps pendant lequel ils sont capables de maintenir leur concentration.

Attention distribuée

L'attention distributive est la capacité de répartir votre attention sur plusieurs objets en même temps. Chaque objet sur lequel un élève se concentre est traité mentalement comme un processus indépendant : il doit être capable de calculer le mouvement de chaque objet individuellement.

Entraîner votre concentration distributive vous permet de mieux effectuer plusieurs tâches et de prioriser les demandes concurrentes sur votre attention. Il n’est pas rare, en classe ou dans d’autres situations réelles, qu’un élève soit confronté à plusieurs stimuli avec lesquels il doit jongler en même temps. Écouter un cours magistral, lire une présentation et prendre des notes en même temps est un défi pour de nombreux étudiants. Souvent, ils tentent de jongler avec toutes les tâches, mais finissent par ne pas pouvoir se concentrer pleinement sur une seule. La formation à l'orientation distributive permet à un étudiant de mieux traiter plusieurs stimuli et de mieux performer dans chacun d'eux.

Attention sélective

L'entraînement avec NeuroTracker est un bon moyen de développer l'attention sélective d'un élève – essentielle pour éliminer les stimuli sans importance et se concentrer sur ce qui est important. Devoir suivre des objets spécifiques dans un champ composé de plusieurs objets et répéter cet exercice plusieurs fois, c'est comme aller au gymnase pour filtrer le cerveau. Cela devient plus fort et il est donc plus facile pour un étudiant de déchiffrer quelles sont les informations cruciales et d'éliminer les distractions restantes.

Consultez l’étude « Enhancing Cognitive Function Using Perceptual-Cognitive Training » pour plus d’informations sur le rôle du suivi d’objets multiples en 3D dans l’amélioration des fonctions cognitives.

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9 janvier 2016
5 chiffres que vous devriez connaître (sur votre cerveau)

Découvrez 5 chiffres intéressants sur votre cerveau.

3.

Le poids moyen d’un cerveau sain en livres. Le poids réel du cerveau varie entre les hommes et les femmes, les hommes ayant le cerveau le plus lourd. Juste pour que vous le sachiez, le poids n’a aucun effet sur la détermination de votre niveau d’intelligence. ( Source )

73.

Le pourcentage approximatif de votre cerveau constitué d’eau. Seul un niveau de déshydratation de 2 % peut affecter négativement vos performances dans les tâches nécessitant de l’attention et de la mémoire à court terme. De plus, votre cerveau est composé à près de 60 % de graisse, ce qui en fait l’organe le plus gras de votre corps. ( Source , Source 2 )

85 milliards.

L'estimation la plus basse du nombre de neurones dans le cerveau humain. Les estimations vont de 85 milliards à plus de 120 milliards, mais personne n’a encore été en mesure de déterminer avec précision le nombre exact. ( Source )

150.

Millisecondes nécessaires pour qu'une pensée soit générée et mise en œuvre. La définition d’une pensée ici est une réaction à un déclencheur sensoriel. Si votre équipe marque un but, il vous faut au moins 150 millisecondes pour commencer à y réagir. En d’autres termes, presque la moitié du temps d’un clin d’œil. En général, certaines estimations indiquent que le cerveau traite les pensées à une vitesse de 260 miles par heure. Plus rapide que la voiture de F1 la plus rapide disponible. ( Source )

Aucune limite

De nombreuses années s'écouleront avant que votre cerveau ne puisse plus apprendre. Notre cerveau est capable d’apprendre de nouvelles choses chaque jour de notre vie. Il n’y a littéralement aucune limite à notre apprentissage. ( Source )

En vieillissant, nos capacités mentales peuvent diminuer, mais cela ne signifie pas que notre cerveau est incapable d’apprendre. Le vieillissement actif apporte certains éléments négatifs, comme une diminution de la conscience et de la concentration. D’un autre côté, notre expérience est plus élevée qu’elle ne le sera jamais.

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8 janvier 2016
Révélation neuroscientifique de la semaine : l'entraînement cognitif peut aider votre cerveau à réguler les émotions négatives

Vous vous sentez déprimé ou pas de bonne humeur ? Il existe une application pour ça. Eh bien, pas tout de suite, mais peut-être plus tôt que vous ne le pensez.

