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S’il existait une pilule magique capable de procurer les bienfaits d’un exercice intense, mais sans aucune transpiration, la prendriez-vous ? Des neuroscientifiques de l'Université de Houston ont fait une découverte potentiellement révolutionnaire pour la santé humaine. Dans une nouvelle étude, ils ont montré pour la première fois qu'un exercice musculaire très léger et ciblé, appelé « pompes soléaires », peut considérablement augmenter le métabolisme du corps et le taux de consommation d'oxygène. Nous expliquerons ici pourquoi cette découverte pourrait bien être l’une des plus grandes avancées jamais réalisées dans la biologie humaine moderne.

Qu'est-ce que le Soléaire ?

Le soléaire est un mince muscle mineur du mollet qui se trouve derrière le mollet principal (gastrocnémien) et le tendon d'Achille, allant du talon à l'arrière du genou. Le muscle est généralement activé lorsque le mollet est étiré, c'est-à-dire lorsque le pied est élevé au-dessus du plat et poussé vers le bas. Marcher ou courir sur une pente raide (mais pas des marches) est un exemple de cas où ils entrent en jeu.

Les muscles constituent la plus grande masse maigre de notre corps, mais en termes de métabolisme oxydatif de l’ensemble du corps, ils ne brûlent que 15 % du glucose au repos. Ce manque de métabolisme musculaire au repos est associé aux risques sanitaires désormais bien établis d'une position assise trop longue . Étonnamment pour la plupart des gens, ce risque reste élevé, même pour les personnes qui font régulièrement de l'exercice ou font de l'exercice, comme aller à la salle de sport ou courir.

Qu'y a-t-il de si spécial à propos du Soléaire ?

Ce muscle possède un mécanisme intégré spécial, inconnu jusqu’à présent. Les chercheurs ont montré que lorsque ce muscle spécifique est activé d’une manière très spécifique, le métabolisme du glucose dans tout le corps est augmenté de 30 à 45 %. Cela se produit avec une dépense énergétique négligeable pour contracter réellement le soléaire et déclenche également l'utilisation d'un mélange de carburant jusqu'alors inconnu.

L’exercice consiste en un simple soulèvement répétitif du talon tout en gardant la plante du pied au sol, ce qui peut être effectué en position assise sur le sol ou sur une chaise. Fait intéressant, ce type précis de contraction du soléaire est désactivé lors de la marche ou de la course. En conséquence, la dépense énergétique musculaire des membres inférieurs a également été testée sur un tapis roulant.

Brûlez plus d'énergie que de courir - en étant assis ?!

Remarquablement, les pompes soléaires brûlaient plus de deux fois plus d’oxygène dans tous les muscles des jambes que la course à pied. Les mêmes effets métaboliques se sont également révélés dix fois supérieurs à ceux de la marche. Cette énorme augmentation de la consommation d’énergie a été observée chez les adultes âgés de 22 à 82 ans.

Ce qu’il faut retenir, c’est que la régulation métabolique systémique peut être grandement améliorée en activant ce muscle mineur du mollet, et ce, sans résistance ni poids supplémentaires. Ces résultats de recherche révèlent un moyen largement accessible et pratique de contrer les risques sanitaires importants liés à une position assise prolongée, y compris pour les personnes qui font régulièrement de l'exercice.

Voici un aperçu des résultats de l’étude réalisée par le chercheur principal Marc Hamilton.

Il pourrait également y avoir bien d’autres avantages, comme la prévention de la thrombose veineuse profonde (TCD) sur les vols long-courriers. Ceci est dû à l’accumulation de caillots sanguins dus à une circulation sanguine restreinte dans les jambes, qui peuvent à leur tour circuler dans le système cardiovasculaire et provoquer des crises cardiaques mortelles.

En particulier, les pompes soléaires pourraient constituer une thérapie idéale pour les personnes dont les mouvements sont limités en raison de blessures, de maladies ou des effets physiologiques du vieillissement naturel. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour étudier ces avantages.

Un autre Biohack ?

Bien que les résultats de l’étude semblent difficiles à croire, des mécanismes biologiques similaires ont été découverts, qui incitent également le corps à aller au-delà de l’activité humaine normale. Un exemple bien établi dans les sciences du sport est celui des contractions musculaires pliométriques , où les muscles sont brièvement étirés de manière excentrique au-delà de leur plage normale, puis rapidement contractés. Cela entraîne une augmentation significative de la puissance musculaire. En tant que telle, il s’agit d’une technique d’entraînement utilisée dans de nombreux sports pour développer la puissance.

D'autres exemples sont la libération de réserves d'énergie chez des athlètes d'endurance complètement fatigués lorsqu'ils goûtent simplement des sucres, et l'amélioration de tous les processus sensoriels lorsqu'ils reçoivent un modèle très spécifique de stimulation sensorielle appelé « résonance stochastique ».

Il est tentant de qualifier ces phénomènes de biohacks, mais cela reste sujet à débat, car ces réponses naturelles sont intégrées à notre biologie fondamentale à travers l'évolution. La percée des pompes soléaires soulève cependant une question importante : que peut-on découvrir d'autre sur les capacités cachées de notre corps ? Espérons que la science nous le dira.

Le document en libre accès peut être lu ici.

'Une méthode physiologique puissante pour amplifier et maintenir le métabolisme oxydatif du soléaire et améliorer la régulation du glucose et des lipides'

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Les autochtones des pays d’Asie du Sud parlent depuis des années des merveilles curatives du kratom (Mitragyna speciosa), un arbre tropical à feuilles persistantes de la famille du café. Ils pensent que les feuilles des arbres et les extraits de feuilles ont des propriétés stimulantes et sédatives. Il aurait été utilisé pour traiter la douleur chronique, le sevrage de la dépendance à l'opium et les problèmes digestifs.

Malheureusement, il n’existe pas suffisamment de recherches et d’essais cliniques pour étayer ces affirmations, et son usage médical n’a pas été approuvé. Mais cela ne veut pas dire nier les effets du Kratom sur la santé. Cet article passera en revue les avantages potentiels pour la santé que le Kratom peut offrir et mettra en évidence les risques associés à l'utilisation du Kratom. Commençons par expliquer pourquoi les gens utilisent le Kratom, les méthodes d'utilisation et le dosage.

Pourquoi et comment les gens utilisent-ils le Kratom ?

Les gens utilisent le Kratom pour différentes raisons. Il a été observé que le kratom fonctionne comme un stimulant à faibles doses. Les utilisateurs à faible dose déclarent généralement ressentir un sentiment d'énergie, d'alerte et de convivialité après avoir consommé le médicament. Des effets euphorisants et des émotions et sensations atténuantes ont également été rapportés à des doses plus élevées.

Le kratom est principalement utilisé aux États-Unis comme thé qui peut aider à soulager la douleur et le sevrage narcotique. Quant à la méthode d'ingestion, les feuilles vert foncé de la plante sont généralement séchées et broyées ou réduites en poudre. De plus, il existe également des formes de Kratom en pâte, en pilule et en comprimé, selon celle qui vous convient le mieux.

Avantages pour la santé du kratom

Les effets physiologiques du Kratom sont liés à la présence de deux alcaloïdes principaux, la mitragynine et la 7-hydroxy mitragynine, que l'on retrouve dans les feuilles. L'utilisation du kratom à veines rouges présente divers avantages potentiels pour la santé , selon les recherches disponibles, notamment :

1. Soulagement de la douleur et effets anti-inflammatoires

Une étude de 2017 sur le Kratom a révélé des détails intéressants sur ses propriétés anti-inflammatoires et stimulantes du système immunitaire. Cette découverte conforte les histoires de nombreux utilisateurs de kratom qui ont témoigné de sa capacité à soulager les douleurs et courbatures chroniques. De plus, les propriétés analgésiques du Kratom ont été comparées à celles des injections d'HCG et examinées en tant que remède naturel pour réconforter les patients souffrant de fibromyalgie et de douleurs chroniques.

Bien qu'il soit possible que le Kratom présente une alternative plus naturelle pour soulager la douleur et l'inflammation, il n'y a toujours pas suffisamment de preuves présentées pour que le médicament soit largement accepté – les preuves anecdotiques se multiplient chaque jour.

2. Peut soulager l’anxiété

Basé sur une ancienne tradition parmi les peuples d'Asie du Sud, ils mâchent généralement quelques feuilles de la plante avant de se rendre à des réunions sociales ou à des événements. En effet, le Kratom les aiderait à rester plus calmes, moins inquiets, plus à l'aise et plus extravertis.

Cette pratique est encore très présente aujourd’hui, car les gens utilisent encore le Kratom pour sa prétendue capacité à réguler le flux mental et à calmer les nerfs. Certaines personnes disent que le Kratom les rend plus amicaux et plus bavards.

3. Peut aider à lutter contre la dépression

Le mécanisme par lequel le Kratom interagit et affecte le corps est similaire à celui des opioïdes comme la morphine et la codéine, même s'il ne s'agit pas d'un médicament opioïde.

La mitragynine, un alcaloïde actif présent dans le kratom, se fixe aux récepteurs opioïdes pour produire des effets similaires à ceux des antidépresseurs et des médicaments contre l'anxiété. Cependant, il existe peu de preuves scientifiques prouvant l’effet du Kratom sur l’anxiété et l’humeur.

Notez également que les propriétés anti-anxiété proverbiales du Kratom ne sont présentes que dans des variétés et des types de produits spécifiques. Les utilisateurs qui souhaitent bénéficier des propriétés anti-anxiété offertes par le kratom devront effectuer des recherches pour identifier la souche et le produit appropriés. Il est également crucial d'établir un dosage personnel approprié pour des effets optimaux.

4. Pourrait aider à surmonter certaines dépendances

L'International Journal of Drug Policy a publié une étude en mai 2019 pour trouver des réponses à certaines questions fréquemment posées sur le Kratom et son utilisation. Une découverte passionnante a été l'utilisation du Kratom dans le traitement de la dépendance.

Beaucoup pensent que l’utilisation du Kratom peut aider à réduire les symptômes de sevrage des opioïdes et d’autres habitudes addictives. Une étude à petite échelle a également été menée en Malaisie en 2009 pour montrer comment le Kratom réduisait les symptômes de sevrage. De nombreux chercheurs ont également publié des articles, des rapports en ligne et des données sur le même sujet.

Cependant, les agences de réglementation comme la FDA exigent toujours des essais cliniques plus contrôlés sur le médicament pour s'assurer qu'il s'agit d'un traitement sûr et fiable pour traiter la dépendance.

5. Peut agir comme un booster d’énergie

Comme indiqué ci-dessus, il existe différentes variétés de Kratom, chacune avec un attribut particulier. Bien que certains puissent produire des effets similaires à ceux du café, d’autres peuvent vous rendre ennuyeux. On pense que certaines variétés – White vein kratom, Maeng Da et Thai Kratom – permettent à l'utilisateur de se sentir plus énergique et déterminé à accomplir ses tâches quotidiennes plus rapidement. Cette connaissance commune incite beaucoup de personnes à se tourner vers une tasse de thé au kratom comme alternative à leur infusion matinale.

Des études sur les effets énergétiques du Kratom révèlent que le médicament affecte des systèmes métaboliques spécifiques pour améliorer la circulation et augmenter la quantité de sang oxygéné, d'où les effets de sensation de pompage.

6. Amélioration de la libido

Un autre avantage possible du kratom est qu’il peut constituer un complément potentiel pour l’amélioration sexuelle. Certains chercheurs ont examiné les propriétés aphrodisiaques du Kratom dans le cadre de plusieurs essais cliniques et ont publié des données affirmant qu'il fonctionne bien comme stimulant sexuel à base de plantes.

Effets secondaires possibles

Les effets secondaires les plus courants dont se plaignent généralement les utilisateurs de Kratom sont la constipation et les nausées. Cependant, il existe également des effets néfastes liés à la consommation de Kratom. Ils comprennent :

● Transpiration

● Démangeaisons

● Vertiges

● Bouche sèche

● Hallucinations

● Saisies

● Dommages au foie

Effets à long terme

On ne sait pas grand-chose des effets à long terme d’une consommation prolongée de kratom. Cependant, une enquête auprès de certains utilisateurs montre que l'anorexie, la perte de poids récurrente, la peau du visage plus foncée, les lèvres sèches, les mictions fréquentes et la constipation sont les effets potentiels à long terme d'une utilisation prolongée du kratom.

Conclusion

Avant d'utiliser le Kratom pour des propriétés médicales, consultez d'abord votre médecin. Même si le médicament offre certains avantages, il comporte également certains risques, notamment en cas de surdosage ou de problèmes de qualité du produit.

De nombreuses recherches ont prouvé que le Kratom avait des utilisations médicales, notamment pour soulager la douleur, traiter les symptômes de troubles de santé mentale, tels que l'anxiété et la dépression, arrêter ou réduire la consommation d'opioïdes ou d'autres substances, et gérer les symptômes et les envies de sevrage des opioïdes. . Certains médicaments susceptibles de réagir avec le Kratom comprennent les benzodiazépines, les barbituriques, l'alcool, les opioïdes, les antidépresseurs, les anxiolytiques et d'autres médicaments actifs sur le SNC. D’autres études seront également nécessaires pour vérifier que le Kratom offre plus d’avantages que d’inconvénients.

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Le cerveau sportif est un cerveau efficace. Qu’il s’agisse d’un match gagnant de dernière minute ou d’une performance exceptionnelle, entraîner les athlètes pour améliorer leur capacité à s’épanouir sur le moment fait la différence entre le bon et le grand. Nous partagerons ici notre approche chez NeuroAthletes , où nous nous spécialisons dans la fourniture d'un entraînement cognitif robuste utilisant les dernières neurotechnologies.

Le chaînon manquant dans l’amélioration moderne des performances

Nous avons d'abord créé NeuroAthletes parce que nous avons remarqué qu'il manquait quelque chose dans le marché du sport pour les jeunes alors que nous entraînions nos propres enfants. En tant qu’anciens athlètes nous-mêmes, nous avons pris conscience de certains des défis auxquels les jeunes athlètes sont confrontés dans les sports de compétition mondiaux du 21e siècle.

Ceux-ci incluent des facteurs tels que voyager avec des équipes à un âge beaucoup plus jeune, une augmentation de l'anxiété générale et, en particulier, une concentration, une attention et une confiance sociale moindres dues au fait de grandir à l'ère numérique.

À la recherche de solutions à ces défis, nous avons recherché et essayé diverses options de formation modernes. Nous avons constaté que le domaine qui dépassait de la tête et des épaules les autres était l’entraînement cognitif, et nous avons adoré les résultats que nous avons obtenus. Bien qu’il s’agisse d’une approche relativement nouvelle, cette approche est parfaitement logique. De nombreux experts affirment que le sport est à 80 % mental, mais traditionnellement, les fonctions cérébrales ont rarement été entraînées selon une méthodologie scientifique du sport. Au lieu de cela, la plupart des entraînements sont principalement basés sur la condition physique ou les compétences.

Après avoir découvert ce chaînon manquant dans le conditionnement de performance athlétique, nous nous spécialisons désormais dans la combinaison de l’entraînement physique et mental pour aider les athlètes à passer de bon à excellent.

Former les cerveaux des champions de demain  

La différence entre un athlète moyen et un athlète d’élite réside dans leurs capacités de performance mentale. La recherche montre même que des capacités cognitives élevées constituent probablement la meilleure mesure prédictive des athlètes de classe mondiale , par rapport aux athlètes de sous-élite.

La bonne nouvelle est que le cerveau est bien plus adaptable et réactif à un entraînement ciblé que le corps. neuroplasticité intrinsèque , le cerveau peut littéralement se reconnecter du jour au lendemain.

L’essentiel à retenir est donc que la performance mentale est un ensemble de compétences que vous pouvez entraîner et développer comme n’importe quelle autre compétence sportive fondamentale, et que les bénéfices peuvent être récoltés étonnamment rapidement. Par exemple, une étude sur le football a montré qu'une simple intervention de 3 heures d'entraînement cognitif distribué réduisait les erreurs de prise de décision de passe de 40 %.

Tout comme la force et le conditionnement physique ou la science du sport ont révolutionné la performance sportive, l'entraînement cognitif deviendra l'outil incontournable pour encadrer le cerveau du champion de demain.

Les compétences mentales que les athlètes doivent développer pour exceller

La plupart des athlètes et des entraîneurs sous-estiment à quel point le sport repose sur des compétences visuelles et cognitives de haut niveau. Par exemple, dans les sports d’équipe comme le hockey et le football, les joueurs ne passent qu’une infime fraction du temps de jeu en possession de la rondelle ou du ballon. La majeure partie de leur performance est dictée par la connaissance de la situation et les compétences de traitement rapide nécessaires pour savoir où se trouver, au bon moment. La légende du hockey Wayne Gretzky l'a parfaitement résumé.

Je patine là où la rondelle va être, pas là où elle était.

Lorsque nous associons tous ces éléments spécifiques à la performance dans un sport d'équipe, nous savons que les décisions des joueurs dépendent fortement de scènes qui changent rapidement, et que les joueurs doivent être capables de traiter et de reconnaître les situations afin de découvrir le jeu le plus efficace parmi tous les choix imaginables. souvent dans des délais extrêmement courts.

Cette capacité peut être décomposée en un processus en 4 étapes.

Cette boucle perception-action nécessite des muscles mentaux comme la mémoire de travail, la planification, le raisonnement et la créativité. De plus, ce processus doit être suffisamment flexible pour être dynamique. Les joueurs devront souvent prendre une décision rapide pour annuler un jeu prévu, pour plutôt décider d'un nouveau jeu en fonction de l'évolution des informations et des indices. Cela nécessite un contrôle inhibiteur, une flexibilité cognitive et une résolution de problèmes.

Nous aborderons ensuite certains des équipements et neurotechnologies que nous utilisons pour faire passer ce domaine de la performance humaine au niveau supérieur.

Techniques d’entraînement cognitif appliqué

Chez NeuroAthletes, notre première étape est toujours une évaluation approfondie du spectre des capacités visuelles de chaque individu. Plutôt que de poser la question de savoir si la formation visuelle fonctionnera pour un individu donné, nous nous demandons « comment pouvons-nous la faire fonctionner au mieux pour l'individu ? »

Tout comme les exigences physiques des différents sports varient, les exigences visuelles et cognitives varient également (même si la plupart des entraîneurs en tiennent rarement compte). C'est pourquoi nous donnons aux athlètes un aperçu complet des compétences visuelles et cognitives que nous évaluons, ce qui nous permet d'optimiser nos programmes de performance en fonction de besoins très spécifiques.

Bien que nous recherchions régulièrement les dernières innovations du marché, voici quelques technologies éprouvées avec lesquelles nous avons eu beaucoup de succès.

NeuroTracker

NeuroTracker utilise le suivi d'objets multiples en 3D pour entraîner rapidement les compétences de traitement visuel et la conscience de la situation. De plus, il fournit des bases scientifiques pour évaluer les capacités cognitives actuelles de chaque joueur.

Switchedon®Pro

Outil d'entraînement perceptuel, cognitif et moteur (PCM), Switchedon est conçu pour améliorer simultanément les performances physiques et cognitives, de manière à être transférées à la compétition.

Pods SMARTfit® Strike

Ce système d'entraînement visuel, cognitif et moteur aide les athlètes à concourir dans un état élevé de performance physique et de concentration mentale, qui peut être utilisé pour cibler les compétences œil-main ou œil-pied spécifiques au sport.

Entraîneur TRX RIP

Le système TRX permet un mouvement complet du corps et un renforcement en utilisant le poids corporel relatif pour développer la stabilité, l'équilibre, la puissance et la flexibilité du corps grâce à des mouvements de rotation et asymétriques.

Formation KBands

Cet équipement d'entraînement pliométrique développe efficacement la puissance dynamique pour augmenter les verticales, l'explosivité et le temps de réaction d'un athlète.

Parmi ces outils, NeuroTracker est devenu central dans toutes nos formations. Non seulement il nous permet d’améliorer les compétences visuelles et d’entraîner la perception de la profondeur en 3D, mais les mesures cognitives qu’il fournit nous permettent de suivre le développement de nos athlètes au niveau du cerveau. En tant que tel, il est utilisé par de nombreuses équipes de performance d'élite telles que Redbull F1, les Red Sox de Boston et les Capitols de Washington, pour n'en nommer que quelques-unes.

Les bénéfices de l’entraînement de la dimension neurophysique du sport

Nous aidons à entraîner le cerveau, à améliorer le temps de réaction, à améliorer la concentration, la précision mentale, le traitement sensoriel et d'autres attributs neurocognitifs. Voici quelques-uns des gains de performance que nous constatons grâce à nos programmes de formation globaux.

• Traitement des informations plus rapide

• Récupération rapide des erreurs

• Meilleure connaissance de la situation

• Capacité d'attention accrue

• Garder son sang-froid sous pression

• Meilleures capacités de précision motrice

• Jeu de jambes, vitesse de balle et contrôle plus rapides

• Vitesse et agilité accrues

• Temps de réaction réduits

• Exécution d'actions plus efficace

• Équilibre de base amélioré

De plus, les compétences que nous améliorons constituent également une première ligne de défense contre les blessures sur le terrain. Les athlètes deviennent plus aptes à reconnaître et à éviter les menaces de blessures telles que les tacles agressifs, notamment grâce à une vision périphérique élargie.