Chaque semaine, nous utiliserons cette nouvelle série pour couvrir une nouvelle révélation scientifique en neurosciences survenue récemment.

Vous vous sentez déprimé ? Il existe une application pour ça. Enfin, pas encore, mais peut-être bientôt.

Une nouvelle étude du laboratoire de neuropsychologie de l'Université Ben Gourion du Néguev, dirigée par le Dr Noga Cohen, a montré qu'un certain entraînement cognitif peut aider le cerveau à réguler les émotions négatives.

Dans le cadre de l'étude, 26 volontaires ont été suivis avant et après plusieurs séances d'entraînement cognitif informatisé utilisant l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). La tâche principale des participants était d'identifier la direction d'une flèche cible parmi tant d'autres qui l'entourent. Les participants qui ont suivi la version intense de la formation ont montré une activation réduite de leur amygdale, une région du cerveau impliquée dans les émotions négatives.

"Ces résultats sont les premiers à démontrer qu'un entraînement non émotionnel qui améliore la capacité à ignorer des informations non pertinentes peut entraîner une réduction des réactions cérébrales aux événements émotionnels et modifier les connexions cérébrales", a déclaré le Dr Noga Cohen.

À l’avenir, la possibilité de disposer d’un tel logiciel d’entraînement cognitif pourrait permettre d’aider les personnes souffrant de dépression ou d’anxiété.

(Source : ScienceDaily.com )

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6 janvier 2016
La duchesse de Cambridge, Kate Middleton, sensibilise davantage aux problèmes de santé mentale

La duchesse de Cambridge, Kate Middleton, a eu l'occasion de visiter le centre Anna Freud pour attirer davantage l'attention sur les problèmes de santé mentale. Lors de sa visite, elle a également expérimenté NeuroTracker !

A peine terminée son congé maternité, la duchesse de Cambridge a souligné l'importance des problèmes de santé mentale en visitant le Centre Anna Freud. Kate Middleton a passé la journée à interagir avec les enfants et à participer à de multiples activités au centre, notamment en utilisant NeuroTracker et en testant ses capacités cognitives.

La duchesse de Cambridge visite le Centre Anna Freud pour enfants à Islington.
La duchesse est photographiée avec une paire de lunettes 3D essayant NeuroTracker

Le Centre Anna Freud aspire à aider les enfants ayant des problèmes de santé mentale à poursuivre leur vie normalement. La duchesse de Cambridge souhaite attirer davantage l'attention sur la question et souligner l'importance d'une intervention précoce. Le Centre n'est pas seulement un lieu où les enfants peuvent s'améliorer, mais il mène également ses propres recherches et offre une large gamme de services pour aider les enfants.

Pour en savoir plus et voir une vidéo de la visite de Kate Middleton, cliquez ICI

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6 janvier 2016
Top 5 des exercices difficiles à faire avec NeuroTracker (qui vous seront bénéfiques)

Afin de maximiser les bénéfices de votre entraînement NeuroTracker, l'ajout d'exercices stimulants sur le plan cognitif à votre entraînement NeuroTracker augmentera votre charge cognitive. Alors, quels sont les exercices les plus difficiles que vous puissiez faire ?

Afin de maximiser les bénéfices de votre entraînement NeuroTracker, l'ajout d'exercices stimulants sur le plan cognitif à votre entraînement NeuroTracker augmentera votre charge cognitive, mettant votre cerveau au défi d'atteindre des niveaux encore plus élevés de sa capacité mentale. Il convient de noter que n'effectuez pas ces tâches supplémentaires à moins d'avoir déjà suivi le protocole de formation NeuroTracker. Sinon, vous nuirez à votre progression plutôt que de l’aider. Nous vous recommandons de suivre ces protocoles avec un formateur certifié NeuroTracker.

Voici les 5 meilleurs exercices difficiles que vous pouvez faire, classés du moins difficile à l’extrêmement difficile :

5. Équilibrage - Cote de difficulté : 2 cerveaux sur 5

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Réaliser une séance NeuroTracker debout sur un ballon en équilibre est un défi modéré. Aussi difficile soit-il, c'est le plus simple du top 5. Votre charge cognitive sera répartie entre NeuroTracker et l'équilibrage. Nous espérons que vous êtes doué en équilibre !

4. Corde à sauter – Indice de difficulté : 2,5 sur 5 Cerveau

2,5sur5

Combiner un exercice physique avec un entraînement NeuroTracker, également appelé double tâche, permet d'obtenir un niveau de difficulté croissant. Cela mettra votre cerveau au défi de gérer toutes les exigences de l'exercice physique, telles que le timing, le contrôle musculaire, etc., combinées au défi cognitif de NeuroTracker.

3. Haltérophilie – Indice de difficulté : 4 cerveaux sur 5

4sur5

Soulever des poids peut être épuisant et, plus important encore, doit être effectué en utilisant des techniques précises pour ne pas blesser l'athlète. Cela semble en soi un défi, que diriez-vous d’ajouter une formation NeuroTracker ? Nous admettons que c'est vraiment difficile. Mais ce n'est pas impossible. Regardez le champion de taekwondo Aaron Cook pendant qu'il le fait :

2. Conscience tactique – Indice de difficulté : 5 cerveaux sur 5

5sur5

Et si on vous donnait quelque chose qui est censé mettre pleinement à l’épreuve vos capacités mentales ? Et si vous y ajoutiez du NeuroTracker ? Il s'agit du mode Tactique Awareness, dans lequel l'utilisateur reçoit une image qui l'oblige à effectuer une identification très rapide suivie d'une tâche de prise de décision. Tout cela pendant que la session NeuroTracker est toujours en cours. Bonne chance avec celui-ci !

1. Conscience tactique avec double tâche - Indice de difficulté : HORS DES TABLEAUX !

Réservé uniquement à l’élite de l’élite. Cela mettra votre cerveau sous une charge cognitive très lourde. En plus de mettre à l’épreuve votre capacité à maîtriser le mode de conscience tactique habituel, cette étape vous mettra également au défi physiquement. Nous n’en avons vu que quelques-uns très sélectionnés capables de le faire. Peut-être serez-vous le prochain !

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24 décembre 2015
Caroline Calve - Le parcours d'une snowboardeuse olympique

Ce n'est pas facile d'être un athlète olympique. Ils passent par des années d'entraînement, de qualifications et de tournois, le tout dans la quête de la médaille d'or lors d'un événement qui n'a lieu que tous les 4 ans... du moins c'est ce que nous pensions.

Ce n'est pas facile d'être un athlète olympique. Ils passent par des années d'entraînement, de qualifications et de tournois, le tout dans la quête de la médaille d'or lors d'un événement qui n'a lieu que tous les 4 ans... du moins c'est ce que nous pensions. Caroline Calve est une snowboardeuse olympique canadienne et une gagnante de la Coupe du monde. Elle a toujours été l’une des athlètes les plus élites de son sport. Lors de sa dernière compétition à Sotchi, elle n'a malheureusement pas réussi à décrocher une médaille d'or.

Dans un article haletant, Caroline revient sur son voyage à Sotchi avec tous les hauts et les bas auxquels on peut s'attendre. Lisez son fantastique parcours en cliquant ICI

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23 décembre 2015
10 meilleures façons d’éviter une commotion cérébrale

Il y a trop de commotions cérébrales ces jours-ci. Découvrez les 10 meilleures façons de les éviter.

1. Portez un équipement approprié

Le port de l’équipement approprié lors de la pratique d’un sport est essentiel pour éviter une commotion cérébrale. Les casques (et les protège-dents !) sont importants.

2. Évitez d'utiliser la tête pour frapper

Si vous affrontez un adversaire, utilisez la bonne technique. Ne plongez jamais la tête la première et ne ciblez jamais la tête pour obtenir un gros coup.

3. Renforcer les muscles du cou

De nombreuses études ont montré que travailler les muscles du cou peut améliorer votre résistance naturelle aux commotions cérébrales ; cela aide à stabiliser votre tête et votre colonne vertébrale.