Points à retenir

Tout comme vous pouvez entraîner votre corps à développer la technique appropriée pour dribbler un ballon de basket ou lancer un lancer, vous pouvez entraîner votre esprit à devenir plus concentré, plus résilient et plus confiant. Cela n’arrivera pas par hasard, mais comme nous l’avons constaté chez NeuroAthletes, entraîner intentionnellement votre esprit avec cohérence et structure est une excellente recette pour réussir.

En appliquant les neurotechnologies et les équipements déjà disponibles sur le marché aujourd’hui, les athlètes peuvent être habilités à devenir physiquement et mentalement prêts à performer. Maximiser l’entraînement pour réfléchir plus vite, réagir plus intelligemment et mieux performer sous pression est réalisable grâce au conditionnement neurophysique.

Si vous souhaitez en savoir plus sur notre approche et les programmes de performance spécifiques que nous proposons, consultez notre site Web.

Neuroathlètes

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Outil de rééducation en plein essor utilisé par les physiothérapeutes, les entraîneurs sportifs et les bodybuilders, à la restriction du flux sanguin (BFR) a gagné en notoriété au cours des dernières années. Il est prometteur pour développer la force musculaire sans soulever de poids lourds, et potentiellement même pour faciliter la rééducation au repos. Nous aborderons ici les principes fondamentaux du BFR et quelques aspects scientifiques de son fonctionnement, pour révéler pourquoi cette technique pourrait devenir l'avenir de la rééducation.

Qu’est-ce que le BFR ?

BFR était à l'origine une nouvelle méthode de formation développée au Japon par le Dr Yoshiaki Sato en 1966, surnommée KAATSU (maintenant une marque de produits BFR ). Aujourd'hui, le BFR est également appelé, de manière plus scientifique, Entraînement à l'Occlusion , en référence au manque de flux sanguin. Le concept de base consiste à utiliser un brassard ou une bande étroitement attachée autour des principales artères du haut des jambes ou des bras. Certains des produits les plus récents sur le marché intègrent également des poignets aux vêtements de sport pour en faciliter l'utilisation.

L'objectif est de restreindre temporairement le flux sanguin entrant et sortant vers les groupes musculaires (ou uniquement le flux sanguin sortant avec KAATSU), essentiellement pour tromper les systèmes physiologiques du corps dans un état de rééducation accru. Cela dépend du protocole, mais la durée typique du BFR peut aller jusqu'à 20 minutes par session. Bien que cela semble potentiellement dangereux, le BFR a été étudié de manière approfondie et jugé sûr lorsqu'il est utilisé correctement.

L’effet le plus important du BFR est qu’il permet à de faibles niveaux d’activité physique d’avoir des effets similaires à ceux d’un exercice de haute intensité. Pour cette raison, des exercices de résistance de faible niveau, des exercices d’aérobic ou des mouvements de physiothérapie sont effectués tout en minimisant le flux sanguin. Pour les exercices de résistance, 30 % de la charge maximale d'une personne à une répétition est la limite supérieure pour déclencher les avantages du BFR.

Voici une courte introduction pratique.

Comment fonctionne le BFR ?

Bien que la méthodologie soit relativement simple, les mécanismes physiologiques de son fonctionnement présentent de multiples facettes. En effet, le corps réagit au stimulus en démarrant les réparations au niveau cellulaire.  

Voici trois mécanismes de réponse cellulaire qui facilitent la rééducation.

1. Hormones de récupération

Lorsque les sangles BFR sont appliquées, le sang commence à s'accumuler dans les muscles, les faisant gonfler et les stresser. Cela amène le corps à produire des hormones de récupération dans le muscle, et lorsque les sangles sont relâchées, ces hormones inondent tout le corps, produisant un impact systémique. Chaque muscle, organe ou structure du corps alimenté en sang peut potentiellement bénéficier de ces hormones de récupération.

2. Rinçage

Lorsque les sangles BFR sont retirées après une période d'application, l'accumulation de pression dans les membres est relâchée, provoquant un rinçage relativement soudain qui élimine les déchets des articulations et des muscles. Ce processus est immédiat et prend généralement au corps 48 heures ou plus pour y parvenir sans aide.

3. Reperfusion

Lorsque les sangles BFR sont retirées, du sang frais et riche en nutriments est acheminé vers les muscles et les tissus structurels, les aidant ainsi à récupérer dans un processus appelé reperfusion .

Qui utilise BFR et dans quel but ?

Traditionnellement, l’application la plus courante du BFR consiste à accélérer la réadaptation après des blessures ou des opérations graves. Dans ces situations, l’atrophie musculaire est un problème courant qui peut rendre la récupération difficile. Lorsque les muscles sont considérablement affaiblis, le stress biomécanique est transféré aux articulations associées, qui sont très facilement surchargées. Cela entraîne un risque élevé de blessure à nouveau lorsque l’on tente de reprendre le long chemin vers une activité normale.

En minimisant la perte musculaire lorsque l'on est incapable de supporter une charge, la récupération après une blessure peut passer plus tôt à l'étape suivante du programme de rééducation, à partir d'une position de plus grande force. Le BFR peut également être utilisé passivement (au repos) pour exploiter certains des avantages physiologiques. Ceci est particulièrement utile dans les premiers jours qui suivent les opérations, lorsque l'atrophie commence, mais l'inflammation rend impossible les charges d'entraînement même légères.

De même, les personnes dont le système cardiovasculaire est compromis ou dont le cœur est faible peuvent utiliser le BFR sans les risques évidents d’un exercice de haute intensité.

Les culturistes trouvent également le BFR attrayant, en raison du rapport extrême entre la masse musculaire et la masse squelettique, articulaire et tendineuse. En tant que tel, fonctionner à des charges maximales présente un risque de blessure plus élevé, BFR proposant une solution de contournement.

Enfin, BFR est récemment passé de la rééducation sportive professionnelle à l'amélioration des performances d'athlètes en bonne santé, tant pour le conditionnement de la force que de l'endurance . Quelques exemples d'adoption récente sont les clubs de Premier League anglaise et les équipes de F1 .

Dans l’ensemble, BFR a constaté une tendance à l’utilisation croissante, passant des physiothérapeutes, chirurgiens orthopédistes et chiropracteurs en exercice aux mains des entraîneurs, des entraîneurs et des athlètes d’élite. En raison de la nécessité de contrôler et de surveiller avec précision le flux sanguin, il est recommandé d’utiliser cette technique sous la supervision d’un personnel professionnellement formé.

Emporter

Bien que le BFR soit nouveau pour de nombreuses personnes, cette technique de réadaptation exploite les réponses biologiques naturelles et existe depuis des décennies, sur la base de données scientifiques solides. Cela peut être une méthode précieuse pour la récupération d’une blessure, ainsi qu’une aide à l’entraînement performant. En conséquence, les avantages appliqués dans les applications cliniques font désormais leur chemin dans le domaine de la performance humaine.

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Le soja ou fèves de soja (Glycine max) est une légumineuse originaire d'Asie de l'Est. Ils sont consommés depuis des milliers d’années et constituent un élément essentiel de l’alimentation asiatique. La plupart d’entre eux sont cultivés en Asie, en Amérique du Sud et en Amérique du Nord. Le soja est souvent consommé entier en Asie, mais les produits à base de soja fortement transformés sont beaucoup plus courants en Occident.

Les produits à base de soja comme la farine de soja, les protéines, le tofu, le lait de soja, la sauce soja et l'huile de soja sont tous disponibles. Le soja contient de puissants antioxydants et phytonutriments qui offrent de nombreux bienfaits pour la santé.

Cet article mettra en évidence cinq faits nutritionnels essentiels que vous devriez connaître sur le soja. Continuez à lire pour en savoir plus sur cette légumineuse unique.

Qu’est-ce que le soja et ses utilisations ?

Le soja fait partie de la famille des plantes pois (légumineuses) et constitue un pilier des cuisines asiatiques depuis des milliers d’années. Le soja et les aliments à base de soja sont populaires, en particulier parmi les végétariens et les végétaliens, en raison de leur teneur élevée en protéines et de leur capacité à être utilisés comme substituts du lait et de la viande. Certains producteurs utilisent notre soja pour fabriquer des suppléments de protéines en poudre et d'isoflavones. Les isoflavones sont des produits chimiques végétaux ayant une structure semblable à celle des œstrogènes.

Le soja contient des phytoestrogènes, qui sont des composés de type hormonal qui imitent l’action de l’hormone œstrogène et qui ont été associés à des bienfaits pour la santé. La consommation d'aliments à base de soja peut réduire le risque de divers problèmes de santé, notamment les maladies cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies coronariennes (CHD). Ces légumineuses améliorent également la santé des os.

Le soja peut également être utile pour les femmes en périménopause et postménopausées, entraînant des bouffées de chaleur moins nombreuses et moins graves.

Le soja est un aliment végétal riche en protéines que vous pouvez préparer et consommer de nombreuses façons. Ils appartiennent à la famille des pois.

Le soja est disponible dans une variété de couleurs, notamment :

• Soja vert. Souvent appelés edamame, ce sont de jeunes graines de soja vertes. Vous pouvez les cuire à la vapeur et les manger à l’apéritif dès leur sortie de la dosette. Vous pouvez également trouver des edamames décortiqués dans les salades, les sautés et les soupes.

• Soja jaune. Le soja jaune est couramment utilisé dans la production de lait de soja, de tofu, de tempeh et de tamari. Ils contribuent également à la fabrication de farine de soja destinée à la pâtisserie.

• Soja noir. Dans les cuisines asiatiques traditionnelles, le soja noir est bouilli ou fermenté.

Si vous souhaitez remplacer les produits laitiers dans votre alimentation, considérez le lait de soja et le fromage comme options potentielles.

Le soja fournit également de l’huile de soja, qui peut être utilisée pour la cuisine ou comme ingrédient. Après avoir extrait l’huile du soja, le résidu est utilisé pour fabriquer des aliments pour les animaux de ferme et de compagnie.

5 faits nutritionnels clés sur le soja

Le soja contient principalement des protéines, mais contient également beaucoup de glucides et de graisses. Voici les principales données nutritionnelles sur le soja.

1. Protéines

Le soja est l’une des sources les plus importantes de protéines végétales.

Ils ont une teneur en protéines de 36 à 56 % en poids sec.

Une tasse (172 g) de graines de soja cuites contient environ 31 g de protéines.

La protéine de soja a une excellente valeur nutritionnelle, même si sa qualité n’est pas aussi élevée que celle des autres protéines animales.

La glycinine et la conglycinine sont les deux principales formes de protéines présentes dans le soja, représentant environ 80 % de la teneur totale en protéines. Il est important de noter que certaines personnes peuvent développer des réactions allergiques à ces protéines.

La consommation de protéines de soja entraîne également une légère réduction du taux de cholestérol.

2. Graisse

Le soja est une graine oléagineuse qui peut être utilisée pour produire de l’huile de soja.

Leur teneur en matières grasses représente environ 18 % du poids sec – principalement des acides gras polyinsaturés et monoinsaturés et des traces de graisses saturées.

L'acide linoléique est la graisse la plus courante du soja, représentant environ la moitié de la teneur totale en graisses.

3. Glucides

Le soja entier a un indice glycémique (IG) très faible, qui mesure l'impact des repas sur la glycémie après les repas.

En raison de son faible IG, le soja convient aux personnes atteintes de diabète.

4. Fibre

Le soja est riche en fibres solubles et insolubles.

Les fibres insolubles sont principalement de l'alpha-galactosidase, ce qui peut provoquer des gaz et de la diarrhée chez les personnes qui y sont sensibles.

Les FODMAP, qui comprennent l'alpha-galactosidase, sont un type de fibre qui peut aggraver les symptômes du syndrome du côlon irritable (SCI).

Les fibres solubles du soja sont considérées comme saines, même si elles provoquent des effets secondaires désagréables chez certaines personnes.

Ils sont fermentés dans votre côlon par des bactéries, ce qui entraîne la synthèse d'acides gras à chaîne courte (AGCC), qui améliorent la santé intestinale et réduisent le risque de cancer du côlon.

5. Minéraux et vitamines

Le soja est riche en plusieurs vitamines et minéraux, notamment :

• Molybdène. Le molybdène, un oligoélément essentiel présent principalement dans les graines, les céréales et les légumineuses, est abondant dans le soja.

• Vitamine K1. La phylloquinone est le type de vitamine K disponible dans les légumineuses. Il favorise la formation de caillots sanguins.

• Folate. Le folate, souvent connu sous le nom de vitamine B9, joue plusieurs rôles dans votre corps et est particulièrement crucial pendant la grossesse.

• Cuivre. La consommation de cuivre n’est pas répandue chez les habitants des pays occidentaux. Le manque de ce nutriment essentiel peut avoir un impact négatif sur la santé de votre cœur.

• Thiamine. La thiamine, souvent appelée B1, est vitale pour de multiples activités corporelles.

L'essentiel

Le soja est riche en protéines et constitue une excellente source de graisses et de glucides. Ils sont riches en vitamines, en minéraux et en composants végétaux bénéfiques, notamment les isoflavones. Par conséquent, une consommation fréquente de soja peut soulager les symptômes de la ménopause et réduire le risque de cancer du sein et de la prostate. Utilisez ce guide pour comprendre les caractéristiques nutritionnelles du soja et les bienfaits de cette légumineuse.

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Avec des percées plus rapides que dans tout autre domaine scientifique, beaucoup de choses se sont passées dans le domaine des neurosciences ces dernières années. Voici 22 études neuroscientifiques véritablement époustouflantes qui remettent en question nos idées préconçues sur qui nous sommes ou qui nous pourrions être.

1. Cartographie 3D en direct des fonctions cérébrales

Plus tôt cette année, les scientifiques du MIT ont développé une nouvelle technique permettant d'associer la cartographie structurelle (anatomie du cerveau) à la cartographie fonctionnelle (comment le cerveau se comporte) - c'est la première fois que cela est correctement réalisé. De plus, cela a été réalisé sur des souris vivantes, la cartographie étant réalisée en temps réel dans les régions du cerveau de la souris. Cette vidéo donne une idée de la façon dont il est fascinant de voir le couplage des structures cérébrales et de l'activité réelle changer en réponse à différentes images présentées à une souris.

la microscopie à trois photons de génération de troisième harmonique ( THG la cartographie rétinotopique , permettant d'observer l'activité à travers les tissus cérébraux profonds via des signatures électriques.

Il offre également une résolution étonnante, permettant d’étudier les neurones individuels et leurs sous-structures, ainsi que les vaisseaux sanguins fins et la myéline – une sorte d’isolant connu pour être un facteur critique dans la vitesse de traitement du cerveau.

Cette étude s’est concentrée sur les centres visuels du cerveau, mais la même méthode peut être utilisée pour étudier d’autres régions. Il promet d’être un outil puissant pour comprendre les différences entre les états cérébraux sains et malades, ainsi que la manière dont le cerveau réagit à la stimulation environnementale.

2. Voir les décisions prises dans le cerveau

L'Université de Stanford a réalisé une avancée majeure grâce à une nouvelle de microscopie bifocale appelée COSMOS . Leurs travaux ont capturé des films d’activité neuronale dans l’ensemble du cortex cérébral d’un cerveau de souris.

Ces signaux ont été enregistrés essentiellement en filmant le cerveau sous trois angles différents, puis en extrayant informatiquement les signaux pour fournir une vidéo en direct de l'activité macroscopique sur les hémisphères gauche et droit. Voici un échantillon où vous voyez littéralement la remarquable tempête électrique d’un vrai cerveau en action.

Alors que le cortex gère des fonctions cognitives complexes de niveau supérieur, des comportements plus mystérieux tels que les processus de prise de décision peuvent désormais commencer à être décryptés de manière globale. Par exemple, pour comprendre la relation entre les décisions dépendant de la perception sensorielle et de la fonction motrice (pensez à ce qu'implique le fait de décider dans quelle direction éviter une voiture venant en sens inverse).

Les chercheurs s'attendent également à ce que COSMOS soit une méthode peu coûteuse pour tester les effets des médicaments psychiatriques, afin qu'ils puissent être développés pour être plus efficaces sur le plan fonctionnel.

3. Une avancée majeure dans le sommeil pour les cerveaux artificiels

Comme nous l'avons expliqué dans un blog précédent Deep Mind de Google a été réalisée en imitant les colonnes néocorticales de l'esprit humain. Cela a conduit à une intelligence considérablement accrue en utilisant une fraction de la puissance de calcul. En conséquence, cette IA modélisée par l'homme a désormais surpassé les meilleurs joueurs d'échecs, de Go, puis d'eSports au monde dans leurs propres jeux.

Bien qu’il ne soit pas entièrement compris, le sommeil remplit une fonction essentielle pour le cerveau des mammifères et des humains, avec de graves problèmes survenant chaque fois qu’un manque de sommeil est enduré. Cette année, le laboratoire national de Los Alamos a découvert que les réseaux informatiques des systèmes d'IA souffrent également d'une sorte de privation de sommeil, devenant instables lorsqu'ils fonctionnent pendant de longues périodes sans repos. Pourtant, lorsqu’ils sont placés dans un état de réseau similaire aux ondes cérébrales que nous ressentons pendant le sommeil, les performances optimales ont été restaurées.

Cela peut ne pas sembler si grave, mais les progrès de l’IA sont susceptibles de transformer notre façon de vivre. Les résultats suggèrent également que la fusion des disciplines des neurosciences et du domaine de l’IA pourrait donner naissance à une nouvelle ère d’ordinateurs super intelligents.

4. Un petit implant permet aux patients paralysés de contrôler un ordinateur

Un minuscule dispositif cérébral a été utilisé pour améliorer la qualité de vie des patients atteints de paralysie sévère des membres supérieurs causée par une maladie des motoneurones. Réalisé à l'Université de Melbourne, cet essai a implanté la nouvelle microtechnologie dans le cerveau des participants.

Le dispositif appelé Stentrode™ a été inséré par chirurgie en trou de serrure dans le cou, puis déplacé dans le cortex moteur via les vaisseaux sanguins. Cette méthode mini-invasive évite les risques associés et les complications de récupération liés à la chirurgie à cerveau ouvert.

L'implant utilise la technologie sans fil pour relayer une activité neuronale spécifique dans un ordinateur, où elle est convertie en actions basées sur les intentions des patients. Étonnamment, cette petite puce a permis aux patients d'effectuer des actions comme cliquer et zoomer, et d'écrire avec une précision de 93 %, les aidant ainsi à faire des choses que nous tenons pour acquises comme envoyer des SMS, envoyer des e-mails et faire des achats en ligne.  

Il est encore très tôt, mais la nature peu invasive du traitement montre le grand potentiel des micro-neurotechnologies pour aider les personnes souffrant de toutes sortes de déficiences cognitives.

5. Les neuroscientifiques transforment les neurones normaux en neurones régénérants

En 2018, nous avons signalé que des scientifiques avaient appris à reprogrammer des cellules souches en neurones spécifiques. Cette année, des chercheurs de quatre universités américaines différentes ont fait un pas de plus vers le Saint Graal de la prolongation de la vie. En identifiant des réseaux de gènes qui régulent la régénération cellulaire, ils ont pu manipuler des cellules normales pour les transformer en cellules progénitrices , qui peuvent se transformer en n'importe quel type de cellule pour remplacer les cellules mourantes.

Leur preuve de concept a été réalisée avec des cellules gliales de poisson zèbre, les convertissant efficacement en cellules souches qui ont ensuite détecté et restauré les cellules rétiniennes endommagées pour récupérer une vision altérée.

La mort cellulaire, ou apoptose , joue un rôle important dans le vieillissement naturel inévitable chez l'homme. Les chercheurs pensent que le processus de régénération des neurones du cerveau sera similaire. En cas de succès, cela aura de vastes implications pour des maladies telles que la maladie d'Alzheimer, où de grandes régions du cerveau peuvent être perdues à cause de la mort des neurones. Il peut également jouer un rôle dans la prévention des nombreux effets secondaires du vieillissement naturel du cerveau, permettant ainsi de vivre plus longtemps et en meilleure santé, en pleine forme jusqu'à un âge avancé.

6. Prévenir la neurodégénérescence

Plutôt que de remplacer les cellules mourantes, les scientifiques de l'Université de Heidelberg ont identifié des processus clés impliqués dans la mort des cellules cérébrales, appelés neurodégénérescence . Il s’agissait de découvrir le processus par lequel l’absorption cellulaire du glutamate empêche la mort cellulaire chez les personnes en bonne santé, mais devient inactive dans un état pathologique comme un accident vasculaire cérébral, où l’apport d’oxygène aux cellules cérébrales devient restreint.

En effet, cela conduit les cellules à se suicider simplement parce qu’elles ne reçoivent pas les signaux chimiques corrects pour leur dire de rester en vie. Les chercheurs ont ensuite développé une classe spéciale d'inhibiteurs capables d'intervenir et de désactiver le « complexe de la mort » cellulaire avant qu'il ne se produise.

Les inhibiteurs se sont révélés très efficaces pour protéger les cellules nerveuses, ce qui devrait conduire à une nouvelle classe d'options de traitement pour les maladies neurodégénératives.