4. Pratiquez les techniques appropriées

Dans des sports comme le football, il est parfois nécessaire d’utiliser la tête pour diriger le ballon. Mais assurez-vous d'utiliser la bonne technique et de ne pas simplement le frapper aveuglément avec votre tête.

5. Augmenter la sensibilisation

Une meilleure vision sur le terrain et une conscience accrue peuvent vous aider à voir et à réagir aux joueurs qui tentent de vous plaquer. Il est essentiel d’éviter les gros coups qui vous font reculer la tête.

6. Bouclez votre ceinture de sécurité

La plupart des commotions cérébrales non liées au sport surviennent lors d'accidents d'automobile. Il s'agit souvent de têtes heurtant le tableau de bord ou le volant.

7. Faites plus d’exercice

Des études ont montré que les personnes qui mènent une vie plus active auront un meilleur équilibre et un meilleur temps de réaction, évitant ainsi les chutes et les accidents pouvant entraîner une commotion cérébrale.

8. Gardez les escaliers propres

L’autre grand endroit pour une commotion cérébrale non liée au sport se trouve dans les escaliers. Trop souvent, les gens trébuchent sur les déchets qu'ils laissent dans les escaliers et tombent dans les escaliers, risquant ainsi des commotions cérébrales et pire encore.

9. Éducation

L'éducation sur ce qui se passe lors d'une commotion cérébrale, les dangers d'avoir une deuxième commotion cérébrale tout en guérissant de la première et les moyens appropriés pour éviter les commotions cérébrales est extrêmement importante.

10. Diagnostiquer correctement

Utilisez les bases neurologiques pour juger si une personne souffre d’une commotion cérébrale. Diagnostiquer correctement une première commotion cérébrale et suivre la récupération permettra aux entraîneurs et aux soigneurs de prendre une décision responsable quant au moment où un joueur est prêt à retourner jouer.

Trop souvent, les protocoles secondaires reposent sur des questions subjectives et des tests physiologiques de base. Mais il est largement admis que ces protocoles sont très faibles. On ne peut pas diagnostiquer une commotion cérébrale en 5 minutes, surtout pas en demandant à un joueur s'il se sent bien et s'il pense qu'il est prêt à reprendre le jeu. Ils sont incités à dire oui.

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22 décembre 2015
Combattre les effets du vieillissement actif

Il est inévitable que le processus naturel de vieillissement ait un effet négatif sur l’esprit. Les processus mentaux commencent à ralentir au cours des années d’or et, souvent, les compétences comme conduire et naviguer dans de grandes foules peuvent commencer à décliner. Mais ce n'est pas une garantie.

Il est inévitable que le processus naturel de vieillissement ait un effet négatif sur l’esprit. Les processus mentaux commencent à ralentir au cours des années d’or et, souvent, les compétences comme conduire et naviguer dans de grandes foules peuvent commencer à décliner. Mais ce n'est pas une garantie.

Avec NeuroTracker, les personnes âgées peuvent tenter de lutter contre les effets du vieillissement actif. Avec des programmes de formation mentale adaptés aux besoins individuels du client, aidant les retraités à poursuivre leur objectif de conduire de manière plus sûre et plus confiante.

Comment fonctionne NeuroTracker

NeuroTracker est conçu pour être un moyen amusant et interactif pour entraîner la concentration de l'esprit, le suivi biologique des mouvements et la capacité à traiter et prioriser plusieurs stimuli à la fois. La procédure de formation demande aux participants de suivre des objets sélectionnés dans un champ composé de plusieurs objets alors qu'ils se déplacent dans une projection tridimensionnelle.

Les simulations commencent lentement, la vitesse étant basée sur le participant, et augmentent progressivement au cours de la formation. Finalement, le participant suit facilement divers objets sans perdre sa concentration.

Cette pratique permet d'affiner la concentration distribuée d'un participant, qui est généralement définie comme la capacité de suivre plusieurs stimuli en même temps. Pensez-y comme à perfectionner la capacité de votre cerveau à jongler. L'entraînement avec NeuroTracker vous aide à garder une trace de toutes les balles sans en « laisser tomber » une seule.