7. La maladie de Parkinson est l'une des deux maladies différentes

Des chercheurs de l'Université d'Aarhus ont utilisé des techniques avancées d'imagerie TEP et IRM pour révéler que la maladie de Parkinson est en réalité l'une ou l'autre de deux variantes différentes de la maladie .

Dans une variante, la maladie commence dans les intestins et se propage ensuite au cerveau via les connexions neuronales. Dans l’autre, cela commence dans le cerveau et se déplace ensuite vers les intestins et d’autres organes. Cette vidéo donne un excellent aperçu.

Bien qu'il ne soit pas curatif, il s'agit d'un pas majeur dans la bonne direction pour pouvoir identifier l'apparition précoce d'une maladie nécessitant des mesures préventives. Par exemple, cela peut conduire à des traitements qui empêchent même la maladie de pénétrer dans le cerveau, où les effets deviennent alors débilitants avec le temps. C'est également une autre pièce clé du puzzle des puissantes symbioses entre nos intestins et notre esprit, connues scientifiquement sous le nom d' axe intestin-cerveau .

8. L’IA fait progresser les diagnostics difficiles des lésions cérébrales

Des scientifiques de l’Université de Cambridge et de l’Imperial College de Londres ont développé un nouveau type d’algorithme d’IA capable de détecter, différencier et identifier différents types de lésions cérébrales à partir de données tomodensitométriques topographiques.

Les tomodensitogrammes collectent une énorme quantité de données dont l'analyse peut prendre des heures aux experts, et cela doit inclure l'évaluation collective de plusieurs examens au fil du temps afin de suivre les trajectoires de guérison ou la progression de la maladie. Ce nouvel outil d’IA semble mieux que les experts humains pour détecter de tels changements, tout en étant beaucoup plus rapide et moins cher.

Par exemple, leurs recherches ont montré que le logiciel était très efficace pour quantifier automatiquement la progression de plusieurs types de lésions cérébrales, aidant ainsi à prédire quelles lésions deviendraient plus volumineuses. L’application innovante de ce type d’IA pour faciliter l’analyse humaine sera probablement la première d’une longue série qui transformera le diagnostic médical de manière rentable.

9. Le secret des super-Agers découvert

Les super-âges sont des individus dont les capacités cognitives sont bien supérieures à celles de leurs pairs âgés, conservant leurs capacités mentales de jeunesse jusque dans les années 70 et 80. Jusqu'à présent, le secret pour conserver la forme de leurs pics était peu compris.

L'hôpital universitaire de Cologne et le centre de recherche Juelich ont découvert une différence essentielle dans leur biologie . À l’aide de TEP, ils ont révélé que les personnes super-âgées présentaient une résistance nettement accrue aux tau et amyloïdes . Jusqu’à ces dernières années, ces protéines se sont révélées difficiles à étudier.

Les super-âges ont également des niveaux plus faibles de pathologie tau et amyloïde, ce qui conduit à divers types de neurodégénérescence chez la plupart des gens au cours de leurs dernières années. Il a maintenant été identifié qu'une résistance réduite à l'accumulation de tau et d'amyloïde est un facteur biologique principal de perte de forme cognitive maximale.

De nouvelles recherches peuvent se concentrer sur ces processus afin de trouver des moyens de guérir éventuellement le déclin mental en général, ainsi que de contribuer au développement de traitements thérapeutiques pour protéger contre les formes de démence déjà présentes.

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10. Traiter la dépression sévère avec la stimulation cérébrale profonde adaptative

Une équipe de recherche de l'Université de Californie à San Francisco a développé avec succès une méthode utilisant la stimulation cérébrale profonde (DBS) pour traiter de manière adaptative les symptômes dépressifs uniquement lorsqu'ils apparaissent. La stimulation cérébrale profonde consiste à implanter des électrodes dans le cerveau pour délivrer des courants électriques afin de modifier l'activité cérébrale.

Des études antérieures ont eu un succès limité dans le traitement de la dépression par DBS, car les appareils ne pouvaient délivrer une stimulation électrique constante que dans une seule zone du cerveau. Cependant, la dépression peut affecter diverses zones du cerveau, et les signatures neuronales de la dépression peuvent augmenter et diminuer de manière imprévisible.

Dans le but de créer un stimulateur cardiaque pour le cerveau, les scientifiques ont décodé un nouveau biomarqueur neuronal. Ce schéma spécifique d’activité cérébrale prédit efficacement l’apparition des symptômes. Forte de ces connaissances, l’équipe a personnalisé une nouvelle technologie DBS qui s’active uniquement quand et où elle reconnaît ce modèle.

Le type de thérapie automatique à la demande est impressionnant car ses réponses fonctionnelles sont uniques à la fois au cerveau du patient et au circuit neuronal à l'origine de la maladie. Lors de son premier essai, cette méthode DBS personnalisée a été testée avec un patient souffrant de dépression sévère et a réussi avec brio. Presque immédiatement, les symptômes du patient ont été atténués, et cela a continué à être le cas à long terme.

À l’ère du COVID, où l’anxiété et les problèmes de santé mentale deviennent monnaie courante, cette approche pourrait s’avérer une thérapie sans médicament inestimable pour des centaines de millions de personnes.

11. Au-delà de l'audition humaine

Semblable aux ondes lumineuses, les humains ne peuvent percevoir qu’un spectre relativement restreint des ondes sonores qui nous entourent. Généralement, nous ne pouvons capter que des fréquences comprises entre 20 Hz et 20 000 Hz, au-delà, elles sont considérées comme ultrasoniques. Il s’agit de la gamme de fréquences dans laquelle les animaux comme les chauves-souris opèrent et qui est également utilisée dans les analyses médicales par ultrasons.

Une nouvelle méthode utilisant une technologie sophistiquée a été mise au point par des scientifiques de l'Université Aalto et a conduit à un appareil qui donne aux humains une audition comparable à celle d'une chauve-souris . Cela inclut non seulement la capacité d’entendre des fréquences bien au-delà de 20 000 Hz, mais également de discerner la direction et la distance des sources sonores. Pour les biologistes par exemple, cela permet aux gens de suivre en vol des chauves-souris autrement furtives et de localiser leurs positions.

Il fonctionne en enregistrant les ultrasons via un réseau de microphones sphériques, qui détecte les sons ultrasoniques et utilise un ordinateur pour traduire la hauteur en fréquences audibles. Il diffuse ensuite les ondes sonores converties via des écouteurs en temps réel. Être capable de percevoir des sons normalement inaudibles pourrait avoir des applications industrielles précieuses, par exemple être capable d'entendre et de localiser des fuites de gaz autrement silencieuses.

12. L’IA apprend indépendamment à sentir de la même manière que les humains

Bien que les neurosciences soient un domaine scientifique relativement jeune et en croissance rapide, l’intelligence artificielle (IA) est à la fois beaucoup plus récente et connaît une croissance plus rapide. Le potentiel de combiner ces deux domaines scientifiques a été révélé par des chercheurs du MIT .

Grâce à l’apprentissage automatique, ils ont découvert que les réseaux neuronaux artificiels peuvent auto-apprendre à sentir en quelques minutes seulement, imitant ainsi les circuits olfactifs du cerveau des mammifères. Ceci est profond car l’algorithme mis en œuvre n’avait aucune connaissance des millions d’années d’évolution nécessaires au développement biologique de l’odorat.

Pourtant, étonnamment, le réseau neuronal artificiel a reproduit si fidèlement l’activité biologique de l’odorat qu’il a révélé que le réseau olfactif du cerveau est mathématiquement optimisé pour sa fonction.

Cette imitation précise de la structure naturelle des circuits cérébraux par un apprentissage automatique indépendant pourrait annoncer une nouvelle ère, dans laquelle l’IA nous enseignerait les secrets intérieurs de l’évolution biologique. L’odorat est le point de départ en 2021, mais qui sait où cela pourrait mener…

13. La neuroprothèse convertit les pensées en phrases chez un patient gravement paralysé

Des chercheurs de l'UC San Francisco ont développé un nouveau type de neuroprothèse vocale pour les patients paralysés qui les empêche de parler. La méthode a été démontrée avec succès sur un homme dont le tronc cérébral était gravement endommagé, provoquant une paralysie de tout le corps.

De manière assez remarquable, cela fonctionne en détectant les signaux cérébraux liés à la parole qui contrôlent les cordes vocales. Lorsque nous parlons, les cordes vocales nécessitent des instructions motrices complexes afin d’articuler la grande variété de sons que nous utilisons lors d’une conversation. Même lorsqu’ils sont incapables de bouger, ces signaux peuvent toujours être envoyés par le cerveau.

En utilisant des enregistrements cérébraux de patients épileptiques, les scientifiques ont développé une méthode de décodage en temps réel des instructions adressées aux muscles vocaux, en mots. À partir de ces schémas neuronaux, ils ont pu discerner de manière fiable 50 mots courants différents chaque fois que le patient les pensait.  

Il suffisait au patient de porter un réseau d'électrodes à haute densité pour capturer et enregistrer l'activité neuronale, qui enregistrait les signaux du cortex moteur de la parole. Cela a permis de traduire jusqu'à 18 mots par minute avec une précision de 93 %. L'avantage pour le patient était qu'il devait simplement agir comme s'il parlait réellement et qu'il pouvait communiquer des centaines de phrases différentes à partir du vocabulaire de 50 mots.

Bien que cette avancée semble limitée aux patients paralysés, nous souffrons de paralysie toutes les nuits lorsque nous rêvons (à moins que nous somnambulions). Si elle évolue suffisamment, cette approche pourrait, par exemple, ouvrir la voie à la traduction de nos pensées pendant notre sommeil !

14. Mini-cerveaux humains développés avec une activité neuronale complexe

Techniquement appelés « organoïdes cérébraux », les mini-cerveaux peuvent être cultivés à partir de cellules souches pluripotentes induites . Ces cellules souches peuvent être prélevées sur la peau ou le sang d'une personne et peuvent potentiellement se transformer en n'importe quel type de cellules. L’avantage est que les structures cellulaires, normalement très difficiles d’accès, peuvent en principe être cultivées et isolées pour être étudiées. Ceci est particulièrement pertinent pour le cerveau, même si les mini-cerveaux précédents avaient des structures fonctionnelles limitées.

La percée de cette année réalisée par des scientifiques de l'UCLA a catapulté la complexité structurelle en développant des agrégats d'organoïdes pour former des structures cérébrales tridimensionnelles complexes. Les chercheurs ont prélevé des cellules souches de patients atteints du syndrome de Rett (une maladie accompagnée de convulsions) et ont pu développer des mini-cerveaux ayant une activité fonctionnelle similaire à celle de certaines parties du cerveau humain. Cela signifie qu’ils ont pu observer en toute sécurité et avec succès des schémas d’activité électrique qui ressemblent au début des crises.

Cette recherche montre pour la première fois que certains aspects du fonctionnement cérébral peuvent être isolés et étudiés en laboratoire jusqu’au niveau des cellules vivantes individuelles. Le principal avantage est que ces mini-cerveaux peuvent être développés pour reproduire des aspects des fonctions cérébrales normales et malades, ainsi que pour tester des médicaments et des traitements sans risque pour les humains ou les animaux.

L’échelle du cerveau humain est énorme, il existe donc encore des limites évidentes en termes de complexité des structures cérébrales qui peuvent être étudiées, mais il est clair que ce domaine émergent des neurosciences a un potentiel proche de celui de la science-fiction.

15. Des « neurograins » utilisés pour développer une interface cerveau-ordinateur de nouvelle génération

Avec la croissance exponentielle de la puissance de calcul au cours des dernières décennies, les puces électroniques sont devenues de plus en plus petites chaque année. spécialisés dans la technologie de l'Université Brown ont maintenant développé un ordinateur sans fil si petit qu'il peut facilement être ignoré par l'œil humain. Surnommés « neurograins » – parce qu’ils ont à peu près la taille d’un grain de sel – ils ont été développés pour suivre et surveiller l’activité cérébrale.

Ces ordinateurs ultra-minuscules sont capables d'enregistrer l'activité électrique des neurones proches et de transmettre leurs données sans fil. L’objectif était de développer un nouveau type de système d’interface cerveau-ordinateur (BCI), dans lequel un réseau de mini-capteurs peut suivre collectivement des aspects significatifs de l’activité cérébrale et envoyer les informations à un hub proche.

Dans une expérience de validation de principe, les chercheurs ont déployé un réseau pour enregistrer avec succès l'activité neuronale d'un rongeur avec une précision bien plus grande que jamais auparavant. Cet enregistrement des signaux cérébraux avec des détails sans précédent en est encore à ses débuts, mais la percée technologique est très prometteuse car elle permettra de convertir les ondes cérébrales en actions utiles du monde réel sans aucun effort physique.

16. Restaurer la vision fonctionnelle pour les personnes complètement aveugles

Cette année, un nouveau type de réseau de microélectrodes a été utilisé pour créer une forme de vision artificielle via une prothèse visuelle. Des scientifiques de l'Université de l'Utah du John A. Moran Eye Center ont construit cet appareil pour enregistrer et stimuler l'activité neuronale dans le cortex visuel.

Implanté dans l'œil, le réseau reçoit des informations visuelles à travers des lunettes contenant une petite caméra vidéo, les données étant traitées par un logiciel spécialisé. L’appareil active ensuite les neurones rétiniens pour produire des phosphènes, comme s’ils recevaient des points lumineux. Cela permet à son tour à l'esprit de percevoir des images de base de lignes et de formes.

Testée auprès d'un patient complètement aveugle, cette méthode s'est avérée efficace et n'a entraîné aucune complication liée à la chirurgie ou à la stimulation neuronale. Lors de ce premier test, un seul tableau a été utilisé. Cependant, le prochain objectif est d’utiliser 7 à 10 réseaux pour fournir des images plus détaillées qui permettront aux personnes aveugles de réellement naviguer visuellement dans le monde.

17. Une nouvelle thérapie moléculaire injectable répare les lésions graves de la moelle épinière

Une nouvelle classe de « molécules dansantes » a été appliquée par des chercheurs de l'Université Northwestern pour réparer les tissus lors de lésions graves de la moelle épinière et inverser avec succès la paralysie . La partie dansante consiste à manipuler le mouvement de ces molécules pour qu'elles puissent se frayer un chemin vers des récepteurs cellulaires normalement impossibles à atteindre, afin de les inciter à se mettre en marche pour réparer les tissus nerveux.

Ces molécules apparemment magiques fonctionnent en déclenchant des signaux en cascade, déclenchant la régénération des axones et aidant les neurones à survivre après une blessure en encourageant la naissance d’une variété de nouveaux types de cellules. Cela favorise à son tour la repousse des vaisseaux sanguins perdus, nécessaires à la guérison cellulaire.

Testée sur des souris, une seule injection de thérapie moléculaire a permis aux souris paralysées de remarcher en moins de quatre semaines. Assez commodément, 12 semaines plus tard (bien après la récupération complète), les matériaux se biodégradent en nutriments pour les cellules sans aucun effet secondaire, disparaissant effectivement naturellement du corps.

18. La réalité virtuelle offre une thérapie pour vaincre la peur des hauteurs

La réalité virtuelle (VR) est utilisée par les psychophysiciens depuis des décennies pour étudier la façon dont nous percevons les informations sensorielles. Cette année, des chercheurs de l'Université de Bâle, la plus ancienne université de Suisse, ont développé une application de réalité virtuelle pour traiter réellement les phobies des hauteurs .

Appelé Easyheights , le logiciel compatible avec les smartphones propose une thérapie d'exposition utilisant des images à 360° de lieux réels. Portant un casque VR, les utilisateurs se tiennent sur une plate-forme qui commence à un mètre au-dessus du sol, puis s'élève progressivement à mesure que les utilisateurs s'acclimatent à chaque niveau de hauteur. Cela fonctionne en augmentant l'exposition sensorielle à la hauteur sans augmenter le niveau de peur.

Un essai clinique a démontré l’efficacité de cette forme de traitement immersive, produisant des réductions significatives de la phobie dans des situations réelles de hauteur. Les bénéfices ont été constatés avec seulement quatre heures de formation à domicile. Cette découverte montre comment la combinaison des connaissances en neurosciences avec les technologies d'aujourd'hui peut améliorer cliniquement la qualité de vie des gens de manière facilement accessible.

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19. Réincarner les cerveaux de Néandertal

Au moment où nous parlons, les neuroscientifiques de l’Institut Max Planck d’anthropologie évolutive construisent littéralement des « cerveaux miniatures » génétiquement greffés avec de multiples versions de l’ADN de Néandertal. Grâce à la biotechnologie futuriste ascendante connue sous le nom de CRISPR , ces mini-cerveaux contiendront des amas de neurones vivants issus de cellules souches, effectuant une véritable activité cérébrale.

Bien qu’ils soient trop petits pour impliquer un comportement complexe comme la communication, ils devraient révéler des différences dans l’activité cérébrale fondamentale que les Néandertaliens auraient pu avoir. La génétique constitue ainsi une sorte de télescope historique pour les neurosciences, leur permettant d’observer le fonctionnement des cerveaux anciens. Tout cela à partir d’ADN conservé dans des fragments d’os depuis des dizaines de milliers d’années.

Et si vous pensez qu’il s’agit de quelque chose d’aussi simple que quelques cellules dans une boîte de Pétri… détrompez-vous. Les chercheurs allemands envisagent de connecter les mini-cerveaux de Néandertal à des robots afin d'observer leurs comportements. Encore plus ambitieux que l'intrigue d'un film de science-fiction futuriste, en cas de succès, l'esprit est tout simplement stupéfait de ce qui sera possible dans les années à venir – les robots domestiques néandertaliens, ça vous dit ?!

20. Cochons zombies

L’un des plus grands défis auxquels sont confrontés les neuroscientifiques est qu’il est très difficile d’étudier les cerveaux vivants. Même dans le cas de cerveaux décédés récemment, les neurones se décomposent rapidement dans les heures qui suivent la mort, se désintégrant littéralement. Pour relever ce défi, des neuroscientifiques enthousiastes de l'Université de Yale ont créé une biotechnologie d'avant-garde appelée BrainEx . Ce système de support de haute technologie a été conçu pour maintenir les cellules cérébrales en vie de manière à ce que les cheveux et les ongles continuent de croître après la mort.

Mettant la technologie à l'épreuve, les chercheurs ont utilisé BrainEx pour restaurer l'activité synaptique et la circulation dans un cerveau de porc mort depuis quatre heures. Le cerveau avait été retiré du porc et réanimé avec un apport sanguin artificiel utilisant un mélange exclusif d'agents protecteurs, stabilisants et de contraste. Cela s’est produit juste avant que la destruction des fonctions cellulaires et moléculaires ne commence. L'image ci-dessous montre la différence entre un cerveau de porc normalement désintégré 10 heures après la mort (à gauche) et des cellules apparemment saines sur un cerveau de porc ressuscité (à droite).

Voici la partie zombie. Même si les neurones étaient maintenus en vie, il n’y avait pas d’activité fonctionnelle de niveau supérieur dans les circuits cérébraux – donc vivants et morts à la fois. Ce passage de la fiction de type Frankenstein à la non-fiction montre comment les neurosciences peuvent transformer de grandes questions éthiques du plan philosophique au plan pratique.

La biotechnologie ne se limite pas aux cochons zombies, elle fonctionnera en principe avec n'importe quel type de cerveau de mammifère… y compris les humains ! Cette percée présente un énorme potentiel pour améliorer nos connaissances pratiques sur le fonctionnement de notre propre esprit. En même temps, cela semble terriblement proche de ramener les morts à la vie.

22. Télépathie vocale

Sur une note plus inspirante, 2019 a également vu le développement d’un système informatique capable de traduire l’activité cérébrale en parole synthétisée. Il fonctionne en décodant les mouvements des muscles impliqués dans la parole via l'influx nerveux analysé par l'activité électrophysiologique. Les résultats d'une expérience menée à l' Université de Californie à San Francisco ont montré qu'une version prototype pouvait interpréter avec succès le langage à l'aide de signaux nerveux musculaires, si elle parlait lentement.

Les chercheurs espèrent améliorer la biotechnologie jusqu'à des vitesses de parole naturelles , qui sont d'environ 150 mots par minute. Pourtant, c’est déjà assez remarquable si l’on considère que seuls les signaux cérébraux sont mesurés. Voici une vidéo démontrant comment les schémas d'activité cérébrale du cortex somatosensoriel du locuteur, décodés en mouvements des voies vocales, peuvent ensuite être interprétés comme du langage.

De nombreux scientifiques ont déjà essayé de résoudre ce problème et ont échoué. Ces chercheurs ont adopté une nouvelle approche en créant des modèles d’intelligence artificielle pour créer des simulations des voies vocales. En effet, l’IA s’est ensuite apprise elle-même à partir d’une bibliothèque de données d’expériences vocales et a entraîné ses réseaux neuronaux à pouvoir décoder le langage à partir des mouvements vocaux. Ces développements pourraient constituer des étapes importantes dans la simulation de la biologie humaine dans des programmes informatiques à des fins de recherche.

D'un point de vue médical, de nombreux patients souffrant de problèmes de gorge ou neurologiques, tels qu'un accident vasculaire cérébral ou une paralysie, peuvent perdre complètement leur capacité d'élocution. Cette neurotechnologie couplée à un smartphone pourrait permettre aux sans-voix de parler normalement en temps réel, au quotidien, simplement en pensant à parler.

Cependant, comme la voix simulée ne nécessite que la lecture d’une petite région de l’activité cérébrale et que la parole peut être envoyée à pratiquement n’importe quel ordinateur, n’importe qui pourrait alors potentiellement communiquer silencieusement et secrètement avec toute personne possédant un smartphone et des écouteurs. Comme ce système pourrait être bidirectionnel, il représente une solution neurotechnologique littérale pour la télépathie humaine. Les possibilités sont infinies.

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La vision humaine est un résultat étonnant de notre biologie évolutive, ainsi que le moyen le plus puissant dont nous pouvons percevoir le monde qui nous entoure. Voici notre liste des 7 meilleurs blogs couvrant les principes fondamentaux du fonctionnement de nos systèmes visuels, jusqu'à la manière dont la vision peut être entraînée pour améliorer les performances réelles dans le sport et au-delà.

1. 5 réponses aux limites de vitesse de la perception visuelle humaine

Découvrez pourquoi la performance visuelle humaine est véritablement remarquable. De la perception des photons lumineux en quadrillions de seconde à l'identification de 75 scènes différentes en une seule seconde, explorez 5 aspects différents de la vitesse de perception.

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2. Quelle est la qualité de votre vision stéréo ?

Presque tous les animaux dans la nature ont au moins deux yeux, ce qui leur permet de percevoir avec précision la profondeur grâce à la vision stéréo binoculaire. Cependant, en ce qui concerne les humains modernes, de nouvelles recherches montrent que nos capacités de vision stéréoscopique peuvent varier considérablement d’une personne à l’autre.

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3. 5 façons dont les traumatismes crâniens perturbent la vision

Les commotions cérébrales peuvent affecter littéralement n’importe quelle fonction cérébrale. Cependant, comme notre sens dominant est la vision, les capacités visuelles sont souvent affectées par les traumatismes crâniens. Découvrez les 5 façons différentes dont les traumatismes crâniens altèrent souvent notre capacité à percevoir le monde visuel qui nous entoure.

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L'essor de l'entraînement à la vision sportive

Dans les sports professionnels, l’entraînement visuel est en train de devenir le dernier moyen de prendre l’avantage sur la concurrence. De la même manière qu’un athlète améliore ses performances sportives en entraînant son corps à la force et à l’endurance, les compétences visuelles peuvent être améliorées et renforcées grâce à un large éventail de techniques de conditionnement. Découvrez comment les derniers formateurs en vision mettent cette approche à profit.

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Vision sportive pour la conscience de la situation - Partie 1

Comme la plupart des athlètes le savent, une bonne conscience de la situation est essentielle pour prendre des décisions gagnantes sous pression. Dans cette première partie d'un blog en deux parties, découvrez pourquoi nos idées préconçues en matière de vision peuvent être illusoires, et pourquoi cela est important lorsqu'il s'agit de performer sur le terrain.

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Vision sportive pour la conscience de la situation - Partie 2

La deuxième partie explique comment les techniques de vision périphérique et les outils de formation peuvent être utilisés pour acquérir une meilleure conscience de la situation. Découvrez en particulier comment l'entraînement au suivi d'objets multiples NeuroTracker 3D peut être utilisé pour surcharger progressivement les capacités de conscience de la situation du cerveau, de la même manière que l'entraînement avec poids est utilisé pour développer la force.

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L’entraînement de vision sportive n’est pas réservé aux athlètes

Dernier point mais non le moindre de notre liste, découvrez auprès d'un expert en neurovision comment les techniques d'entraînement à la vision sportive peuvent être appliquées dans de nombreux domaines différents de la performance humaine et du bien-être.

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La vitesse de perception visuelle humaine est un sujet étonnamment délicat, pour lequel il n’existe pas de réponse unique. Cela dépend du type de vitesse que vous souhaitez examiner. Ici, nous allons détailler 5 facettes fascinantes de la vision et donner des réponses aux limites de vitesse actuellement connues de ce que nous pouvons voir – profitez-en !

1. Quelle est la durée la plus courte pendant laquelle nous pouvons percevoir un éclair de lumière ?

Comme beaucoup de réponses intéressantes en science, cela est venu fortuitement et s’est avéré bien au-delà de ce que l’on aurait pu imaginer.

Plusieurs astronautes dans l'espace ont rapporté avoir vu des anomalies inexpliquées telles que des points extrêmement brefs et des traînées de lumière fugaces , même les yeux fermés. Celles-ci se produiraient toutes les quelques minutes. Il s’est avéré qu’ils observaient un phénomène récemment découvert appelé particules cosmiques à haute énergie. Il s’agit de loin de la masse qui se déplace le plus rapidement dans l’univers connu.

Les particules exotiques proviennent de quelque part dans notre galaxie, la Voie lactée, mais peuvent voyager si près de la vitesse de la lumière que l’énergie nécessaire pour les accélérer dépasse tout ce qui est connu en astrophysique – même deux trous noirs super massifs entrant en collision ne s’en rapprocheraient ! Lorsqu'elles heurtent l'atmosphère terrestre, leur énergie se transforme en myriades de nouvelles particules (E = mc²).

Le fait est qu’à cette vitesse extrême, le temps nécessaire pour percevoir des particules à haute énergie via la vision humaine est de l’ordre des femtosecondes – littéralement des quadrillions de seconde !

Plus le flash est lumineux, moins il faut de temps pour le détecter. Dans l’espace, la pollution lumineuse est négligeable, le contraste entre la lumière et l’obscurité est donc proche de son maximum possible.

Cependant, à l’heure actuelle, on ne comprend pas les mécanismes neurobiologiques liés à la vision de particules à haute énergie. Cela implique probablement le fait que des millions de neurones différents peuvent potentiellement capter une entrée sensorielle, mais moins ils le font, moins la perception est précise. Certaines recherches montrent que nos yeux peuvent potentiellement détecter un seul photon , mais il s'agit d'un événement probabiliste.

2. De combien de « FPS » avons-nous besoin pour percevoir le mouvement fluide ?

Les « images par seconde », communément appelées « FPS », constituent la référence commune pour nos technologies visuelles telles que les écrans d'ordinateur, les téléviseurs et les appareils photo. Cela s’avère également être une mesure utile pour les humains.

La réponse à cette question a été découverte à la fin du XIXe siècle suite à l'invention du cinéma. Les premières sociétés de cinéma ont découvert que 16 FPS était le strict minimum pour inciter le cerveau à percevoir le mouvement à l'écran comme continu. Ici, nous pouvons avoir une idée de la façon dont notre cerveau colle des images séparées en mouvement à la vitesse des films (24 FPS) et des écrans d'ordinateur typiques (60 FPS).

C'est étonnamment bas, par exemple de nombreux animaux, comme les oiseaux , ont besoin d'au moins 75 FPS juste pour percevoir un mouvement. Pour eux, regarder un téléviseur équivaut à voir une séquence d’images statiques distinctes.

Cette capacité humaine représente en réalité quelque chose de profond quant au peu d’informations visuelles dont notre cerveau a besoin pour extrapoler les informations sensorielles. Voici un exemple tiré d’une étude psychophysique.

Comme vous pouvez le constater, nous pouvons construire un modèle interne de mouvement à partir d’un nombre étonnamment petit d’indices – nos centres visuels font le gros du travail à notre place !

3. Combien d’éclairs de lumière par seconde sont nécessaires pour voir la lumière comme continue.

La réponse ici s'appelle le seuil de fusion de scintillement et vient également des premiers pionniers du cinéma. Même si le mouvement pouvait être perçu à 16 FPS, le clignotement de l'écran à cette vitesse était considéré comme insupportable. Voici un exemple tiré du premier film jamais réalisé .

Pour résoudre ce problème, une nouvelle technologie d'obturation a été développée pour faire clignoter chaque image individuelle plusieurs fois de suite. La vitesse à laquelle les clignotements sont devenus confortables et relativement imperceptibles était d'environ 46 éclairs par seconde.

Par conséquent, notre capacité à percevoir consciemment les impulsions de lumière fonctionne à une vitesse environ trois fois supérieure à notre capacité de mouvement en termes de FPS. Bref, nous sommes bien plus sensibles à la luminance qu’au mouvement.

4. À quelle vitesse pouvons-nous percevoir une absence de lumière ?

En d’autres termes, à quelle vitesse pouvons-nous détecter un éclair noir dans une lumière continue ? Des recherches ont été menées auprès de personnes plus jeunes et plus âgées dans ce domaine pour étudier la dégénérescence de la vision avec le vieillissement. La détection s’est déroulée sur une échelle de temps de 18 millisecondes pour les jeunes adultes et de 22 millisecondes pour les adultes plus âgés.

Cela se traduit par entre 45 et 55 FPS, lorsqu'une image sombre devient imperceptible ou sans scintillement. La mise en garde ici est qu’il s’agit d’une moyenne, mais que les résultats individuels variaient considérablement.

Même dans un petit groupe d’étude, certains participants ont pu repérer un seul flash noir parmi 500 FPS d’éclairs lumineux (ou 2 millisecondes). Encore une fois, c'est extrêmement rapide. En comparaison, il faut entre 100 et 400 millisecondes pour cligner des yeux, ce qui est généralement exclu de l'expérience consciente.

5. Combien de temps faut-il voir une scène pour pouvoir l'identifier ?

Des recherches menées en 2014 sur la reconnaissance rapide d’images ont révélé que nous pouvons détecter des scènes spécifiques sur des échelles de temps beaucoup plus courtes qu’on ne le pensait auparavant. Dans des expériences où différentes images aléatoires (par exemple une maison, un chien, une forêt, etc.) sont projetées en succession rapide, les sujets pouvaient reconnaître ou se souvenir d'une scène spécifique en aussi peu de temps que 13 millisecondes.

Cela se traduit par l'affichage de 75 images différentes en une seule seconde et par la possibilité de dire avec une certaine fiabilité si une image spécifique était présente ou non. Vous pouvez constater par vous-même à quel point cela est remarquablement rapide.

Il est intéressant de noter que cela ne s’est pas avéré être la limite, c’était simplement le moyen le plus rapide que les chercheurs pouvaient afficher des images à l’époque.

Et bien voilà, j'espère que vous avez appris que la vision humaine est plus profonde et plus mystérieuse que vous ne le pensiez autrefois, et qu'elle est véritablement remarquable. Si vous souhaitez approfondir, cette superbe vidéo YouTube de TechLaboratories va plus en profondeur.

L'hormèse est peut-être un terme peu familier, mais il influence notre bien-être au quotidien tout au long de notre vie. La recherche montre que cela peut être un moyen efficace d’améliorer notre santé globale et notre résilience. Voyons donc comment cela fonctionne et comment l’exploiter.

Qu’est-ce que l’hormèse ?

Nous considérons généralement le stress sur notre corps comme une mauvaise chose. Cependant, si nous voulons être résilients au stress, nous devons être réellement exposés aux facteurs de stress. Ici, la science de l’hormèse montre que le dosage est un facteur critique quant à l’adaptation positive ou négative de nos systèmes biologiques.

Des réponses de type hormétique ont été rapportées dans divers domaines d'études , notamment le vieillissement, la physiologie de l'exercice, l'immunologie, la médecine et la nutrition. Le principe général est que la capacité de détecter et de répondre aux facteurs de stress environnementaux est intégrée à votre biologie pour devenir plus fort et en meilleure santé. Vice versa, l’absence de facteurs de stress au fil du temps peut en fait nous affaiblir.

Une pratique bien documentée de cet effet est le jeûne. Même si la famine est généralement nocive pour le corps, il est désormais bien connu qu’à courtes doses, elle produit des bienfaits pour la santé du corps et du cerveau.

Exercice et Hormèse

L’exercice intensif endommage en fait le corps en générant un léger stress oxydatif. Cependant , de plus en plus de preuves suggèrent que le stress oxydatif est très important pour réguler positivement les voies de signalisation nécessaires pour promouvoir les adaptations globales grâce à une meilleure forme physique.

En outre, il semble jouer un rôle plus général en aidant à créer un bouclier permettant au corps de devenir plus résilient face à des facteurs tels que les maladies et le vieillissement accéléré.

Comprendre les charges de contrainte

Atteindre un équilibre entre les facteurs de stress sains a été surnommé eustress . Le point clé est que ce n’est pas simplement le type de stress qui compte, mais aussi la charge et la durée du stress que nous induisons.

L’exposition chronique au stress entraîne généralement des effets négatifs, qui peuvent être dus en partie au fait que les effets du stress s’accumulent au fil du temps, mais aussi au fait que notre corps ne dispose pas de suffisamment de marge de manœuvre pour réagir et s’adapter.

Parvenir à une exposition équilibrée est appelé « inoculation du stress », conduisant à une résilience accrue. La stratégie consiste à s’exposer systématiquement à une dose contrôlée du facteur de stress.

Tirer parti de l’hormèse grâce au HITT

Le HITT (High Intensity Interval Training) est une technique d’exercice qui a acquis une grande crédibilité dans la science du sport ces dernières années. Le principe repose sur un entraînement extrêmement intense mais à doses très courtes, afin d'obtenir les bénéfices fitness équivalents à ceux d'un entraînement beaucoup plus important.

L’un des mécanismes proposés pour cela est une forte réponse hormétique biphasique sur les mitochondries – les centrales électriques qui pilotent la libération d’énergie dans chaque cellule de notre corps. Par conséquent, l'entraînement HITT s'est également révélé bénéfique pour les fonctions cognitives .

Heureusement, les charges d'entraînement visant à stimuler des réponses d'hormèse optimales via HITT ont été bien étudiées. Bien que cela varie selon les individus, seulement 3 x 20 minutes par semaine d'entraînement intensif de cardio et/ou de résistance apporteront des bénéfices physiologiques significatifs pour la plupart des gens.

Points à retenir

L’hormèse est notre capacité biologique intrinsèque à répondre positivement aux facteurs de stress physiologiques, afin de devenir plus résiliente. L’exposition à des doses aiguës d’exercice est un moyen d’exploiter le stress positif. La formation HITT est un moyen bien établi et efficace de promouvoir la santé et le bien-être en général.

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Les soins chiropratiques ont longtemps été stigmatisés comme un simple traitement des douleurs articulaires ou musculaires. Cependant, les dernières avancées scientifiques médicales et les applications progressives de cette pratique racontent une histoire très différente. Ici, je présenterai pourquoi les traitements chiropratiques modernes sont efficaces pour traiter le corps via le cerveau et le système nerveux central, et comment cette évolution « de la douleur au cerveau » peut apporter des bénéfices transformateurs dans de nombreux aspects des soins de santé.

La naissance de la chiropratique

La première école de chiropratique a été ouverte en 1897 , née de la philosophie selon laquelle le corps peut être considéré comme une « machine ». Le fondateur, Daniel David Palmer , a soigné un homme qui avait partiellement perdu l'audition suite à une luxation de la colonne vertébrale, ce qui, grâce à une correction, lui a restauré la capacité d'entendre.

En avance sur son temps, le concept était que les articulations et les subluxations (luxations) pouvaient être manipulées en synchronisation avec le système nerveux central pour traiter un large éventail de conditions physiques. En revanche, aujourd’hui, l’écrasante majorité du public croit que les soins chiropratiques ne sont bons que pour les douleurs au cou et/ou au bas du dos. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

La chiropratique en médecine moderne

L’essor spectaculaire des neurosciences et des connaissances médicales au cours des dernières décennies a révélé les symbioses intimes entre le cerveau et le corps, notamment à travers la complexité du système nerveux central. Cela a ouvert la voie à une approche plus holistique des soins de santé, qui va au-delà du traitement isolé des symptômes.

Par exemple, en médecine du sport, la recherche démontre désormais que les blessures du LCA altèrent les fonctions cognitives , ce qui à son tour altère la motricité, prolongeant considérablement le temps de récupération. La recherche a également montré que des problèmes cognitifs tels que les micro-commotions cérébrales peuvent également être à l’origine des blessures du LCA. Cela a conduit certains scientifiques à redéfinir les lésions du LCA comme étant principalement des lésions cérébrales .

Les dernières recherches scientifiques montrent que les problèmes cognitifs, ou l'incapacité du cerveau à s'adapter au stress mental ou physiologique et à s'en remettre, sont au cœur de la majorité des problèmes de santé chroniques.

Les soins chiropratiques progressifs incarnent aujourd’hui ce nouveau paradigme. La recherche montre que les ajustements chiropratiques peuvent influencer directement et positivement les fonctions cérébrales, par exemple en stimulant l'activité du cortex préfrontal (les centres de commandement du cerveau). Il est désormais reconnu qu’il existe une pléthore de différents types de pathologies qui peuvent bénéficier d’ajustements, et que ceux-ci devraient se concentrer sur l’influence du cerveau et du système nerveux central.

Notre approche « De la douleur au cerveau » à Truchiro

Demandez à n’importe qui ce qui contrôle chaque fonction de votre corps tout entier et il vous répondra sûrement… votre cerveau ! Cela soulève une question importante : si nous savons que le cerveau contrôle et coordonne tout notre corps, pourquoi tant de traitements médicaux se concentrent-ils sur des aspects autres que la fonction cérébrale ?

Il y a un peu plus de 7 ans, j'ai fait évoluer mes services de chiropratique du paradigme étroit musculo-squelettique vers le traitement du cerveau et du système nerveux central. J'ai fondé Truchiro , engagé dans un « véritable » traitement chiropratique basé sur le cerveau.

Pratique explosive avec la chiropratique cérébrale

La réponse a été remarquable, conduisant au traitement réussi de plus de 500 patients par semaine, avec la nécessité d'étendre rapidement les services de Truchiro. Aujourd'hui, j'aide d'innombrables chiropraticiens à faire évoluer leurs propres services vers une approche basée sur le cerveau, notamment en utilisant les dernières neurotechnologies comme l'EEG et NeuroTracker .

L’objectif est de sortir de la mentalité restrictive liée aux douleurs au cou et au dos et d’offrir les soins chiropratiques à un éventail beaucoup plus large de personnes. C'est pourquoi j'ai formulé le terme « de la douleur au cerveau », pour passer du traitement de symptômes articulaires ou musculaires spécifiques au traitement de la santé globale de la personne.

Témoignages de réussite de patients avec Truchiro

Grâce aux soins correctifs chiropratiques basés sur le cerveau, nous avons traité avec succès un large éventail de problèmes médicaux. Il existe d’innombrables réussites, mais en voici trois qui mettent en évidence ce que ce type d’approche peut offrir.

1. Libby souffrant d'anxiété et de dépression

Libby souffrait depuis des années de maux de tête, de lombalgies, de douleurs à la hanche, de spasmes aux épaules, d'anxiété, de fatigue, de dépression et de reflux gastrique. Au cours de son évaluation initiale, il a été constaté que Libby souffrait d'un stress important sur son cerveau et son système nerveux grâce à un examen chiropratique cérébral.

Libby a accepté un plan de soins axés sur le cerveau et s'y est engagée. Elle a vu des résultats remarquables. Après seulement 6 semaines de soins, elle a remarqué une nette amélioration dans tous les domaines ci-dessus.

2. Michael souffre de reflux acide et de problèmes de sommeil

Michael est arrivé au bureau avec des douleurs lombaires, des reflux acides (RGO), des troubles du sommeil et de l'hypertension. Il avait été traité par son médecin traitant avec des médicaments sur ordonnance, qui ne l'avaient pas du tout aidé.

Après avoir commencé des soins chiropratiques cérébraux, le bas de son dos fonctionnait à nouveau correctement sans douleur. Il n’a plus eu besoin de ses somnifères et a trouvé un soulagement à ses reflux acides. Michael a suivi notre plan correctif chiropratique basé sur le cerveau et n'a jamais manqué un rendez-vous - il continue de maintenir ses progrès et sa santé globale grâce à des visites continues.

3. Lori atteinte de fibromyalgie

Lori est venue au bureau parce qu'elle souffrait de douleurs intenses au cou, aux épaules, au dos et aux jambes. On lui avait diagnostiqué une fibromyalgie. Sur une échelle de 1 à 10, cette douleur était de 10 lorsqu’elle est arrivée au bureau pour la première fois. Elle avait consulté un rhumatologue et était soignée par des injections d'anesthésie dans les épaules et le bas du dos tous les 4 mois, ainsi que par des anti-inflammatoires, mais sans soulagement.

Après environ 12 mois de soins chiropratiques cérébraux et d'ajustements chiropratiques scientifiques spécifiques, Lori n'a plus eu besoin d'une injection ni d'aucun médicament depuis plus de 8 mois. Lori a déclaré : « Les soins sont une manière douce et moins intrusive d’aider mon corps à se sentir et à mieux fonctionner. Cela m’a aidé plus que n’importe lequel de mes médicaments.

Rejoignez le mouvement Truchiro !

Voici quelques-uns des principaux avantages des services chiropratiques lors du passage de la douleur au cerveau.

- Les ajustements chiropratiques sont beaucoup plus efficaces et conduisent à de meilleurs résultats.

- Les patients apprennent que l'ajustement chiropratique concerne le cerveau et pas seulement la douleur.

- Les progrès du patient peuvent être mesurés et suivis objectivement d'un point de vue cérébral.