Il a été démontré que la formation NeuroTracker s’améliore avec une attention sélective. Cela vous aide à entraîner votre esprit à traiter et à prioriser rapidement un grand nombre de stimuli à la fois, puis à éliminer ceux qui ne sont pas importants pour la tâche à accomplir.

Comment NeuroTracker combat les effets du vieillissement

Après avoir terminé un programme de formation avec NeuroTracker, il a généralement été démontré que les participants plus âgés sont capables de fonctionner au même niveau sur NeuroTracker que les jeunes adultes dans leur apogée mentale sans formation NeuroTracker. Cela signifie que NeuroTracker peut non seulement inverser certains des effets du vieillissement en bonne santé, mais peut même permettre à un participant de sentir qu'il récupère une partie de l'agilité mentale de sa jeunesse.

L’un des plus grands avantages que les participants âgés pourraient rechercher est leur capacité à conduire dans des situations stressantes sans se sentir dépassés. Parce que leur esprit est entraîné à suivre les stimuli visuels et à prioriser les entrées importantes, ils peuvent s’attendre à être plus calmes pour prendre la bonne décision sous pression, même à grande vitesse.

On s'attend également à une grande amélioration de la capacité de nos participants âgés à se déplacer sans problème à travers de grandes foules de personnes. Il peut être dangereux pour les personnes âgées de traverser une grande foule : la mer de corps en constante évolution peut renverser un passant et provoquer une chute dangereuse.

NeuroTracker a été conçu en partie pour aider les athlètes professionnels à suivre les corps en mouvement et à prédire leurs mouvements dans des situations sportives rapides. Cela se traduit naturellement par l’aide aux non-athlètes dans des situations réelles, comme marcher dans une rue bondée ou faire rouler un chariot dans une épicerie très fréquentée.

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Équipe NeuroTrackerX
19 décembre 2015
Perception biologique du mouvement - Une compétence cruciale pour chaque athlète

La plupart des décisions prises par les athlètes pendant un match reposent sur le mouvement biologique. Le joueur adverse va-t-il passer ou tirer ? Améliorer votre capacité à lire avec précision le mouvement biologique est essentiel pour devenir un meilleur athlète.

Les athlètes sérieux poussent leur esprit et leur corps aux limites de la performance humaine. Certains réalisent des exploits qui défient les attentes de notre espèce : Roger Bannister a franchi le kilomètre des 4 minutes en 1958 ; Benedikt Magnusson a soulevé plus de 1 000 livres en 2011.

En apparence, ces réalisations sont de nature physique. En fait, c’est l’agilité mentale des athlètes qui mène à leur réussite sur le terrain. En effet, les performances des athlètes professionnels varient d’un jour à l’autre, et cela n’est clairement pas dû à des variations physiques quotidiennes, mais à une attention et une concentration mentales. Les meilleures équipes perdent quelques matches chaque année, souvent face à des équipes de bas de classement, ce qui montre à quel point le fait d'être « dans la zone » ou non peut déterminer le résultat. Parfois, la performance exceptionnelle d’un joueur clé fera la différence.

Une compétence mentale importante lors de compétitions sportives de haut niveau est la lecture des mouvements du corps. Être capable de percevoir le mouvement d'un coureur en compétition ou d'un coéquipier est essentiel pour prendre de bonnes décisions en temps réel. Le mouvement biologique est essentiel à tous les sports, du hockey au football, du football au baseball, de l'athlétisme à la lutte.

Il a été prouvé dans de nombreuses expériences scientifiques que les athlètes professionnels perçoivent mieux que la moyenne les mouvements biologiques. Cette capacité se traduit en outre par de nombreux avantages. Leurs temps de réaction, leur prise de décision et leur précision dans la délivrance des passes sont tous directement liés à leurs capacités de perception biologique. Leur pouvoir prédictif est considérablement augmenté, leur permettant de mieux comprendre les positions futures de leurs coéquipiers, défenseurs et gardiens de but, ce qui améliorera clairement les performances. On dit que bon nombre des meilleurs athlètes de sports d'équipe au monde ont des « yeux derrière la tête », ce qui est en fait une question de pouvoir prédictif.