Si vous êtes un chiropracteur intéressé à intégrer les soins chiropratiques basés sur le cerveau et les dernières neurotechnologies dans vos services, vous pouvez découvrir comment devenir praticien Truchiro ici .

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Peut-être le domaine scientifique le plus fascinant, les neurosciences font chaque année des découvertes révolutionnaires à la vitesse de la lumière. Nous vous présentons ici trois faits remarquables sur votre cerveau qui révèlent pourquoi il est si étonnant - profitez-en !

1. Votre cerveau peut rivaliser avec le superordinateur le plus rapide au monde

Les informations transitent par votre cerveau à une vitesse de 431 km/h via des messagers chimiques chargés électriquement appelés neurotransmetteurs. À l’heure actuelle, vos quelque 90 milliards de neurones sont tous actifs, même lorsque nous dormons, afin de maintenir le fonctionnement de votre cerveau.

Bien qu’il soit impossible de le savoir avec précision, on estime que le cerveau humain fonctionne à 1 exaFLOP, ce qui équivaut à un stupéfiant quintillion (1 000 000 000 000 000 000) de calculs par seconde.

Au moment de la rédaction de cet article, le supercalculateur le plus rapide du monde s'appelle « Frontier » , géré par le laboratoire national d'Oak Ridge du ministère américain de l'Énergie. Tout récemment, il a atteint l'étape exaFLOP tant attendue, correspondant à peu près à la vitesse de calcul de l'esprit humain. Cela dit, revenez en arrière il y a à peine un an et votre matière grise aurait largement surpassé n'importe quel supercalculateur.

2. Votre cerveau est hyperplastique

Contrairement à un ordinateur, le cerveau est à la fois matériel et logiciel dans un seul système. Entretenus par des milliards de cellules gliales, les neurones sont extrêmement flexibles dans les rôles qu’ils peuvent remplir. Cela comprend à la fois la restructuration neuroanatomique du cerveau et la redéfinition de son système d'exploitation réel en réponse à une stimulation environnementale.

Grâce à un phénomène connu sous le nom de neuroplasticité , le cerveau humain peut essentiellement se reconnecter. Bien que la plupart des gens en soient conscients, la flexibilité de votre matière grise pour se réadapter est une connaissance rare. Les neurones sont capables de se déconnecter et de se reconnecter aux autres, de réformer leur structure de base et de se transformer pour remplir des types complètement nouveaux de rôles cognitifs.

Au jeune âge, ce processus est très actif. Non seulement la taille du cerveau humain double à l’âge d’un an, mais à seulement trois ans, notre cerveau se développe jusqu’à 80 % de sa taille adulte. Ils subissent également un « élagage neuronal », déconstruisant essentiellement les réseaux neuronaux qui ne sont pas suffisamment activés.

Encore déconcertant pour les neuroscientifiques aujourd'hui, la preuve la plus remarquable de la neuroplasticité totale provient peut-être d'un type de chirurgie appelé hémisphèrectomie . Opérable uniquement sur les enfants souffrant de maladies cérébrales potentiellement mortelles, cette procédure drastique consiste littéralement à supprimer la moitié du cerveau humain.

Étonnamment, l’autre moitié du cerveau se recâble alors complètement pour former un nouveau cerveau gauche/droit. Une fois rétablis, les patients de cette chirurgie continuent généralement à vivre une vie normale. Cela démontre qu’il n’existe pas un seul centre du cerveau qui se contrôle lui-même : sa capacité d’adaptation est véritablement émergente !

3. Votre cerveau pourrait exister sous la forme de deux esprits différents

Les deux côtés du cerveau sont reliés par un étroit faisceau de neurones appelé corps collaire . Il s’agit essentiellement d’une autoroute de communication, relayant constamment de grandes quantités d’informations entre chacune des deux moitiés du cerveau, par ailleurs physiquement séparées.

Dans de rares cas médicaux, il est nécessaire de sectionner complètement le corps calleux, en empêchant chaque moitié de communiquer directement avec l'autre. Les neuroscientifiques ont confirmé, par diverses expériences, que dans cette condition, il existe deux cognitions distinctes chez le même individu – ce qu'on appelle le syndrome du cerveau divisé .

Cela dit, ce n’est pas quelque chose que vous voudriez expérimenter. De manière quelque peu effrayante, cela peut en fait conduire à un conflit avec soi-même. Comme chaque côté du cerveau contrôle un côté du corps, un tel conflit peut amener une personne à se battre physiquement avec elle-même. Dans des cas extrêmes, les patients ont même dû lutter contre l’auto-étranglement !

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Avec l’évolution des dernières astuces scientifiques et technologiques, de nouvelles façons émergent de protéger votre corps physique contre le stress, l’inflammation et les blessures. Dans ce blog, nous présenterons le concept émergent de performance sportive de trempe corporelle (c'est-à-dire techniques de fortification). On peut également l'appeler mobilisation des tissus mous, en utilisant des techniques telles que la pose de cylindres lourds ou de rouleaux en mousse sur les muscles, les tendons, les ligaments et les fascias du corps. Cette technique est réputée pour aider à préparer les muscles à l’activité et également pour améliorer la récupération musculaire. Entrons dans les détails.

Comment la trempe corporelle peut augmenter la force de votre corps

Donnie , haltérophile record et principal promoteur, affirme que le renforcement corporel aide à réduire les douleurs ou l'inconfort musculaires et à améliorer les performances corporelles globales.

« La trempe est une méthode dans laquelle une pression est imposée pour augmenter la résistance et la ténacité, et cela sert essentiellement à faire ressortir les propriétés intrinsèques du matériau soumis à une contrainte. Lorsque nous appliquons cela aux êtres humains, en particulier aux athlètes, les conditions difficiles des tests peuvent devenir très résilientes aux défis et facteurs de stress futurs.

La trempe peut potentiellement augmenter la force de votre corps, ce qui, à son tour, est connu pour réduire le risque de blessure. Tempering repense les blessures sportives à travers le prisme de « l'antifragilité » et la notion générale de la façon dont les blessures sportives persistent. Cela vient avec l'idée de rendre les athlètes « à l'épreuve du temps », en termes d'être suffisamment robustes pour résister à divers risques et scénarios sportifs physiques qui sont souvent difficiles à prévoir.

Lorsque les athlètes font du renforcement corporel avant une séance d’entraînement, cela peut potentiellement aider à réduire le risque de hernies, de rupture musculaire, de déchirure des ligaments et d’autres blessures liées à l’entraînement en force. Cette technique réduit également le risque de traumatisme causé par la rupture des tissus hors de l'état adhésif et augmente également l'amplitude de mouvement de l'athlète.

L’un des points clés à retenir lors du renforcement corporel est que l’on effectue toujours le mouvement actif après la technique de mouvement passif. Cela aide à verrouiller les changements de mobilité lors des actions d’étirement.

Comment fonctionne le renforcement corporel ?

Il a été observé que le renforcement corporel est bénéfique pour les athlètes en contribuant à l’amélioration de la condition musculaire et en alternative à la forme traditionnelle d’étirement. Les techniques de renforcement corporel fonctionnent en renforçant le corps de l’intérieur vers l’extérieur. Pour quelqu’un qui cherche à gagner en force, son corps doit travailler ensemble pour agir comme une machine efficace. Pour cela, il faut conditionner le système nerveux et le corps à travailler en synchronisation.

Tempérer ou fortifier votre corps peut également se faire via une exposition contrôlée au froid, pour renforcer le système immunitaire, renforcer la résilience, stimuler le SNC (système nerveux central) et augmenter le tonus musculaire.

Comme l'a souligné M. Olympia Arnold Schwarzenegger, sept fois, obtenir un avantage supplémentaire en matière de développement musculaire fait toute la différence.

Les trois ou quatre dernières répétitions sont ce qui fait croître le muscle. Cette zone de douleur sépare le champion de quelqu'un d'autre qui n'est pas un champion.

Routines de renforcement corporel

Il existe différents points focaux musculaires et méthodes sur lesquels les entraîneurs peuvent travailler en utilisant le renforcement corporel :

- Ischio-jambiers : ici l'athlète doit travailler les muscles du ventre en poussant d'avant en arrière.

- Frontside & Backside Work : la meilleure posture pour le tempérage corporel est de commencer par l'intérieur du corps puis de travailler sur l'arrière du corps.

Zones ciblées qui sont couramment traitées par trempe corporelle :

- Dos

- Quads

- Ischio-jambiers

- Veaux

- Poitrine

- Abdos

- Triceps

- Biceps

Dans les domaines mentionnés ci-dessus, des techniques de renforcement corporel peuvent être appliquées pour augmenter la résilience aux tensions musculaires. Lorsqu’il est pratiqué à long terme, il peut constituer un moyen fiable d’augmenter durablement la force corporelle globale et la robustesse physique pour des performances physiques élevées.

Par conséquent, cette approche peut jouer un rôle important dans la prévention des blessures et dans la rééducation des risques articulaires ou de l'amplitude de mouvement, comme en cas de tension de la cheville ou de flexibilité des ischio-jambiers, afin de se protéger contre les inévitables traumatismes physiques liés au sport.

Emporter

Lorsque nous parlons de mesures de sauvegarde et d’interventions pour protéger notre corps, la trempe corporelle semble prometteuse. L’adoption de cette perspective et de cette stratégie générale de gestion du risque de blessure peut offrir les meilleures méthodologies émergentes pour aider les athlètes à surmonter leurs blessures, à améliorer leur puissance physique et à renforcer leur intelligence kinesthésique corporelle grâce à la stimulation du système nerveux.

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Lorsque nous parlons de performance sportive, cela inclut une super concentration, car les athlètes d’élite ont une étrange capacité à entrer rapidement dans la zone de transition. La capacité des athlètes de super-élite à croire qu’ils vont gagner est façonnée par un fort sentiment de motivation et d’optimisme. Divers traits de personnalité et talents innés aident à surmonter les défis lors de la compétition. Des analyses de recherche sur divers types de pressions et de défis ont été examinées chez les athlètes de super-élite et sur la manière dont ils surmontent le pessimisme et la négativité. Nous aborderons ici les caractéristiques de ceux qui sont destinés à atteindre le sommet de leur forme.

5 traits clés des athlètes de super-élite

En s’appuyant sur les compétences multidisciplinaires que les athlètes développent au cours de leur carrière, le premier point est de reconnaître le modèle de performance des athlètes qui excellent. Les champions surperforment ne sont pas dus à un seul facteur mais à une multitude de facteurs. Ce sont les caractéristiques développées de l’artiste plutôt que ce avec quoi il est né qui comptent le plus. Par exemple, développer la confiance en soi est un facteur clé pour la performance d’élite dans ce domaine. Les athlètes d’élite débordent de confiance en eux, ce qui inclut le développement personnel des aspects mentaux de la performance à plusieurs niveaux. Voici les traits clés que l’on retrouve systématiquement chez les très grands artistes.

1. Gestion du stress

Un facteur clé est de gérer le stress lors de situations difficiles. Parallèlement à cela, plusieurs caractéristiques différencient les athlètes des athlètes d’élite. Par exemple, il existe généralement un niveau élevé de perfectionnisme, d’optimisme dispositionnel et une capacité à gérer des situations très stressantes.

Dans des situations de haute pression, où l’on peut voir deux résultats différents, les athlètes auront d’abord du mal à résister à la pression par peur de l’échec. Ici, l’approche optimiste intervient pour les super-élites et éradique ces doutes rampants. Pour vaincre cette peur, de nombreux entraîneurs poussent leurs athlètes à se produire sous haute pression sous les projecteurs. Cela aide les athlètes à développer et à entretenir leurs compétences jusqu'au niveau supérieur.

2. Travail d'équipe

Un autre élément clé est le travail d’équipe, qui détermine également la relation entre l’athlète et l’entraîneur. La coopération avec les coathlètes, le soutien des amis et de la famille, ainsi qu’avec le personnel de soutien, est un autre aspect qui produit des résultats de grande valeur pour les athlètes qui réussissent.

Cela s’étend également aux performances en compétition dans les sports d’équipe. Au football, par exemple, les joueurs doivent utiliser le travail d'équipe de plusieurs manières, par exemple en passant le ballon de manière hautement orchestrée, en s'encourageant mutuellement et en réalisant des jeux ou des buts gagnants de manière étroitement coordonnée.

3. Viser des objectifs axés sur la performance

Les athlètes de super élite se fixent des objectifs de performance à court et à long terme qui les aident à faire face à l’adversité inévitable. Les objectifs de performance ne se limitent pas à gagner des compétitions. Les athlètes engagés se fixent des objectifs à plusieurs niveaux, y compris la manière dont ils entendent performer lors de chaque séance d'entraînement individuelle, la manière dont ils souhaitent améliorer l'aspect mental de leur jeu, le développement psychologique et les éléments quotidiens tels que la gestion de l'alimentation et les méthodes de récupération.

Les entraîneurs jouent un rôle clé en aidant à fixer les objectifs d'un athlète, en adoptant une approche stimulante mais réaliste, car des objectifs irréalistes ont tendance à créer de l'incrédulité chez l'athlète au fil du temps.

4. Rapidité et réflexes

Les athlètes de super élite sont accompagnés d’une rapidité infinie et d’une pléthore de réflexes qui les distinguent de la foule. Bien que la plupart des gens considèrent la vitesse et l’agilité comme des capacités physiques, les athlètes dotés de réflexes ultra-rapides doivent également développer leur vitesse de traitement cognitif. La capacité à interpréter les signaux sensoriels, à générer une conscience de la situation, à déterminer les meilleures décisions, puis à les exécuter, est très exigeante pour le cerveau.

Cette étude menée auprès de stars de la NFL, de la LNH et de l'EPL a montré que la vitesse de traitement mental et la capacité à s'adapter et à améliorer rapidement les ressources cognitives sont un prédicteur clair du potentiel d'un athlète d'élite. Ce qu’il faut retenir, c’est que les grands athlètes développent à la fois leur corps et leur cerveau afin de traiter, décider et exécuter à des vitesses supérieures à celles de leurs contemporains moindres.

5. Personnalité positive

Chaque athlète a une journée difficile, mais il faut pouvoir la surmonter grâce à sa détermination. Concernant l'optimisme, le golfeur et entraîneur de la PGA Travis Howser souligne l'importance d'encourager les golfeurs juniors, chaque fois qu'ils se trouvent dans une situation difficile qui serait normalement négative. Au lieu de cela, aidez-les à rire et à voir la situation dans son ensemble.

Quelle que soit la qualité de l'athlète, personne ne peut performer parfaitement à tout moment, la défaite est une partie inévitable de presque tous les sports. L’essentiel est de pouvoir changer de perspective sur une situation pour avoir un état d’esprit positif sur la suite.

Une concentration et une concentration exceptionnelles sont extrêmement importantes lorsqu'il s'agit de gagner contre toute attente. Cela permet de différencier les athlètes d’élite des athlètes de super-élite. Grâce à cette méthode, ils peuvent facilement entrer dans la zone et voir des opportunités, quelles que soient les chances.

Le désir intérieur de réussir et de gagner inclut également un niveau élevé d’IE (Intelligence Émotionnelle). Cela crée un désir inné non seulement de réussir et de gagner, mais aussi de prendre du plaisir dans le processus.

Selon Michael Phelps,

Vous ne pouvez imposer de limite à rien. Plus tu rêves, plus tu avances

Emporter

La conscience et la concentration extrême sont des facteurs majeurs de la performance sportive qui contribuent à éliminer les limites du développement personnel. Cela peut s’étendre à l’utilisation de techniques mentales imaginaires telles que la reproduction multisensorielle de jeux sportifs réels, et peut constituer un outil mental puissant pour les athlètes des sports modernes.

La détermination ou le « courage » vont de pair ici, étant suffisamment déterminé pour avoir confiance en la capacité de surpasser les autres malgré les obstacles. Comme le dit le proverbe, « les gagnants se concentrent sur la victoire et les perdants se concentrent sur les gagnants ». Faire face au stress, puiser dans le soutien que les autres peuvent apporter et favoriser des attentes positives font tous partie de la recette qui façonne les sportifs exceptionnels.

Les champions ont la capacité de se concentrer et d’utiliser toute leur attention dans les moments les plus exigeants. Lorsque tout le reste est en place, ce sont ces moments qui marqueront les moments forts de votre carrière sportive. Si vous avez déjà concouru, vous saurez que je parle de compétition. Dans ces situations de forte pression pour performer, vous avez besoin de toute votre concentration et de toute votre attention pour réussir. Nous expliquerons ici pourquoi entraîner votre attention et votre concentration est la clé d’une stratégie gagnante.

Concentration de formation – le chaînon manquant

La plupart des athlètes ont des stratégies très définies. Ils améliorent la technique, la tactique, la force, la forme physique et d’autres aspects spécifiques de la performance. Mais en fin de compte, le cerveau domine tous ces processus. Sur le plan cognitif, nous pouvons faire bien plus pour améliorer nos performances. L'attention et la concentration peuvent être augmentées avec les bonnes méthodes.

Puisque nous avons tous la capacité d’améliorer nos performances, notre cerveau peut être stimulé et préparé aux différentes situations qui nous attendent en compétition. C'est ainsi que nous exploitons la remarquable neuroplasticité . Si vous êtes un entraîneur ou un athlète, réfléchissez à ce que vous auriez pu faire avec plus d’attention et de concentration. Toni Nadal dit que son neveu Rafael Nadal a accepté les exigences de la compétition et lui a répété sans cesse : "Si vous n'êtes pas capable de battre votre rival, au moins ne l'aidez pas à vous battre".

Rafael exploite chaque once de son attention et de sa concentration sur chaque point, avec pour résultat de vaincre moralement les adversaires qui lui font face grâce à son engagement incessant. Les clichés incroyables réalisés avec une mise au point à 100 % dans cette vidéo sont réels.

Concurrence – une guerre de concentration

Lorsque vous augmentez votre concentration, vous dominez la situation. Dominer la situation mène au succès, car vous avez le contrôle. Cette maîtrise résulte d'une orientation solide et d'une démarche engagée. Pour contrôler vos concurrents et les surpasser, vous devez être dans une zone de pure concentration sans distraction. Prendre les meilleures décisions sous pression est ce qui différencie les champions des perdants. Comme l'a déclaré Sir Alex Ferguson avant la finale de la Ligue des champions 2011 : "La concentration sera la clé pour remporter la finale."

Finalement, ils ont perdu 3-1 contre le FC Barcelone. Force est de constater qu’ils n’ont pas trouvé la clé pour vaincre leur rival. Dès que la pression anglaise a baissé d'un demi-point, Barcelone a pris le contrôle de la finale et a renversé la situation car sa concentration n'a pas faibli.  

Les champions dominent la situation sous pression car leur attention est au maximum. Exécuter parfaitement votre technique dans des situations d’exigence maximale, où la pression est extrêmement élevée, ne peut être obtenu que lorsque vous êtes capable de maintenir un haut niveau de concentration.

Les champions maîtrisent ces situations sous pression car ils sont capables de trouver les meilleures solutions, se mettant dans un état de fluidité leur permettant de canaliser chaque action avec une concentration claire. Il leur suffit de se connecter avec leur nom d'utilisateur : « attention » et leur mot de passe : « concentration » !

Concentration totale – Surmontez tous les obstacles

La prédiction des résultats d’une compétition par l’analyse des données est parfois erronée en raison de la complexité des facteurs émotionnels et mentaux qui entrent en jeu sous de fortes pressions. Par exemple, si l’on regarde la demi-finale de la Ligue des Champions 2022 entre le Real Madrid et Manchester City, le Real Madrid a atteint la 87e minute de jeu avec 1% de chances d’accéder à la finale.

Cependant, la pression du stade Bernabéu et la conviction de l'équipe blanche de ne jamais abandonner ont fini par renverser la pression du Real Madrid sur Manchester City. Cet engagement face à l'adversité a amené les joueurs de Manchester City à céder et à perdre leur concentration sur la victoire, se laissant distraire par la peur de perdre. Le Real Madrid a marqué 2 buts en seulement 1 minute de jeu. Le match se prolongerait ensuite en prolongation, le Real Madrid se qualifiant pour la finale.

Former la dimension cognitive de la performance

Pour réussir dans la culture sportive hyper-compétitive d'aujourd'hui, vous devez vous demander : « Qu'est-ce que je veux réaliser : le succès ou l'échec ? »

Si c’est un succès, alors votre objectif devrait être de vous engager à vous entraîner comme un champion. L’une des méthodes les plus efficaces pour augmenter vos performances globales consiste à maximiser votre concentration autant que possible, car cela aura un impact sur tous les aspects de votre entraînement. Devenez ainsi plus compétitif dans votre sport et cela vous aidera à atteindre votre prochain niveau : le niveau des champions.

Au Centre International, nous aidons les athlètes à commencer à concourir comme des champions en entraînant la dimension cognitive de la performance. Lorsque nos athlètes s'entraînent visuellement, perceptuellement et cognitivement, ils augmentent leurs performances au niveau attentionnel, traitant les informations avec plus de précision et d'efficacité, pour prendre des décisions plus rapides et meilleures avec des niveaux de concentration élevés.