Dans une étude publiée en septembre 2015, Thomas Romeas et le Dr Jocelyn Faubert du Laboratoire de psychophysique visuelle et de perception de Montréal ont découvert que les athlètes experts en perception biologique du mouvement obtenaient de meilleurs résultats dans la prédiction des passes au football et avaient des temps de réaction plus rapides. Les non-athlètes qui ne possédaient pas d’expertise en suivi de mouvement étaient moins compétents dans presque toutes les tâches.

Alors, comment un athlète s’entraîne-t-il sur cette partie de son jeu ? La plupart du temps d’entraînement des athlètes de compétition est destiné à garder le corps en forme. Mais le cerveau a autant besoin d'aller à la salle de sport que les muscles. L’entraînement mental n’est le plus souvent qu’une partie implicite d’un autre entraînement, comme la pratique du suivi des mouvements au rythme du jeu lors d’une mêlée.

C'est là qu'intervient l'entraînement cognitif ciblé. NeuroTracker est un exemple où la science a montré qu'il améliore la capacité à lire le mouvement biologique. On savait déjà que les athlètes d’élite étaient capables de mieux prédire où se déplaceraient les défenseurs et leurs coéquipiers. Il a été démontré de manière cruciale que ces compétences sous-jacentes peuvent être influencées positivement à l’aide de l’entraînement NeuroTracker, et cette influence sur l’amélioration des prédictions d’actions sportives est désormais spécifiquement étudiée.

Les équipes sportives professionnelles consacrent désormais de plus en plus de temps d’entraînement précieux à l’entraînement à la perception biologique du mouvement. Des centres spécialisés de formation sportive et de vision sportive voient également le jour, qui proposent désormais une formation sportive de pointe à d'autres athlètes sérieux qui n'ont pas accès à de telles installations par le biais des clubs sportifs. À mesure que cette pratique se développe, on peut prédire que cela entraînera de meilleures performances sur le terrain et l'apparition de davantage d'« yeux derrière la tête ».

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Équipe NeuroTrackerX
18 décembre 2015
Mode de sensibilisation tactique au hockey dans NeuroTracker

Alors que les athlètes professionnels font preuve de plus de talent que jamais, l’écart n’a jamais été aussi réduit. Même le plus petit avantage peut faire la différence entre un joueur vedette et un bon joueur. Le mode de sensibilisation tactique permet un entraînement spécialisé et complexe spécifique au sport. Apprenez-en davantage sur le mode de sensibilisation tactique au hockey.

Le hockey est l’un des sports les plus dynamiques au monde. Les joueurs doivent suivre le mouvement ultra-rapide de la rondelle et prédire où iront leurs coéquipiers et adversaires au fur et à mesure que le jeu se déroule. Cela nécessite des calculs complexes de vitesse et de stratégie à la volée.

Alors, comment pouvez-vous améliorer votre capacité à voir les jeux à mesure qu’ils se déroulent et à prédire le prochain jeu ? C'est là que l'entraînement cognitif entre en jeu. Il est important de rester en pleine forme physique afin de pouvoir concourir à votre plus haut potentiel. Il en va de même pour votre cerveau. Le cerveau humain est capable de prouesses considérables, et l’entraîner à s’adapter aux besoins complexes du hockey est une façon d’améliorer considérablement votre jeu.

Historiquement, les entraîneurs se sont appuyés sur les mêlées pour reproduire des situations de jeu et améliorer les capacités cognitives nécessaires à la performance en jeu. Désormais, il existe également une salle de sport pour votre cerveau. NeuroTracker utilise un environnement 3D de pointe et un logiciel de suivi d'objets multiples pour augmenter la concentration et la prise de décision des athlètes. Généralement en séances de moins de 10 minutes et aussi peu que deux fois par semaine. L'efficacité de l'entraînement est étonnante, tirant parti de la « plasticité cérébrale », ou de la capacité du cerveau à apprendre et à s'adapter. ( Voir la recherche ici )

En traitant mieux les informations visuelles, vous pouvez prendre de meilleures décisions. On peut s’attendre à ce que l’entraînement avec NeuroTracker vous aide à mieux maîtriser la rondelle tout en suivant les joueurs autour de vous.