Dans la vidéo suivante, vous verrez un athlète de tir olympique (Alvaro G.) se préparer pour son championnat d'Espagne grâce à l'un de nos NeuroTracker .

Nous accompagnons l'athlète dans sa zone d'entraînement pour voir quels sont ses besoins, afin d'adapter spécifiquement son entraînement de la meilleure manière pour simuler une performance sous pression. Cette approche d'entraînement utilise une double tâche avec 1 suivi de balle pour généraliser une augmentation de son attention et de sa vitesse de traitement à la sortie du marbre. Nous ajoutons également une charge perceptuelle passive supplémentaire appelée Optic Flow (le tunnel noir et blanc).

Grâce à ces modes combinés, nous avons considérablement amélioré les processus cognitifs visuels et l'équilibre de l'athlète. Le résultat a permis à Alvaro de surpasser ses capacités passées pour remporter l'argent au Championnat d'Espagne.

Vous pouvez lire les 4 premières parties de cette série de blogs en 6 parties ici.

‍Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 1 – Exécution

Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 2 – Blessures

‍Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 3 – Pression

Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 4 – Préparation

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L’une des choses qui rendent NeuroTracker unique est la diversité des façons dont il est appliqué à l’ensemble du spectre de la performance humaine et du bien-être. Dans notre coin des experts , des professionnels et des leaders d'opinion de différents domaines proposent régulièrement des articles pour partager les meilleures pratiques et révéler de nouvelles façons d'appliquer cette neurotechnologie. Voici 6 de nos blogs d'experts préférés de 2022 jusqu'à présent - profitez-en !

Neurofeedback et NeuroTracker – une synergie idéale

Brendan Parsons est le protégé du professeur Faubert, . En tant que scientifique possédant une expertise approfondie en neurofeedback et une vaste expérience en tant que praticien clinicien, il est une personne à l'avant-garde de son domaine. Dans ce blog approfondi, Brendan partage le parcours de recherche qui a conduit à la première formation NeuroTracker « en boucle fermée » au monde directement intégrée à l'EEG. Cette approche scientifiquement validée a considérablement augmenté l'efficacité de l'entraînement, ouvrant de nouvelles façons de combiner le neurofeedback avec l'entraînement cognitif fonctionnel.

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Stimuler les réactions spontanées en natation – de manière cognitive !

Taylor Snowden est étudiante au doctorat à l'Université de Victoria dont les recherches portent sur l'utilisation de NeuroTracker pour évaluer les capacités perceptuelles et cognitives. Elle partage ici les idées d'une étude fascinante visant à voir si l'entraînement à l'attention visuelle peut conduire à des effets de transfert à distance sur l'attention auditive. Pour mettre cela à l’épreuve, elle s’est concentrée sur la mesure des réactions de plongée des nageurs d’élite en utilisant les dernières technologies de mesure. Les résultats sont tout à fait remarquables !

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L’entraînement de vision sportive n’est pas réservé aux athlètes

Richard Hoctin Boes OD est un spécialiste expérimenté de la vision sportive originaire des Pays-Bas et directeur des centres de neuro-optométrie eye4vision . Grâce à ses centres, il a beaucoup travaillé avec NeuroTracker avec beaucoup de succès auprès d'une pléthore de populations différentes. Dans ce blog, il expose les concepts selon lesquels l'entraînement de la vision sportive peut bénéficier à presque tout le monde avec le bon type d'entraînement personnalisé.

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Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 1 – Exécution

Pedro Gormaz est entraîneur national de la Fédération royale espagnole de taekwondo et entraîneur international de la Fédération mondiale de taekwondo. En tant qu'entraîneur de haut niveau expérimenté, il est également directeur du Centre International de Coaching Mental basé à Madrid. Dans cette première partie d'une série en six parties sur la façon d'exceller dans le sport, Pedro souligne à quel point des compétences mentales cruciales telles que l'anticipation, la prise de décision et l'exécution doivent être réunies pour atteindre des performances optimales.

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Pourquoi la F1 eSports transforme le potentiel sportif

Julien Southon est un spécialiste de la performance visuelle, cognitive et motrice s'appuyant sur son expertise en biologie, mouvement humain et psychologie. Ici, Julien nous emmène dans le terrier du lapin, dans le phénomène émergent de l'eSport F1 et pourquoi ces cyber-athlètes s'entraînent aussi sérieusement que les vrais pilotes de F1. Il partage notamment ses idées sur la façon dont il a aidé l’une des équipes les plus récentes dans le domaine à obtenir des succès remarquables grâce à des évaluations et à des formations neurovisuelles.

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Les enfants ayant de graves difficultés cognitives peuvent-ils suivre un entraînement cognitif ?

Catherine Archambault est candidate au doctorat en psychologie appliquée de l'enfant à l'Université McGill à Montréal. Ses recherches portent sur le fonctionnement cognitif et académique ainsi que sur les troubles neurodéveloppementaux. Catherine donne ici un aperçu des dernières recherches menées avec NeuroTracker pour déterminer si les enfants ayant un QI extrêmement faible sont capables d'effectuer un entraînement cognitif, en utilisant NeuroTracker comme référence. Les résultats sont surprenants et devraient conduire à l’inclusion de programmes d’amélioration cognitive pour les étudiants qui peuvent en bénéficier le plus.

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À première vue, NeuroTracker peut sembler n'avoir rien de plus que le suivi de cibles rebondissant en 3D, mais les utilisateurs experts savent qu'il y a beaucoup à apprendre pour tirer le meilleur parti de cet entraîneur cognitif unique. Avec un peu de savoir-faire pratique, votre formation peut passer de bonne à excellente, tout en étendant les bénéfices de l'apprentissage à des niveaux de performance extrêmement élevés. Consultez notre sélection de guides recommandés pour vous aider, vous ou les personnes que vous formez, sur le chemin de l’amélioration.

1. Votre guide des scores NeuroTracker

Le résultat principal d'une session NeuroTracker est un « score de seuil de vitesse », il s'agit essentiellement d'une mesure de votre limite supérieure de vitesse de suivi visuel, parfois appelée « VTS ».

Ce blog révèle ce que représente ce score, pourquoi les mesures de base de base sont importantes, ainsi que comment la mesure du taux d'apprentissage NeuroTracker sur plusieurs sessions offre une fenêtre unique sur les fonctions cérébrales et la neuroplasticité.

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2. Augmenter les performances avec le système d'apprentissage NeuroTracker

Le système d'apprentissage NeuroTracker est une méthodologie de formation brevetée permettant d'obtenir des bénéfices optimaux de chaque session NeuroTracker sur la voie de l'amélioration.

Soutenue par des études scientifiques et des données provenant d'équipes sportives d'élite, cette méthodologie révèle les connexions innées entre le cerveau et le corps, ainsi que les meilleures méthodes pour développer des compétences spécifiques à la performance sous une charge cognitive élevée.

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3. Les multiples étapes de la formation NeuroTracker – Performance

À l'aide d'exemples vidéo et photo, ce blog illustre différents exemples de la manière dont les professionnels appliquent les méthodes de formation à double tâche NeuroTracker dans différents domaines de performance humaine.

Cela fait suite au système d'apprentissage NeuroTracker, donnant des informations pratiques depuis les tâches d'équilibre de base jusqu'à l'intégration d'exercices de sensibilisation tactique et de prise de décision.

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4. Conseils pour les formateurs NeuroTracker - la première session

Les blogs 4, 5 et 6 de notre liste sont une série en 3 parties écrite par Maxime Chevrier . Maxime est professeur de psychologie clinique et entraîneur en performance sportive très expérimenté. Son expertise dans l’application de la formation NeuroTracker à l’ensemble du spectre des performances humaines s’étend sur plus d’une décennie.

Donnant des conseils et des informations inestimables sur la manière dont les entraîneurs et les entraîneurs peuvent tirer le meilleur parti de l'entraînement avec leurs athlètes ou clients, ce premier blog présente les bases et comment optimiser votre coaching dès le départ.

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5. Conseils pour les formateurs NeuroTracker - Gestion des sessions

Le deuxième volet de la série de Maxime va encore plus loin. Il détaille ici les conseils pratiques pour gérer la formation sur le terrain, avec des conseils sur la façon de guider et d'observer les sessions.

Il partage ensuite des conseils pour interpréter les résultats des données et donne des conseils judicieux sur la manière de fournir un feedback qualitatif pour stimuler la motivation à l'entraînement.

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6. Conseils pour les formateurs NeuroTracker – Programmes avancés

Dans cette troisième partie, Maxime plonge un peu dans la science derrière les programmes de formation avancée et sur la meilleure façon de tirer parti des principes du système d'apprentissage NeuroTracker pour continuer à récolter les bénéfices de la formation au fil du temps.

Il donne ensuite des conseils sur la meilleure façon de faire progresser les techniques d'entraînement à double tâche pour différents besoins de performance, ainsi que quelques conseils d'initiés pour optimiser les charges d'entraînement neurocognitif en fonction des besoins de chaque individu.

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Albert Einstein a dit un jour : « La folie, c'est faire la même chose encore et encore en s'attendant à des résultats différents ». Si vous souhaitez de meilleurs résultats en compétition, il est important de vous entraîner à un niveau supérieur et de concourir en fonction de votre potentiel. Le but est de s’entraîner de la même manière que vous concourez. Et si vous combinez votre entraînement sportif avec une pression de niveau compétition, vous connectez votre esprit et votre corps. C’est pourquoi la formation doit intégrer la dimension cognitive de la performance, afin de simuler la pression mentale. Dans ce 4ème blog de la série, nous expliquerons comment vous pouvez faire passer votre entraînement à un autre niveau en employant les mêmes techniques mentales que celles que vous utilisez lors de la compétition réelle.

Apportez la pression de la concurrence dans la formation

Lorsque nous nous entraînons, nous voulons avoir les mêmes exigences et difficultés que lors de la compétition elle-même. Un facteur qui prédomine et nous limite lorsque nous concourons est la pression, mais il s’agit en réalité d’un manque de préparation. S’entraîner sous une vraie pression nous aide à être mieux préparés. Lorsque vous serez en mesure de vous entraîner avec une difficulté supplémentaire, les défis de la compétition commenceront à vous sembler normaux.

Lorsque nous nous entraînons, nous recherchons un objectif à court terme, qui est de mieux nous préparer à la compétition. Tout le monde est champion quand personne ne regarde. Mais lorsque la pression intervient, nos capacités sont limitées et affectées. Cela se produit peut-être parce que la méthode d’entraînement actuelle n’est pas assez puissante pour vous mettre correctement dans un état de compétition. Une expression courante dans le sport est « rivalisez comme vous vous entraînez ». Cependant, cela peut ne pas être vrai si votre entraînement n'est pas de haute qualité. Souvenez-vous d'un moment où vous avez pensé « J'ai besoin de quelque chose de plus » pendant l'entraînement ou après une mauvaise compétition.

Relevez de vrais défis de formation

Lorsque vous vous entraînez avec un défi supplémentaire et que cette difficulté diminue ou disparaît, tout coule. Si chaque jour vous vous entraînez avec des défis de plus en plus difficiles, alors vous réalisez ce qui se rapproche le plus de la compétition. Si vous vous imposez une exigence comme dans une COMPÉTITION, vous considérerez un stress élevé comme quelque chose de normal – juste une expérience quotidienne familière.

Dans ces moments-là, il deviendra possible de concourir pendant que vous vous entraînez. Les difficultés font partie du processus. Ces difficultés vous feront passer au niveau supérieur. Robert Bowman, entraîneur du nageur 23 fois champion olympique Michael Phelps, ne cessait de répéter : "Il n'y a pas de croissance sans souffrance".

Les athlètes que vous aimeriez peut-être observer en quête d’inspiration sont ceux qui connectent le corps et l’esprit. Par exemple le moment où Steph Curry a marqué 46 points et 6 passes décisives, en plus d'égaler ce qui était à l'époque un record de 12 paniers à trois points dans un match. Cependant, le plus grand moment où son esprit et son corps étaient synchronisés a peut-être été lors du tir gagnant à 3 secondes de la fin contre le Thunder d'Oklahoma City, où il a décidé, s'est levé et a marqué.

Intégrer l'entraînement cérébral et corporel

Connecter le corps et l’esprit est ce que les athlètes et les entraîneurs souhaitent le plus, surtout lorsque leurs objectifs sont très élevés. Lorsque vous obtenez cette connexion, vos performances sont meilleures. Entraîner votre mouvement, votre geste technique, votre blocage, votre passe... tout en étant soumis à de fortes charges cognitives, vous vous permettez de pouvoir connecter corps et esprit.

Cela nous conduit au principe d'automaticité des sciences du sport, selon lequel la maîtrise de la pression de vos capacités motrices devient presque sans effort. C’est ce que les plus grands athlètes exploitent lorsqu’ils sont dans leur véritable zone de compétition : cela vient d’une préparation supérieure avec un entraînement au fil du temps. C’est possible pour n’importe qui.

Voici un exemple de formation avec cette approche intégrée au Centre International . Dans la vidéo suivante, vous pouvez voir comment nous préparons l'athlète de kickboxing de l'équipe nationale espagnole pour l'Open de Budapest, en incorporant des éléments qui, nous le savons, constitueront des défis difficiles dans la performance en compétition. À travers l'élément jaune, nous attaquons son corps, recherchant l'esquive, le blocage et la contre-attaque au poing, à la recherche de la meilleure solution.

Tout cela est effectué tout en suivant le NeuroTracker au seuil de vitesse grâce à un programme personnalisé créé au Centre International. Plus précisément, nous combinons les exigences visuelles, perceptuelles et cognitives de NeuroTracker, tout en intégrant le travail complexe d'esquive et de frappe.

Avec cette approche de suivi d'objets multiples en 3D et d'entraînement de compétences spécifiques au sport, nous pouvons appliquer avec succès un véritable entraînement corps-esprit sous pression, simulant des exigences et des difficultés équivalentes à celles de la compétition elle-même.

Emporter

À chaque nouvelle saison de compétition, le défi consiste à atteindre des niveaux de professionnalisme de plus en plus élevés. À chaque fois, les différences sont plus petites. C'est pourquoi un entraînement de meilleure qualité et un entraînement cognitif sous pression vous permettront d'obtenir cet avantage sur vos rivaux. Se former avec des méthodologies de meilleure qualité et faire évoluer vos niveaux de performance est possible. Au Centre International, nous pouvons vous amener à votre niveau supérieur, pour augmenter vos performances en vous entraînant sous pression - il est temps que les autres vous regardent pour vous inspirer !

Vous pouvez lire les 3 premières parties de cette série de blogs en 6 parties ici.

‍Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 1 – Exécution

Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 2 – Blessures

‍Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 3 – Pression

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Décrit dans la presse britannique comme l'arme secrète , Mick Clegg a joué un rôle déterminant dans les coulisses du plus grand club sportif du monde de 2000 à 2011. Premier entraîneur de développement de puissance de la Premier League anglaise, il a contribué à forger les capacités physiques et mentales de l'équipe. force tout au long des années de gloire du club, y compris en réalisant le triplé légendaire . Nous découvrirons ici pourquoi ce livre fascinant « Le pouvoir et la gloire », vendu sur Amazon le premier jour de sa publication.

De quoi parle le livre et à qui s’adresse-t-il ?

Comme mentionné dans la préface du livre, l'attention des gens est probablement concentrée sur la découverte de ce que signifie réellement travailler avec certains des meilleurs footballeurs de tous les temps, sous la direction sans doute du plus grand entraîneur à avoir jamais occupé une pirogue. Et ici, Mick tient certainement ses promesses, donnant plus d'une décennie d'informations brutes à la première personne sur les luttes incroyables, les succès écrasants et les relations profondes qu'il a bâties avec les joueurs et avec « le patron », Sir Alex Ferguson .

Cependant, The Power and the Glory va bien plus loin. En fait, le co-auteur Steve Bartram (rédacteur en chef de Manchester United) révèle que son intention initiale était simplement d'interviewer Mick à propos de son travail de rééducation avec les joueurs, mais il s'est rapidement rendu compte que la grande histoire devant lui était l'homme lui-même.

Plus de dix ans d'écriture et s'étendant sur 31 chapitres, Mick emmène le lecteur dans un voyage multidimensionnel. À partir du moment où il est passé de son travail dans une centrale électrique à celui de propriétaire de son premier gymnase, jusqu'à ce que son fils aîné prenne ses fonctions à Manchester United. Il raconte des histoires de sa vie remarquable avec une telle honnêteté et un tel caractère qu'on a l'impression de discuter avec lui autour d'une tasse de thé.

Les idées qui émergent du livre sont pertinentes pour toute personne intéressée à entraîner des performances sportives d'élite, à comprendre la psychologie profonde et la politique de la pratique et du travail dans les sports d'équipe professionnels, les défis de la parentalité et le développement personnel qui change la vie et qui accompagne un parcours sauvage. les montagnes russes d’une carrière.

Le développement du pouvoir-Développement

Moins connu est ce père de cinq enfants qui a développé sa propre forme spécialisée de coaching en développement du pouvoir, qu'il a enseigné dans les collèges. Cette méthodologie d'entraînement a permis à trois de ses descendants de devenir des haltérophiles olympiques de classe internationale et à deux de ses fils de jouer pour Manchester United – raison pour laquelle le club l'a initialement embauché.

L'approche unique de Mick est née de son gymnase olympique de Manchester, où il a entraîné des équipes sportives nationales et encadré des talents dans de nombreux sports, dont la boxe. Cela s'est ensuite avéré crucial pour gagner le respect et la confiance de nombreux des meilleurs footballeurs du monde, ainsi que pour Mick qui a reçu un énorme crochet droit au visage de Wayne Rooney - mais c'est une autre histoire !

En tant qu'entraîneur cherchant constamment à s'améliorer, ses techniques d'entraînement sont devenues plus avancées sous la pression de l'entraînement des joueurs de l'équipe première et de l'équipe réserve des Red Devils, ainsi que de « Fergie » lui-même. Son travail comprenait même l'intégration d'une approche scientifique pour conditionner la « cognition rapide » – le premier véritable entraînement cognitif appliqué au football professionnel.

Il a également exploité la psychologie et le pouvoir explosif de la boxe pour créer des liens avec les joueurs et canaliser leur passion sportive.

Ensemble, tout cela a eu une énorme influence sur les performances athlétiques de l'équipe, comme l'illustre bien Cristiano Ronaldo, qui a un jour décrit son propre physique comme « construit par Cleggy ».

Mick a travaillé quotidiennement avec Ronaldo tout au long de son ascension phénoménale de 5 ans, passant de recrue en Premier League à meilleur joueur du monde. Dans l'avant-propos du livre de Ronaldo, il souligne à quel point Mick a joué un rôle central dans le développement de sa carrière.

J'ai fait beaucoup de travail pour rester dans la meilleure condition possible, et une grande partie de mon succès dans ce domaine vient de ce que j'ai appris avec Mick. Le travail que nous avons fait était très spécifique, très intelligent et, avec le travail que je faisais sur d'autres aspects de mon jeu, cela m'a aidé à m'améliorer énormément.

Comprendre le côté humain du « jeu »

Au sein du club, Mick a travaillé avec une galaxie de joueurs vedettes, glanant des informations fascinantes sur leurs différents talents. Un exemple est la légende du club Ruud Van Nistelrooy , l'un des buteurs les plus prolifiques au monde dans la surface de réparation. Ruud a partagé avec Mick comment il perdrait la perception consciente dans les moments où il marquait un but - n'ayant littéralement aucun souvenir entre entrer dans la surface et voir le ballon reposer au fond des filets.

Mais à un niveau bien plus profond, Mick démêle le riche côté humain du football. La salle de sport de Mick à l'intérieur du club était volontairement son bureau, ouvert à n'importe quel joueur, à tout moment. Et bon nombre des stars du football les plus célèbres du monde venaient fréquemment discuter autour d'une tasse de thé. Pas seulement à propos de leur développement sportif, mais aussi de leurs inquiétudes ou simplement d'autres choses qui se passent dans leur vie - de l'aide à la conception du célèbre tatouage VII à l'enseignement de la guitare à Gary Neville. Le processus a permis de forger des liens personnels à long terme avec de nombreux joueurs.

Une grande partie de cela découle de la philosophie de Mick visant à vraiment comprendre ce qui motive réellement chaque joueur, afin de vraiment comprendre ses différents besoins. Selon ses propres mots,

Lorsque Paul Scholes, David Beckham ou Gary Neville vous disent qu'ils ont besoin de *cela*, vous avez une collision de cœurs où vous travaillez ensemble à partir d'un lieu émotionnel. Être vraiment créatif avec une autre personne, c'est la comprendre, lui montrer les connaissances que vous possédez et voir comment elle peut s'associer et être utilisée ensemble comme une force.

Ce niveau d’empathie l’a amené à réaliser à quel point les joueurs de football professionnels sont incompris, notamment dans les médias. Mick donne un exemple poignant de la façon dont David Beckham a été vilipendé dans la presse pour avoir apparemment poursuivi une entreprise pour utilisation abusive de son nom. C'était complètement faux et David n'en savait rien, mais il a dû se défendre, bien qu'il soit la victime. Et il existe de nombreux autres cas où des joueurs ont été injustement mis à l’épreuve aux yeux du public.

Il y a aussi eu des moments très émouvants. Au milieu des célébrations de la victoire de la finale de la Ligue des champions 2007/08 à Moscou, Mick raconte que son souvenir le plus important était en fait celui de Wayne Rooney s'ouvrant et pleurant la tête sur l'épaule parce qu'il avait été remplacé pendant le match.

Il était une grande partie de l'équipe et une grande partie du succès, mais il ne se sentait tout simplement pas partie prenante de la soirée parce qu'il avait été retiré. Cela l’a vraiment touché profondément et il avait besoin de le faire sortir. Je me sentais tellement désolé pour lui.

La vie après Manchester United

Mick explique comment son départ du club a été une décision difficile liée à la politique interne du club. En même temps, cela lui a permis de se concentrer une fois de plus sur l’évolution de ses pratiques de coaching, avec la liberté d’être créatif et exploratoire. En créant Seed of Speed , il a progressivement construit une nouvelle salle de sport, spécialisée autour de son objectif de coaching consistant à développer la façon dont le cerveau contrôle le corps.

En plus de nombreux joueurs de Manchester United s'entraînant avec Mick pendant l'intersaison, il a également recommencé à travailler avec des athlètes de nombreux sports différents, notamment en encadrant Aaron Cook jusqu'au numéro 1 mondial du taekwondo.

De plus, Mick s'est concentré sur le développement du potentiel athlétique dès son plus jeune âge, ce qui a valu à son gymnase d'être surnommé dans les médias «l' usine Ronaldo ».

L'héritage Clegg

Le respect et l'admiration pour le coaching de Mick transparaissent dans les témoignages à la fin du livre. Aux côtés des champions du monde et nationaux dans différents sports, les joueurs de Manchester United suivants ont fait tout leur possible pour donner leur point de vue personnel sur ce qu'ils ont trouvé de si spécial dans leurs années de travail avec « Cleggy ».

• Ole Gunnar Solskjaer , Manchester United 1996-2008

• Rio Ferdinand , Manchester United 2002-2014

• Ryan Giggs , Manchester United 1990-2014

• Ruud van Nistelrooy , Manchester United 2001-2006

• Edwin van der Sar , Manchester United 2005-2011

• Patrice Evra , Manchester United 2006-2014

• Darren Fletcher , Manchester United 1995-2015

• Nemanja Vidic , Manchester United 2006-2014

• Teddy Sheringham , Manchester United 1997-2001

• Andy Cole , Manchester United 1995-2002

• Louis Saha , Manchester United 2004-2008

• Alan Smith , Manchester United 2004-2007

• Jaap Stam , Manchester United 1998-2001

• Jesper Blomqvist , Manchester United 1998-2002

• John O'Shea , Manchester United 1999-2011

• Wes Brown , Manchester United 1998-2011

• Diego Forlán , Manchester United 2002-2004

Lorsque Ole Gunnar Solskjaer a pris la relève en tant que nouveau manager de United, il a cherché à recruter Mick dans le giron. Ole n'avait pas seulement été entraîné personnellement par Mick, les deux hommes avaient également travaillé ensemble pendant les deux années de Solskjaer en tant que manager de l'équipe de réserve du club. Bien qu’honoré, le voyage de Mick avec Seed of Speed ​​était désormais trop difficile à abandonner. Cependant, dans une tournure peut-être fortuite de l'héritage de Clegg-United, Ole a plutôt embauché le fils de Mick, Mike Clegg , ancien entraîneur de force et de conditionnement physique du club EPL de Sunderland AFC.

Le jour où Ronaldo est historiquement revenu sur le terrain d'entraînement de Manchester United, il est immédiatement allé à la recherche de Mick, mais a plutôt trouvé Clegg junior, avec qui il a partagé avec tendresse de nombreuses histoires de son temps de travail avec son père.

Emporter

Pour la première fois, Mick Clegg, qui a toujours été dans les coulisses, porte son cœur sur sa manche pour mettre au premier plan un enchaînement vraiment fascinant d'histoires dans le monde réel de l'entraînement de football professionnel de classe mondiale.

All-in-all The Power and the Glory est un tome d'expériences de vie incroyables à travers les yeux d'un homme humble, motivé non seulement par le succès sportif, mais également par ses liens profonds avec les athlètes dont il a touché la vie.

Le pouvoir et la gloire peuvent être achetés ici .

Si vous souhaitez en savoir plus sur l'évolution du travail de Mick dans le développement de la performance sportive, consultez son site Web Seed of Speed .

Depuis COVID, Mick propose également des conseils Zoom à distance et des formations en direct pour les équipes de football et les athlètes individuels qui cherchent à faire progresser leur carrière professionnelle. Toute personne intéressée peut postuler ici .

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À mesure que les capacités cognitives diminuent avec l’âge, on s’intéresse à identifier les interventions susceptibles de ralentir ou d’inverser ces changements. L'une de ces interventions est l'entraînement cognitif (CT), qui vise à améliorer l'acquisition et la rétention des compétences impliquées dans l'intelligence fluide, telles que le raisonnement et la résolution de problèmes. Il a été démontré que les programmes de tomodensitométrie améliorent les capacités cognitives des personnes âgées, mais seules quelques études ont examiné les effets de la tomodensitométrie chez les enfants ou les adolescents. Cet article discute des bénéfices à court et à long terme de la tomodensitométrie sur les capacités cognitives des enfants et des adolescents.

Effets à court terme

L'effet de la tomodensitométrie sur les capacités cognitives dépend du type de compétences cognitives entraînées et du mode d'administration. L'effet peut survenir pendant ou après l'entraînement et peut durer une courte période (c'est-à-dire des heures) ou une durée plus longue (c'est-à-dire des mois). Voici les effets à court terme :

1. Mémoire

Il a été démontré que la tomodensitométrie peut améliorer la mémoire en s'entraînant et en améliorant l'efficacité de la récupération de la mémoire. En outre, la tomodensitométrie axée sur l'amélioration de la mémoire a également montré des preuves de transfert vers des gains dans les tests de ressources attentionnelles, de temps de réaction, de vitesse de traitement visuel, de mémoire épisodique, sémantique, subjective et de travail, ainsi que sur des aspects de cognition sociale.

Dans une étude, la tomodensitométrie a contribué à améliorer les performances de la mémoire verbale des participants uniquement après l'entraînement et non immédiatement après (c'est-à-dire effet post-entraînement). Cet effet post-entraînement a été constaté chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes. Cependant, d'autres études n'ont pas confirmé cette conclusion, le type de tomodensitométrie pourrait donc être un facteur clé.

2. Fonctions exécutives

Les fonctions exécutives (FE), telles que la planification, la mémoire de travail, l'attention et l'inhibition, sont affectées positivement par la CT. EF joue un rôle important dans l’intelligence et la réussite scolaire. La recherche a montré que les participants qui ont suivi un programme CT informatisé ont démontré de meilleures performances sur différents types de tâches EF , obligeant les participants à traiter des informations tout en inhibant simultanément des réponses incompatibles avec ces informations. Une autre étude a rapporté que les adolescents ayant suivi un programme de CT en ligne avaient de meilleures compétences en FE qu'un groupe témoin sur les mesures du langage expressif et réceptif après 2 semaines, mais pas après 10 semaines.

3. Vitesse de traitement des informations

Les enfants qui ont montré une vitesse de traitement améliorée pendant la tomodensitométrie ont obtenu de meilleurs résultats sur les FE et les mesures de capacité verbale après l'entraînement. Par conséquent, si un enfant améliore sa vitesse de traitement, il peut acquérir une plus grande capacité à communiquer, à apprendre de nouvelles informations et à résoudre des problèmes complexes.

4. Intelligence verbale

Dans une étude portant sur 120 enfants âgés de 11 à 13 ans, les chercheurs ont découvert que l'intelligence verbale s'améliorait après six semaines de participation à des programmes de formation CT. Cet effet était plus prononcé chez les participants du groupe expérimental que chez ceux du groupe témoin.

Effets à long terme

L’effet de la tomodensitométrie sur les capacités cognitives peut durer longtemps. Les effets à long terme comprennent :

1. Changements neuronaux

L'entraînement CT peut entraîner des changements neuronaux qui soutiennent certains processus cognitifs. Par exemple, il a été démontré que la tomodensitométrie induit des changements anatomiques dans le cerveau, tels que la croissance de nouveaux neurones et une densité synaptique accrue. Un programme CT exige que les participants mettent en pratique certaines compétences pendant une période, ce qui peut entraîner des changements structurels dans le cerveau .

2. Généralisation

CT se généralise à d'autres tâches cognitives sur le même domaine ou sur d'autres domaines. Par exemple, les chercheurs ont découvert que la mémoire de travail et l’entraînement au raisonnement pouvaient conduire à des améliorations dans une tâche de raisonnement peu familière. Cette découverte suggère que l’entraînement CT améliore le raisonnement et la mémoire, non seulement sur les tâches entraînées, mais également sur d’autres tâches connexes. Cet aspect de la généralisation a été appelé traitement approprié au transfert (TAP).

3. Large transfert

La CT peut être appliquée à d’autres domaines cognitifs. Par exemple, l’EC visant à améliorer les résultats scolaires et la compréhension en lecture peut conduire à une amélioration des résultats scolaires des adolescents sans modification de l’intelligence, des fonctions exécutives ou des capacités verbales. Cette découverte suggère que la CT peut être efficace dans la réussite scolaire sans affecter les autres domaines cognitifs.

4. Rétention

Les effets du CT sont plus susceptibles de durer longtemps s’il est physiquement et mentalement exigeant. On pense que la rétention est liée à la fatigue physique et mentale. Si un enfant éprouve des niveaux élevés de fatigue physique et mentale, la rétention peut être plus longue.

5. Spécificité

Les effets du CT peuvent être spécifiques aux processus cognitifs ciblés. Par exemple, la tomodensitométrie peut améliorer certaines composantes de la mémoire de travail, mais pas d'autres (p. ex., les connaissances verbales). Cela suggère que la tomodensitométrie se limitera probablement à des capacités cognitives spécifiques et ne constituera pas une intervention universelle.

Conclusion

Bien que la tomodensitométrie soit bénéfique pour les enfants et les adolescents dans l’amélioration des compétences cognitives, le type d’entraînement et les processus cognitifs ciblés sont des facteurs clés. Les effets peuvent durer plus longtemps si l'entraînement est plus stimulant, motivant ou exigeant. Des interventions telles que l'entraînement cérébral informatisé sont largement utilisées pour améliorer les capacités cognitives et se sont également révélées sûres et accessibles aux enfants .

Il est important de comprendre que les capacités cognitives peuvent être modifiées et améliorées à tout âge, et pas seulement à un âge avancé. Si vous êtes intéressé, vous pouvez consulter nicelocal.com pour trouver des services tels que des ergothérapeutes, des physiothérapeutes et des orthophonistes, ainsi que d'autres spécialistes de la médecine de réadaptation clinique près de chez vous qui proposent des programmes de CT.

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Dans le monde du sport, le football est unique en raison de l’utilisation ciblée de la tête non protégée pour contrôler et faire avancer le ballon. Cette compétence expose évidemment le joueur à un risque de blessure à la tête et le jeu comporte certains risques. Un traumatisme crânien peut résulter d'un contact de la tête avec une autre tête (ou d'autres parties du corps), le sol, le poteau de but, d'autres objets inconnus ou même le ballon. De tels impacts peuvent entraîner des contusions, des fractures, des blessures aux yeux, des commotions cérébrales ou même, dans de rares cas, la mort. Les entraîneurs, les joueurs, les parents et les médecins s’inquiètent à juste titre du risque de traumatisme crânien en football.

Les recherches actuelles montrent que certains joueurs de football présentent un certain degré de dysfonctionnement cognitif. Il est important de déterminer les raisons de ces déficits. La tête intentionnelle a été blâmée, mais un examen plus approfondi des études axées sur la tête a révélé des préoccupations méthodologiques qui remettent en question la validité de blâmer la tête intentionnelle du ballon. Dans cet article, nous examinerons certains des facteurs clés impliqués dans l'importance potentiellement sous-estimée des impacts de sous-commotion dans le football, ainsi que leurs implications sur les déficiences motrices et les risques de blessures associés.

Lésion cérébrale traumatique légère (TCCm) et tête-à-tête

Bien qu'il soit probable que l'impact d'une sous-commotion provoquée par un cap intentionnel soit un facteur douteux dans les déficits constatés, on ne sait pas si de multiples impacts sous-commotionnels pourraient avoir des effets persistants. De plus, on ne sait pas si les déficits constatés ont un impact sur la vie quotidienne.

Le football est à l'origine d'un nombre important d'épisodes de commotions cérébrales dans le sport : une direction de balle excessive (plus de 1 000 épisodes par an) peut provoquer des lésions cérébrales subcliniques, dont les effets ne sont pas aussi bien définis que ceux reconnus pour les commotions cérébrales en général. Bien que la plupart des études publiées se soient concentrées sur les joueurs collégiaux et professionnels, la plupart des joueurs de football sont des joueurs amateurs de ligues récréatives.

Se diriger avec la tête non protégée pour diriger le ballon pendant le jeu est de plus en plus reconnu comme une source majeure d'exposition aux impacts répétitifs de la tête avec commotion et sous-commotion. Ces impacts ont été liés à des changements dans la structure cérébrale visibles en neuroimagerie et à une diminution des performances dans les tâches cognitives avec une exposition à court et à long terme.

La commotion cérébrale implique plusieurs domaines cliniques : symptômes, signes physiques, changements de comportement, troubles cognitifs et troubles du sommeil. Les signes physiques d’une commotion cérébrale peuvent disparaître rapidement, mais certains joueurs peuvent présenter des déficiences persistantes.

L'UEFA a publié pour la première fois un appel à propositions de recherche en mai 2017, dans lequel les chercheurs potentiels étaient invités à aborder deux sujets clés.

• Déterminer le fardeau du titre dans le football des jeunes ; remédier aux différences dans la manière dont les en-têtes sont enseignés dans l’entraînement de football.

• Évaluer les différences dans l'incidence et les caractéristiques des coups de tête de football lors des matches et des entraînements, ainsi que dans différentes catégories d'âge et de sexe.

Effets des sous-commotions cérébrales sur le contrôle neuromusculaire du genou

L'ACL se rompt lorsque les contraintes auxquelles il est exposé dépassent ses propriétés mécaniques. Cependant, les scénarios de charge extrême du genou peuvent être potentialisés par un contrôle neuromusculaire anormal dans le membre inférieur, avec des différences entre les sexes dans la rotation de la hanche et la pronation de l'arrière-pied dans les plans transversal et frontal.

Une commotion cérébrale peut également entraîner une diminution de la stabilité posturale en raison d'une altération des signaux afférents de la colonne cervicale, du système vestibulaire-oculaire et du système visuel. Une déficience sensorimotrice persistante après la résolution des symptômes de commotion cérébrale contribuerait probablement à un risque accru de blessure, et des études supplémentaires sont justifiées. Ces déficiences neurocognitives sont probablement étroitement liées au contrôle neuromusculaire, à l’apprentissage moteur et à d’autres aspects essentiels à la performance et à la sécurité de l’athlète.

Du point de vue de la traumatologie sportive et de la réadaptation, nous devrions d’abord essayer de produire des modèles d’intervention permettant d’évaluer les performances neurocognitives et d’identifier les athlètes à risque de blessure. De plus, dans le processus de réadaptation, les outils d’entraînement neuromusculaire devraient intégrer des tâches de plus en plus difficiles.

Les avantages de l'utilisation de tâches telles que la double attention lors de l'évaluation clinique sont actuellement explorés lors de l'évaluation et de la gestion des commotions cérébrales. Cette stratégie peut être transposée avec succès au dépistage du risque de blessure du LCA , et des stratégies neurocognitives peuvent être utilisées dans la prévention des blessures du LCA et la rééducation des blessures du LCA . Les activités sportives exigent d’initier et de maintenir une performance appropriée d’activités dynamiques dans un environnement complexe et en évolution rapide. Le succès de chaque action dépend de commandes motrices volontaires et involontaires modulées par le traitement sensoriel, l'attention et la planification motrice.

Les symptômes de base sont importants

L'évaluation des symptômes de commotion cérébrale est la pierre angulaire de l'évaluation des personnes souffrant de cette blessure (P. McCrory et al., 2013). Cependant, les symptômes de commotion cérébrale ne sont généralement évalués qu’à intervalles réguliers après la blessure. En d’autres termes, les cliniciens ne connaissent généralement pas l’état antérieur à la blessure d’un patient ni le niveau initial des symptômes.

Les chercheurs ont signalé que les niveaux de base de symptômes liés aux commotions cérébrales chez les individus en bonne santé varient considérablement, certaines personnes ne signalant aucun symptôme au départ et d'autres signalant des niveaux élevés (Iverson et Lange, 2003). Plusieurs explications ont été proposées pour cette variabilité des symptômes chez les individus en bonne santé, y compris le chevauchement entre les symptômes liés aux commotions cérébrales et les symptômes d'autres problèmes de santé, notamment la fatigue, les blessures orthopédiques et les maladies physiques (Piland, Ferrara, Macciocchi, Broglio et Gould, 2010). De nombreux problèmes de santé partagent des symptômes tels que des maux de tête, de la fatigue, des étourdissements et des problèmes de sommeil, qui sont tous courants après une commotion cérébrale.

NeuroTracker est un exemple d’excellent outil pour les évaluations de base de l’état neurocognitif d’un athlète. Ces types de neurotechnologies pourraient constituer un outil de réadaptation précieux pour surveiller la symptomatologie des commotions cérébrales et les conséquences plus subtiles à long terme des traumatismes crâniens.

Points à retenir

Les neurosciences continueront à contribuer à découvrir comment le cerveau et le système nerveux central influencent et déterminent le contrôle moteur, ainsi que les erreurs mécanistiques du contrôle moteur entraînant des blessures des membres inférieurs sans contact. De mauvaises performances neurocognitives de base ou des déficiences des performances neurocognitives dues à un manque de sommeil, à un stress psychologique ou à une commotion cérébrale peuvent augmenter le risque de blessures musculo-squelettiques ultérieures. Les programmes de prévention des traumatismes crâniens s'étendent bien au-delà des lésions du LCA, et leur impact s'étendra à la prévention des déficiences de la fonction neuronale et de la neurocognition.

Si vous souhaitez approfondir ce sujet, vous pouvez lire mon article en libre accès récemment publié ici.

Tête de balle et commotion cérébrale subclinique au football comme facteur de risque de lésion du ligament croisé antérieur

Kakavas, G., Malliaropoulos, N., Blach, W. et al. Journal de chirurgie et de recherche orthopédiques, Res 16, 566 (2021).

Ou si vous souhaitez en savoir plus sur l’importance de la dimension cognitive dans la performance sportive, voici un précédent blog du Coin des Experts que j’ai écrit.

3 raisons pour lesquelles le cerveau régit tout dans le sport

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La pression interfère avec notre capacité de concentration, diminuant parfois les capacités athlétiques développées tout au long de la vie, en quelques secondes seulement. Cependant, c'est souvent sous pression que l'on réalise les plus grandes réalisations d'une carrière sportive. Dans ce troisième blog d'une série de 6 parties, nous découvrirons pourquoi apprendre à dominer les concurrents dans des situations sous pression vous aidera à actualiser votre véritable potentiel athlétique.

S'entraîner sous pression

La concurrence crée de la pression. Cette pression vous fera perdre votre concentration ; et sans concentration, votre technique et vos performances seront limitées. En fait, les dernières recherches en neurosciences montrent que lorsque la concentration mentale est surchargée, les blessures sont plus susceptibles de survenir en raison de déficiences motrices.

C'est pourquoi il est important de s'entraîner avec une intensité élevée pour augmenter la concentration et apprendre à réduire, voire bloquer, les distractions. Lorsque vous vous entraînez dans cet état, il est plus probable que vous puissiez également atteindre un état de flux – lorsque tout dans le cerveau et le corps s'assemble parfaitement sur le moment.

Se conditionner à plusieurs reprises dans cet état d’entraînement intense vous permettra d’apprendre à recentrer votre attention à volonté. C'est exactement ce que maîtrisent les plus grands athlètes de tous les temps, et c'est une compétence essentielle pour réussir dans n'importe quelle situation.

Concentration sous pression

Nous avons besoin de concentration, surtout dans les moments où des doutes sur nos capacités s’insinuent dans notre esprit. Cependant, lorsque la pression est écrasante, elle désactive notre concentration. La pression constitue donc une menace directe pour notre concentration, mais la concentration est aussi la solution à cette menace.

La concentration nous aide à nous connecter à nos objectifs sportifs les plus importants et est naturellement essentielle à la connaissance de la situation et à la prise de décision précise. Si vous avez déjà été très sous pression lors d’une compétition, il est probable que vous vous disiez « Concentrez-vous ! » Mais en même temps, votre voix intérieure demande : « Comment puis-je faire ça ?

Prendre le contrôle des distractions

Nous avons une multitude de distractions lorsque nous sommes en compétition. La plupart des athlètes sont conscients des distractions extérieures, telles que le bruit de la foule, les railleries des adversaires ou quelque chose d'aussi simple qu'un lacet qui se défait.