S'entraîner dans le nouveau mode de sensibilisation tactique permet d'améliorer encore plus la perception des entrées visuelles. Avec des images de situations de jeu réelles en mouvement, vous pouvez facilement traduire les simulations de NeuroTracker en compétences réelles dans le jeu. Cet important « bénéfice translationnel » a été démontré dans des recherches scientifiques récentes.

Dans la formation de base de NeuroTracker, il est demandé de suivre des cibles spécifiques au sein d'un groupe, généralement quatre sphères sur huit. En mode conscience tactique, la charge cognitive est considérablement augmentée en présentant des situations complexes et en obligeant le sujet à prendre une décision stratégique, tout en suivant les objectifs de base. C'est mentalement épuisant, même lors de courtes séances, mais cette sensation est le résultat d'un travail acharné de votre cerveau pour assimiler le nouvel apprentissage. Cela entraîne non seulement une amélioration très rapide, mais constitue également une approche théorique idéale pour développer l’endurance mentale, essentielle pour éviter les buts contre tardifs, si courants au hockey ou au football, liés à la fatigue des joueurs.

Entraîner le cerveau à réagir rapidement à de tels stimuli visuels devient rapidement une activité régulière des grandes organisations professionnelles du monde entier. Savoir où et quand être là, sur la base d'indices visuels et d'une meilleure compréhension de l'endroit où se déroule le jeu, est la signature des joueurs qui se démarquent.

Que vous soyez défenseur ou gardien de but, il est vital de gérer la tempête imminente d’une ruée d’hommes étranges. En tant que centre ou ailier, être capable de voir les schémas se développer lors d’un échec avant sous haute pression est crucial pour ouvrir la contre-attaque.

Le mode de sensibilisation tactique de NeuroTracker est conçu précisément pour cela. Cette intégration d'un entraînement cognitif abstrait plus fondamental avec des scénarios spécifiques à la prise de décision offre une approche globale de l'entraînement à la performance.

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Équipe NeuroTrackerX
17 décembre 2015
WIRED : NeuroTracker peut être aussi vital pour les militaires que l'exercice physique

Selon le magazine WIRED, NeuroTracker pourrait être aussi vital pour les militaires que l'exercice physique. NeuroTracker a été utilisé par plusieurs entités militaires dans le monde. Visitez cette page pour lire l’article complet de WIRED.

par Eric Niiler - WIRED Magazine

17 décembre 2015

L’IDÉE CONTROVERSÉE selon laquelle on peut « entraîner » un cerveau humain pour qu’il devienne plus intelligent ou plus rapide s’est répandue dans le monde de l’athlétisme d’élite et de la récupération après un traumatisme cérébral. Maintenant, ça va au camp d'entraînement. Les chefs militaires, conscients que les troupes sont confrontées à des menaces et à des équipements de plus en plus compliqués, commencent à penser que l’entraînement cérébral pourrait être tout aussi important que les pompes.

Lors des récentes conférences du « Mad Scientist » à Fort Leavenworth et dans des livres blancs comme le sur le concept des dimensions humaines (PDF), les psychologues et les neuroscientifiques qui travaillent avec l'armée commencent à emprunter le manuel de jeu sport/traumatisme. À l'heure actuelle, la plupart des travaux se déroulent encore en laboratoire, mais les chercheurs prédisent que bientôt les bases militaires disposeront de « gymnases cognitifs » où les combattants en repos pourront faire travailler leur matière grise avec un test conçu pour augmenter la mémoire à court terme, stimuler leur capacité à gérer plusieurs choses à la fois – c'est ce qu'on appelle la « charge cognitive » – et peut-être même à mieux tirer avec leurs armes.

POUR LIRE L'ARTICLE COMPLET CLIQUEZ ICI

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Équipe NeuroTrackerX
16 décembre 2015
Coup de tête ! – L’expérience NeuroTracker – Ep.3

Dans cette série de blogs, JLJ est votre homme habituel. Il a un travail quotidien, une belle famille et il pratique régulièrement certains sports, principalement le football, pour s'amuser. Il entend parler de NeuroTracker depuis un certain temps, mais ne l'a jamais essayé. Il écrit cette série de blogs invités pour décrire son expérience complète avec NeuroTracker avec tous les hauts et les bas d'un programme d'entraînement mental.