Cependant, les distractions les plus importantes sont généralement internes. Cela peut être des conversations dans votre tête, des fluctuations d’états émotionnels comme la nervosité ou, plus important encore, la peur d’échouer. Les situations de haute pression amplifient ce bruit mental, faisant s'effondrer même les performances des athlètes de haut niveau sur le moment. Les tirs au but de la Coupe du monde sont un excellent exemple de la difficulté que peuvent représenter les distractions internes.

La capacité de prendre le contrôle des distractions est connue en neurosciences sous le nom d'attention sélective . Cela vous permet de choisir consciemment sur quoi vous concentrer et sur quoi ne pas vous concentrer. Peu d’athlètes ou même d’entraîneurs savent qu’il s’agit d’une compétence cognitive qui peut facilement être entraînée. En fait, c'est l'une des raisons pour lesquelles nous utilisons NeuroTracker au Centre international , qui est très efficace pour développer rapidement les muscles attentionnels du cerveau.

Les grands joueurs réussissent lorsque leurs compétences et leur contrôle attentionnel sont synchronisés sous pression. Avec cela, la plupart des distractions semblent disparaître, et l’espace mental qu’il crée donne l’illusion que le temps ralentit pendant le feu de l’action.

Utiliser des tâches doubles pour repousser les limites neurophysiques

Les doubles tâches neurophysiques sont un bon exemple de techniques d’entraînement qui poussent un athlète à atteindre ses seuils de performance. Au Centre International, nous appliquons cela à tous nos athlètes, mais seulement après qu'ils aient suffisamment progressé dans leurs capacités cognitives.

Nous utilisons le système d'apprentissage breveté NeuroTracker , dans lequel nous soumettons l'attention d'un athlète à une charge cognitive élevée, tout en tentant simultanément des tâches spécifiques. Avec cette méthodologie, nous sommes en mesure de conditionner n'importe quel athlète à s'adapter à des situations de difficulté maximale. Voici un exemple appliqué au tir olympique .

Si l'on est capable de se préparer à travers des situations de difficulté maximale comme dans la vidéo, l'athlète travaille avec un programme spécifique de 1 ballon, adapté à son sport, le Tir Olympique. Avec cette double tâche, il utilise 20 kilogrammes de poids pour générer cette pression ; ce blocage et ce stress constituent une difficulté supplémentaire pour que l'athlète se concentre uniquement sur le suivi du programme.

Maîtriser votre état optimal

Il est maintenant temps de maîtriser la capacité d’atteindre votre état optimal dans les moments critiques de performance. De nombreux professionnels du sport parlent de l’importance de la fluidité : ressentir le moment présent et maîtriser la pression. L’état de flux est le moment où tout ralentit et où votre esprit ne traite que les informations pertinentes avec une grande efficacité.  

Un entraînement qui vous pousse à atteindre votre seuil, non seulement physiquement, mais surtout mentalement, conditionnera de manière optimale votre attention et votre concentration. En retour, cela débloquera votre capacité cachée à gérer la pression dans toutes les situations. Maîtriser à la fois le corps et l’esprit de manière synchronisée est la façon dont les grands athlètes obtiennent un succès constant.

La pression dans le monde du sport est quotidienne. Le sport est devenu une industrie mondiale avec plus de spectateurs et des normes de performance plus élevées que jamais. Atteindre votre objectif dans le sport moderne dépend de la manière dont vous gérez la pression qui accompagne le territoire. Au Centre International, nous nous spécialisons dans la préparation des athlètes à augmenter leurs performances contre toute attente. Si vous souhaitez vous entraîner comme un champion avec nous, renseignez-vous sur le site du Centre International .

Vous pouvez également lire les deux premiers blogs de cette série en 6 parties ici.

‍Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 1 – Exécution

Les secrets pour dominer dans votre sport Partie 2 – Blessures

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La différence entre les médailles d'or et d'argent lors de la finale du 100 m nage libre masculin des Jeux de Tokyo s'est réduite à seulement 0,06 seconde , soit moins d'un sixième du temps qu'il faut pour cligner des yeux ! Les nageurs de classe mondiale d'aujourd'hui repoussent les limites de la performance humaine si près de leurs limites que des différences aussi marginales décident souvent des places sur le podium. Cela fait de la natation professionnelle l’un des événements les plus compétitifs du monde du sport. Par conséquent, ces athlètes sont constamment à la recherche de tous les avantages possibles en matière de performance, aussi minime soit-il. Je parlerai ici d'une étude révélant que la dimension cognitive de la performance pourrait offrir un nouvel avantage dans les temps de réaction, permettant aux nageurs de sortir des blocs et d'entrer dans l'eau plus rapidement.

Ce qui a été étudié

J'ai travaillé avec le professeur Brian Christie et des collègues chercheurs pour tester l'hypothèse selon laquelle une attention sélective améliorée via un entraînement visuel peut se traduire par une amélioration des temps de réaction aux signaux auditifs. Ceci est basé sur la théorie selon laquelle les centres visuels et auditifs du cerveau sont fonctionnellement couplés en termes de ressources attentionnelles partagées.

Pour ce faire, nous avons mené une étude auprès de 15 nageurs et nageuses de l' équipe de natation des Vikes , composée d'athlètes de haute performance et d'un champion du monde . L'objectif était de voir si l'entraînement cognitif visant à améliorer l'attention sélective permettrait un transfert important vers des temps de plongée plus rapides.

Les plongées hors bloc sont définies comme le temps écoulé entre le début du tir du pistolet et le moment où le pied avant du nageur quitte les blocs. Voici les quatre étapes d’une plongée de course.

Les réactions en plongée reposent sur une attention sélective auditive, qui peut être considérée comme un filtrage mental de tous les autres sons afin d'écouter attentivement l'arme. Voici la méthodologie que nous avons utilisée pour déterminer si les performances auditives pouvaient être affectées positivement par une attention sélective visuelle améliorée.

Intervention de formation - nous avons choisi NeuroTracker comme outil doté d'une solide base de preuves pour entraîner efficacement l'attention sélective. Comme vous pouvez le voir dans cette démo, la tâche nécessite que l'attention visuelle soit concentrée sur des cibles mobiles prioritaires et éloignée des distractions.

Plusieurs études montrent que l’entraînement à cette tâche produit des gains notables en termes d’attention sélective dans les 3 heures suivant l’entraînement. Nous avons assigné un groupe actif à effectuer 30 séances NeuroTracker de 6 minutes parallèlement à leur entraînement hebdomadaire normal de natation, ainsi qu'à un groupe témoin qui n'a suivi qu'un entraînement de natation.

Tests de plongée – nous avons simulé de près un environnement de course compétitif pour les athlètes, qui comprenait un public d'étudiants universitaires en tant que spectateurs actifs. Pour mesurer les performances de plongée sur des échelles de temps de l'ordre de la milliseconde, nous avons utilisé le système de chronométrage Ares Omega .

Chaque participant a effectué une série de 3 tests de plongée distincts avant la formation NeuroTracker, avec des repos entre chaque plongée. Ensuite, 3 autres tests de plongée ont été effectués de la même manière 7 semaines plus tard, une fois l'intervention de formation NeuroTracker terminée.

Ce qui a été trouvé

L'étude a eu lieu au début de la saison de natation de compétition, donc comme prévu, les 7 semaines d'entraînement en natation ont produit certaines améliorations dans les résultats de plongée du groupe témoin. Cependant, en revanche, le groupe actif formé sur NeuroTracker a démontré des baisses significativement plus importantes des temps de réaction en dehors des blocs.

En comparaison avec l'amélioration moyenne du temps de réaction du groupe témoin de 0,034 seconde, le groupe actif a réalisé ses plongées 0,081 seconde plus rapidement, démontrant plus de deux fois les gains de leur intervention cognitive supplémentaire - un avantage d'entraînement de 0,047 seconde.

Cet avantage était étonnamment constant parmi les participants, ce qui suggère un effet de transfert lointain fiable. Les rapports anecdotiques du groupe actif incluaient également une amélioration des niveaux d’attention et de concentration soutenues dans leurs travaux d’études universitaires. Ces résultats soutiennent l'hypothèse selon laquelle l'entraînement de l'attention dans une modalité sensorielle (dans ce cas, la vision) peut affecter positivement d'autres modalités (dans ce cas, l'attention auditive).

La recherche sur la vision sportive a tendance à se concentrer exclusivement sur les sports visuellement dominés comme le football, le basket-ball, le tennis, etc. Cependant, les méthodologies d'entraînement visuel pourraient bien être pertinentes pour l'amélioration des performances dans les sports non dominés visuellement, en particulier ceux qui reposent sur des réactions auditives, comme l'aviron, le cyclisme et la course à pied.

Comme ce domaine est relativement peu étudié, il serait formidable de voir davantage de recherches étudier ce domaine de la performance sportive.

L'avantage concurrentiel ?

Comme nous l’avons expliqué au début, les nageurs professionnels recherchent des gains marginaux en termes de temps de course, car ils ont un impact relativement important sur les résultats des compétitions. Pour qualifier les effets de ces résultats, j'ai examiné les temps de course lors des Jeux olympiques précédents, pour voir quelle différence il y aurait en termes de vainqueur des médailles.

Un changement de 0,1 seconde dans les résultats des courses aurait fait qu'un total de 65 médailles olympiques auraient échangé des mains entre les épreuves olympiques de sprint de 1972 et 2004 (50 m – 200 m). Il est intéressant de noter qu’à mesure que les normes du sport progressent au fil du temps, les différences deviennent encore plus significatives. Par exemple, rien qu’aux Jeux de Rio 2016, un total de 30 médailles olympiques auraient échangé des mains.

Les plats à emporter

Les nageurs professionnels d’aujourd’hui et leurs entraîneurs recherchent constamment de nouvelles façons d’obtenir un avantage marginal en termes de performance. Les outils d'entraînement visuo-cognitifs comme NeuroTracker peuvent offrir un avantage de performance distinct avec seulement quelques heures d'entraînement distribué, et sans risque de blessure ou de surcharge des régimes d'entraînement existants.

Consultez l’étude complète publiée ici (accès libre).

Effets du suivi d'objets multiples en 3D sur les performances du temps de réaction chez les nageurs universitaires de haute performance

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Les road trips sont une option amusante et aventureuse pour aller du nord au sud et explorer les joyaux cachés du monde que vous ne pourrez pas voir si vous prenez l'avion. Cependant, cela nécessite une bonne planification en matière de sorties afin que vous puissiez emporter ce qui vous est nécessaire. Parmi les nombreux éléments dont vous avez besoin pour votre usage personnel et les articles indispensables, assurez-vous d'emporter tous les éléments essentiels pour vous épargner des tracas. Voici notre guide de préparation du road trip pour vous assurer de passer le meilleur moment et le plus sûr.

1. Faites le plein de produits comestibles et d’eau

Apporter des produits comestibles et de l'eau pour votre road trip est une règle courante qui doit être suivie. Après tout, emporter ses propres produits comestibles lors d’un long voyage est une bonne idée pour de nombreuses raisons. Vous n'êtes pas obligé de trouver de la nourriture de bonne qualité à chaque arrêt. De plus, vous mangerez également des aliments nutritifs.

Assurez-vous d'emporter une variété de produits comestibles délicieux, nutritifs et satisfaisants, non seulement pour vous, mais également pour les autres passagers. Après tout, on ne peut pas être sûr de la faim.

Voici les produits comestibles essentiels pour les longs voyages : -

1 Oeufs et tranches de pain.

2 Fruits et légumes frais (excluez les oranges, les bleuets, les carottes, les tomates, etc., car ils doivent être hachés).

3 Sachets de thé, canettes, jus ou autres boissons faciles à mélanger.

4 Chips et chocolats.

5 Aliments en conserve comme le thon, les haricots, le bacon, etc.

2 Gardez les gadgets à portée de main et sous tension

Prendre des photos pendant la journée ou écouter de la musique en continu épuisera la batterie. Avec un chargeur portable, il est essentiel d'apporter des batteries supplémentaires et un chargeur de voiture pour garantir que vos gadgets restent alimentés, surtout dans les cas où vous ne trouvez pas d'endroit pour charger les appareils.

De plus, avant de partir, testez le chargeur de voiture pour confirmer que chaque gadget fonctionne correctement.

Supposons que vous envisagez d'apporter votre équipement encombrant, des articles de sport au matériel de camping. Dans ce cas, essayez d'installer une galerie de toit. Ou, si vous vous demandez comment utiliser une galerie de toit , renseignez-vous davantage car elle peut être votre sauveur dans de nombreux cas.

3 Optez pour des tenues et des chaussures confortables

Des vêtements et des chaussures confortables doivent figurer sur votre liste de priorités, étant donné que vous resterez assis pendant une période prolongée. Choisissez les tenues en coton, car elles sont généralement plus confortables et respirantes. Pendant ce temps, une option de coupe sèche est idéale pour les terrains humides.

En revanche, essayez d’éviter les gros morceaux de denim, car ils peuvent vous mettre mal à l’aise. Soyez également prêt aux changements de temps et conservez des thermiques si la température baisse.  

Il est recommandé de vérifier les prévisions météorologiques de toutes les régions que vous envisagez de visiter au moins avant votre départ afin de préparer vos bagages en conséquence.

4 trousses d'urgence

Il est déconseillé de faire un long voyage sans kit d'urgence, car on ne sait pas ce qui peut arriver sur la route. Tout comme vous exigez que votre voiture soit vérifiée avant de partir, il en va de même pour votre trousse d'urgence. Il est donc essentiel d'avoir sur soi une trousse d'urgence pour assurer sa sécurité.

Assurez-vous que la lampe de poche fonctionne bien, que les câbles de démarrage sont là ou que les essentiels de premiers secours pour enfants ne sont pas expirés. Sauf cela, assurez-vous d’avoir une couverture, des chauffe-mains, des gants et un grattoir à glace pendant les hivers pour vous éviter des ennuis.

5 bonnes applications de navigation

Avant de partir en voyage, l'un des éléments essentiels d'un road trip est d'installer une application de navigation, en particulier celle dotée de fonctionnalités en ligne, puisque vous conduisez dans une zone inhabituelle. Les applications de navigation vous aident à naviguer dans le trafic à proximité, à découvrir les arrêts et, plus important encore, à recalculer le tracé si vous perdez l'itinéraire.

De plus, il n’est pas judicieux de s’appuyer entièrement sur ces applications. Il peut être multifonctionnel, mais il peut parfois proposer des informations incorrectes. Il est donc préférable de rechercher l'itinéraire au préalable.

6 divertissements pour garder tout le monde heureux

Apporter tous vos objets de divertissement est la meilleure façon de partir pour un road trip amusant, de la musique aux jeux en passant par l'équipement de haute technologie. Une sélection décente de listes de lecture et l'audio doublent immédiatement le plaisir. De plus, vous pouvez télécharger le podcast pour que les choses restent intéressantes tout au long du voyage.

De même, c'est toujours une bonne idée de télécharger au préalable du contenu sur un smartphone si vous perdez la connexion pendant le road trip. De plus, si vous êtes amateur de lecture, n'oubliez pas d'apporter votre livre préféré ou votre Kindle si vous souhaitez gagner de la place.

Conclure

Avant de partir, il est essentiel de localiser tous vos documents nécessaires comme vos documents d'immatriculation du permis de conduire, etc. Assurez-vous donc de faire une vérification rapide, au moins avant de partir. De plus, plusieurs villes ont des autoroutes avec des péages, alors assurez-vous de garder de l'argent liquide à portée de main ou faites des recherches pour trouver l'itinéraire alternatif.

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Le CBD a attiré beaucoup d’attention ces dernières années, et c’est compréhensible. Ce grand cannabinoïde offre de nombreux avantages. Vous pouvez l’utiliser pour traiter de nombreuses affections, notamment la douleur chronique, l’anxiété et même le cancer ! Sans oublier que c'est une excellente alternative aux médicaments traditionnels. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que cette molécule miracle peut aussi soulager les douleurs articulaires. Voici six raisons pour lesquelles vous devriez utiliser le CBD pour soulager vos articulations.

1. Il existe de nombreuses façons de consommer du CBD

L’un des avantages du CBD est qu’il existe d’innombrables façons de le consommer . Par conséquent, si vous recherchez un traitement naturel qui s’intègre sans effort à votre style de vie, le CBD est ce qu’il vous faut. Voici quelques-unes des façons dont vous pouvez intégrer le CBD à votre style de vie.

Bonbons CBD

Les bonbons au CBD sont l’une des formes de CBD les plus populaires (pour plus d’informations, pensez à cette option en ligne : https://cbdfx.com/collections/cbd-gummies/ ), et pour une bonne raison. Tout le monde aime les oursons gommeux, et le CBD offre la même expérience sans les effets secondaires du THC.

Produits comestibles au CBD

Vous avez également la possibilité de consommer du CBD avec une grande variété de produits comestibles. Vous pouvez le manger sous forme de chocolats, de boissons et même de pâtisseries. Cependant, vous devez faire attention au dosage si vous préparez vous-même les produits comestibles, car un excès de CBD peut entraîner une expérience désagréable.

Sujets CBD

Si vous n’aimez pas les produits comestibles, pensez à utiliser une application topique pour obtenir votre dose quotidienne de CBD. Les produits topiques sont un excellent moyen de cibler des zones spécifiques de douleur.

Vapeurs CBD

Vapoter du CBD est un excellent moyen d’obtenir votre dose quotidienne rapidement et facilement. Vous pouvez également personnaliser votre expérience de vape en choisissant la saveur et la puissance qui vous conviennent.

Teintures CBD

Les teintures sont un autre moyen simple de consommer du CBD et offrent un effet plus durable que la plupart des autres méthodes de consommation. Cette forme de consommation consiste à déposer quelques gouttes d’huile de CBD sous votre langue et à la laisser absorber au fil du temps.

Gélules de CBD

Les capsules sont parfaites pour les personnes qui veulent s'assurer qu'elles reçoivent une dose exacte de CBD à chaque fois. Ils sont également faciles à emporter avec vous lors de vos déplacements.

2. Le CBD n’est pas psychoactif

Les gens ont longtemps désapprouvé la marijuana en tant que traitement naturel en raison de ses effets psychoactifs. Cependant, le CBD est non psychoactif, ce qui signifie qu’il ne produit pas le « high » associé à la marijuana.

3. C'est une excellente alternative aux médicaments pour les articulations

Il existe de nombreux médicaments sur ordonnance et en vente libre pour soulager les douleurs articulaires. Cependant, certains d’entre eux peuvent avoir des effets secondaires nocifs, tels que des dommages au foie ou aux reins, et peuvent créer une dépendance.

Le CBD est une excellente alternative car il n’a pas d’effets secondaires dangereux et fonctionne tout aussi efficacement, sinon mieux, que les options plus dures que vous pourriez trouver dans les rayons des magasins. Sans oublier qu’il ne crée pas non plus de dépendance, vous n’aurez donc pas à craindre de développer une dépendance à son égard. Ce cannabinoïde présente également une foule d'autres avantages que nous aborderons ci-dessous en plus du soulagement des douleurs articulaires, notamment :

• Un sommeil amélioré

• Diminution de la douleur et de l'inflammation

• Fonction du système immunitaire renforcée

• Réduction du stress et de l'anxiété

4. Le CBD réduit l’inflammation et l’enflure

Les douleurs articulaires sont généralement causées par une inflammation. Il a été démontré que l’huile de CBD est incroyablement efficace pour réduire l’inflammation et l’enflure des articulations et d’autres zones du corps.

Vous pouvez utiliser l’huile de CBD pour traiter de nombreux types de douleurs articulaires, notamment la polyarthrite rhumatoïde et l’arthrose.

5. Le CBD a des propriétés antifongiques et antibactériennes

Une autre raison de s’approvisionner en huile de CBD pour soulager les douleurs articulaires est ses propriétés antifongiques et antibactériennes. Ces propriétés font de l’huile de CBD un excellent choix pour traiter toute infection ou inflammation des articulations.

6. Le CBD est facilement accessible

Alors que de plus en plus d’États légalisent le cannabis, l’huile de CBD devient de plus en plus accessible et plus facile à trouver. Vous pouvez trouver de l’huile de CBD en ligne ou dans de nombreux dispensaires locaux.

Le fait qu’elle soit populaire dans la plupart des pays permet également de trouver plus facilement des personnes connaissant l’huile de CBD et ses divers avantages. De cette façon, vous pourrez obtenir toutes les informations dont vous avez besoin sur l’huile de CBD.

Conclusion

Bien que le CBD ait gagné en popularité dans le monde entier ces dernières années, de nombreuses personnes ne connaissent toujours pas toutes les informations sur ce remède naturel. Par conséquent, il est compréhensible que vous soyez hésitant à propos de l’huile de CBD. Cependant, cet article aurait dû vous donner une bonne idée de ce qu’est le CBD et s’il s’agit ou non du bon choix pour vos besoins spécifiques.

L’essentiel est que l’utilisation de l’huile de CBD à la place de la médecine traditionnelle présente d’innombrables avantages. Si vous souffrez de douleurs articulaires, de troubles anxieux, d’inflammation chronique ou de troubles du sommeil, parlez à votre médecin de l’huile de CBD comme option de traitement potentielle. Vous pourriez être surpris de voir à quel point ce remède naturel peut fonctionner pour vous. J’espère que cet article vous a aidé à mieux comprendre le CBD et comment profiter de ses propriétés !

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