À l’approche de ma quatrième semaine de NeuroTracker , j’étais très intéressé, voire anxieux, de constater des améliorations. J'avais constaté un petit mouvement dans mes scores et j'étais curieux de voir comment cela pourrait continuer à s'accélérer. Il était également important d'observer tout changement sur le terrain de jeu, après avoir senti que mes décisions de passe avaient diminué au cours des deux dernières années, entraînant des pertes de possession inutiles.

Une fois de plus, je me suis assis devant l'écran et mon partenaire d'entraînement, Jake, a lancé le système. Nous avons débattu de l'ajout de défis supplémentaires, comme se tenir debout ou rester en équilibre (regardez cette vidéo sur les étapes de l'entraînement NeuroTracker pour en savoir plus). Nous avons décidé de ne pas le faire, d'autant plus que je voulais progresser un peu plus dans la courbe de performances avant de changer de vitesse. Cela est en partie dû à la dernière séance où j'ai été distrait par mon enfant de six ans. Cette fois, je voulais vraiment me concentrer et performer !

NeuroTracker démarre automatiquement à une vitesse inférieure à votre ligne de base actuelle, il a donc démarré à une vitesse de 1,2, ce que je trouve maintenant très lent, je ne manque jamais à cette vitesse. Chaque fois que vous réussissez une série, elle s’accélère. Pour la première fois, j'ai eu 5 séries d'affilée. La cinquième série était à 3,4, et c'est la première fois que j'en réussis une à ce niveau. J'ai finalement interrompu ma séquence à une vitesse de 4,0, ce qui était une vitesse folle pour moi - j'ai eu trois erreurs sur quatre ! En gros, j'ai perdu les balles tout de suite, donc je ne faisais que deviner.

À partir de ce moment-là, le système a triangulé jusqu'à ce que je pouvais gérer, et pour la première fois, je me suis retrouvé au-dessus de 2, à 2,08.

Un phénomène très intéressant est que 1,9 était systématiquement atteint pour moi, alors que lorsque j'ai suivi l'entraînement pour la première fois il y a un mois, cela m'a semblé extrêmement rapide. Ainsi, non seulement j’ai pu constater l’amélioration de mes scores cette fois-ci, mais j’ai aussi vraiment ressenti la différence . Il y a une sensation allant alternativement de la maîtrise à la chute libre, et à 1,9 je ressentais maintenant la même maîtrise qu'à 1,5 quelques semaines plus tôt.

Jeremy_Montréal_Impact

Le lendemain soir, j'ai joué au football en salle et Jake est venu jouer avec le groupe et observer, comme il l'avait fait les semaines précédentes. Jake lui-même a été très constant avec son entraînement NeuroTracker, avec un score désormais supérieur à 3,0, et il affirme que cela a aidé ses mises au jeu au hockey sur glace à passer de moins de 20 % à plus de 80 %. J'avais hâte de voir si je pouvais faire moins de passes décisives et idéalement plus de passes décisives et même de buts.

Et bien je peux vous dire que c'était mon meilleur jeu depuis 2 ans ! Jake et moi avons ri tout au long du match, alors que je réalisais une série de passes décisives folles dans l'espace et des courses en solo mémorables couronnées de buts. Ce gars, Mike de mon équipe et moi, nous sommes connectés à plusieurs reprises, moi le mettant directement sur son pied alors qu'il passait devant le filet, ce sur quoi nous n'avions jamais connecté auparavant.

Physiquement, je suis dans une pire forme qu'il y a deux ans, avec un mauvais genou gauche et un mollet droit déchiré, donc la différence devait être dans l'esprit, pas dans le corps. Bien qu’un jeu et une personne ne constituent pas une expérience scientifique et statistiquement significative, c’était, de manière anecdotique, une expérience très intéressante. J'étais en feu pour de vrai ! Je ferai un retour après le match de mercredi prochain, mais ça s'annonce bien !

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